Un Belge de 21 ans affirme avoir été passé à tabac en pleine rue par des Flamands parce qu'il parlait français.
«Il y a une enquête qui a été ouverte» sur l'agression d'un jeune homme, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police de Sint-Pieters-Leeuw, en charge du dossier, Wannes Monteyne.
Les faits se sont déroulés vendredi soir dans la commune de Ruisbroek, commune flamande de la banlieue de Bruxelles située à côté de Sint-Pieters-Leeuw.
Un jeune Belge francophone, Miguel, 21 ans, affirme avoir été agressé dans la rue devant un café par sept Flamands en état d'ébriété après qu'il eut parlé en français à sa petite amie qui se faisait narguer par le groupe.
Son témoignage est publié mercredi dans le quotidien La Dernière Heure, qui publie aussi la photo de la victime au visage tuméfié.
L'un des hommes se serait dirigé vers lui en lui lançant «Hier spreekt men Nederlands!» (Ici, on parle néerlandais), avant de lui casser sur le front une bouteille en verre. Les autres membres du groupe se seraient alors jetés sur lui pour lui asséner de violents coups de pied au visage alors qu'il gisait à terre, selon son témoignage.
La victime n'est ressortie que lundi de l'hôpital, défiguré, avec des dents cassées, le nez fracturé, le front suturé, les lèvres recousues et l'oeil gauche en mauvais état.
(afp
«Il y a une enquête qui a été ouverte» sur l'agression d'un jeune homme, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police de Sint-Pieters-Leeuw, en charge du dossier, Wannes Monteyne.
Les faits se sont déroulés vendredi soir dans la commune de Ruisbroek, commune flamande de la banlieue de Bruxelles située à côté de Sint-Pieters-Leeuw.
Un jeune Belge francophone, Miguel, 21 ans, affirme avoir été agressé dans la rue devant un café par sept Flamands en état d'ébriété après qu'il eut parlé en français à sa petite amie qui se faisait narguer par le groupe.
Son témoignage est publié mercredi dans le quotidien La Dernière Heure, qui publie aussi la photo de la victime au visage tuméfié.
L'un des hommes se serait dirigé vers lui en lui lançant «Hier spreekt men Nederlands!» (Ici, on parle néerlandais), avant de lui casser sur le front une bouteille en verre. Les autres membres du groupe se seraient alors jetés sur lui pour lui asséner de violents coups de pied au visage alors qu'il gisait à terre, selon son témoignage.
La victime n'est ressortie que lundi de l'hôpital, défiguré, avec des dents cassées, le nez fracturé, le front suturé, les lèvres recousues et l'oeil gauche en mauvais état.
(afp
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