Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La corruption est à l’origine des surcoûts dont souffrent les grands projets

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La corruption est à l’origine des surcoûts dont souffrent les grands projets

    Mourad Ouchichi. Economiste et universitaire : « La corruption est à l’origine des surcoûts dont souffrent les grands projets »

    El-Watan
    05 Juillet 2010


    Une enveloppe de 286 milliards de dollars sera débloquée pour les projets de l’actuel quinquennat 2010-2014. Est-ce la bonne formule, d’après-vous, celle de faire fonctionner le moteur de l’économie par l’investissement public ?

    Avant d’apporter des éléments de réponse à votre question, il est important de rappeler que ce n’est pas la première fois que le régime politique algérien s’affiche volontariste et tente de relancer l’économie par la dépense publique orientée vers le secteur qui lui semble être une priorité. Cependant, l’échec est toujours le même ; dans les années 1970, c’était l’industrie lourde, dans les années 1980, c’était les infrastructures et les services et depuis 1999, on revient aux mêmes recettes. Pour revenir à votre question, la formule de la relance économique par le développement de l’infrastructure trouve sa justification scientifique dans la théorie keynésienne et le new deal « états-unien » mis en œuvre au lendemain de la grande crise de 1929. L’idée était de relancer la demande sans pour autant encombrer l’offre, car les économies développées en crise souffraient déjà de la surproduction. Il était donc judicieux d’investir dans les infrastructures et autres travaux publics. La formule qui consacre cette politique est celle qui stipule : « Quand le BTP va, tout va. » En revanche, cette politique est-elle capable de produire ses effets dans une économie comme celle de l’Algérie qui repose exclusivement sur la rente provenant de la vente des hydrocarbures ? La réponse est à l’évidence négative ; en l’absence d’une économie de l’offre, toute politique de relance économique par l’infrastructure se traduirait fatalement par une augmentation des importations.

    C’est la problématique soulevée récemment par le Forum des chefs d’entreprises…

    La formule « choisie » n’est certainement pas la bonne, bien au contraire, cette injection massive de la monnaie sans contrepartie productive va se traduire par une importante inflation qui va écumer le pouvoir d’achat des revenus fixes tout en creusant les inégalités sociales déjà criantes. En revanche, il y a lieu de pronostiquer que malgré ses méfaits économiques, cet « arrosage généreux » va procurer des dividendes politiques éphémères certes, mais néanmoins réelles pour le régime en place. Le caractère rentier et distributif de l’Etat va se renforcer, la base clientéliste va s’élargir momentanément et les circuits de corruption vont s’animer. Par ailleurs, les réformes économiques vont être repoussées à plus tard et la crise du système productif va perdurer.

    En votre qualité d’économiste et universitaire, vous êtes-vous intéressé aux retards enregistrés dans la réalisation des projets et aux surcoûts que cela implique ?

    Le retard dans la réalisation de projets et les surcoûts que cela engendre peut avoir de nombreuses origines, mais elles convergent toutes vers deux causes : l’absence de transparence dans l’attribution des marchés, d’une part, et d’autre part, la forte perturbation du marché national. En ce qui concerne le premier aspect, il est clair que lorsque l’attribution des marchés se fait sur des critères politiques et/ou clientélistes, le poids des commissions et autres pots-de-vin pèsent sur les coûts des projets et leurs délais de réalisation. S’agissant de la perturbation du marché national, il est important de savoir que la sphère marchande algérienne évolue dans une absence totale de visibilité : les hausses subites des prix de produits, les pénuries… sont fréquentes et contribuent de fait aux retards et aux surcoûts. Cependant, il y a lieu de remarquer que ces deux facteurs sont « inter-liés » et en rapport direct avec le modèle politico-économique imposé aux Algériens.

    Quelles sont, d’après vous, les autres incohérences constatées dans la conduite des grands projets en Algérie ?

    Le problème est moins dans la conduite des projets que dans leur utilité eu égard à l’extrême gravité dans lequel évolue la sphère marchande algérienne. Ce dont a besoin l’Algérie aujourd’hui est de rompre avec le système rentier au profit d’un système productif et concurrentiel. Une double transition vers la démocratie et le marché sont une nécessité vitale pour le pays.

    Faut-il réhabiliter aussi les organismes de contrôle pour le suivi, l’évaluation des projets et l’affectation du budget ? L’absence de transparence budgétaire et la corruption sont-il des facteurs à l’origine de surcoûts dont souffrent les grands projets en Algérie ?

    Je ne crois pas trop aux formules de contrôle administratif dans un système politico-économique où la prise de décisions est du ressort des cénacles et autres officines non institutionnels. Lorsque le choix des responsables obéit à des critères autres que démocratiques, le contrôle a posteriori des projets ne peut être que nul et/ou neutralisé. L’Etat s’épuise à recruter des contrôleurs et des contrôleurs de contrôleurs sans résultat. La corruption est bien évidemment à l’origine des surcoûts dont souffrent les grands projets en Algérie. La solution réside, à mon avis, moins dans la réhabilitation des organismes administratifs de contrôle que dans la réinstauration du processus de contrôle populaire des institutions au travers la sacralisation du suffrage universel.

    Par Ali Titouche
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    j'ai l'impression que ce journaliste en ce qui conçerne les retards des projets il parle de la période socialiste

    actuellement tout le projets sans dans les délais et normes internationales

    Commentaire


    • #3
      petit rappel des offres financières de l'époque :
      Autoroute Est-ouest
      Les offres financières connues

      L’Agence nationale des autoroutes (ANA) a procédé, hier, à Alger, à l’ouverture des plis des offres financières du plus grand projet d’infrastructure autoroutière, à savoir l’autoroute Est-Ouest.


      Sept groupements d’entreprises de diverses nationalités ont soumissionné pour ce projet de trois lots différents (Est, Centre, Ouest). Il s’agit des groupements Bechtel (USA), Cojaal (Japon), CSCEC et Chec (Chine), CITC et CRCC (Chine), le groupement Italia (Italie) composé des entreprises (CMC, Todini, Pizartti et Impregilo), le groupement portugais Lusogroupe et le groupement franco-allemand Razel/Vinci Bilfinger. Les offres financières présentées en séance publique en présence des représentants des soumissionnaires, des responsables de l’ANA et ceux du ministère des Travaux publics ont toutes donné l’avantage, jusqu’ici, au groupement chinois CITC/CRCC dont la proposition financière est la moins chère. En effet, pour le lot est d’un linéaire de 399 km (de Bordj Bou Arréridj aux frontières algéro-tunisiennes), l’offre financière dudit groupement est d’un peu plus de 175 milliards de dinars, alors que celui du groupement américain, par exemple, est de plus de 199 milliards de dinars et celui du groupement japonais est de plus de 197 milliards de dinars. Pour ce qui est du lot ouest (de Bordj Bou Arréridj à Chlef sur 169 km), le même groupement a fait une proposition financière, la moins disante, de plus de 26 milliards de dinars, devançant ainsi les Italiens (plus de 32 milliards de dinars) ou encore le groupement franco-allemand, Razel/Vinci Bilfinger (plus de 41 milliards de dinars). Le même groupement chinois a également été le moins disant pour le troisième lot (ouest, de Chlef aux frontières marocaines de 359 km). Son offre financière a été de plus de 44 milliards de dinars. Reste à préciser que rien n’est encore tranché définitivement puisqu’il ne s’agit que de simples offres financières et que la commission d’évaluation doit reprendre l’étude en vertu de la loi sur les marchés publics. Elle doit rendre sa décision finale d’ici à fin avril après une période de 10 jours consacrés à l’étude des éventuels recours. La signature des contrats aura lieu, croit-on savoir, début mai prochain et le lancement des travaux du projet débutera au plus tard en juin. Le coût total du projet est évalué à 5 milliards d’euros. Il devra être réalisé dans un délai maximum de 40 mois, insistent les responsables du ministère des Travaux publics.
      El Watan du 29/03/2006
      selon des indiscrétions bechtel (USA) aurait fait une offre globale et ferme pour la totale de 7 Milliards $, mais certains ont refusé cette offre, jugée à l'époque trop chère, ensuite tout le monde est tombé d'accord sur 11 Milliards, pour finir peut être aujourd'hui à 16 Milliards, 11 Milliards de plus que l'enveloppe initiale.

      Commentaire


      • #4
        Pour les analyses des offres il y a beaucoup de critères ce n'est pas le prix uniquement il y a les capacités des entreprises etc...............

        En plus aucune études n'est parfaite à cent pour cent

        Commentaire


        • #5
          Moins d'un mois après voilà ce qu'on pouvait lire dans la presse :
          Le grand chantier de l’autoroute Est-Ouest va démarrer en mai. Les travaux qui vont durer trois ans, jusqu’en 2009, viennent d’être confiés à deux groupements asiatiques, l’un chinois et l’autre japonais.

          Plus de six mois après le lancement de l’appel d’offres international restreint pour la réalisation de l’autoroute Est-Ouest, l’Agence nationale des autoroutes (ANA) a tranché en faveur des Chinois et des Japonais. En effet, selon un «avis d’attribution provisoire», la réalisation «clés en main» de l’autoroute Est-Ouest en deux fois trois voies est confiée au groupement japonais COJAAL pour le tronçon Est (399 km) et au groupement chinois CITIC/CRCC pour les tronçons Ouest (359 km) et Centre (169 km). Composé de six entreprises, le groupement japonais Cojaal a décroché la réalisation du tronçon Ouest (399 km) de l’autoroute Est-Ouest pour plus de 376 milliards de dinars (près de 5,2 milliards de dollars). Pour le lot Centre (169 km), le groupement chinois CITIC/CRCC a eu le marché pour plus de 192 milliards de dinars (environ 2,6 milliards de dollars). Le même groupement a décroché la partie Est (359 km) de cette autoroute pour une offre financière de plus de 258 milliards de dinars (près de 3,6 milliards de dollars). Les deux groupements se sont engagés sur un délai de 40 mois, comme exigé par l’Agence nationale des autoroutes. Avec 528 km sur les 927 km, les Chinois ont eu la part du lion de cette autoroute qui coûtera finalement près de 11,4 milliards de dollars. En décrochant un contrat de plus de 6,2 milliards de dollars, les Chinois confirment qu’ils sont de sérieux concurrents pour les groupements européens et américains en Algérie.

          Ce contrat énorme intervient après une année difficile pour les entreprises chinoises en Algérie. En mars 2005, le gouvernement a reproché à des entreprises chinoises les retards dans la livraison de la nouvelle aérogare de l’aéroport d’Alger et les logements de l’AADL. Les grands perdants sont les groupes européens et américains. La réalisation de l’autoroute Est-Ouest échappe en effet aux français Vinci et Razel, aux italiens et portugais et à l’américain Bechtel. Vinci et Razel auraient présenté une offre technique incomplète alors que Bechtel a fait une offre financière trop chère par rapport aux concurrents. C’est également le cas des portugais dont l’offre a été jugée trop chère. «L’attribution de ce projet s’est faite dans la transparence totale. Le choix a été porté sur les groupements qui ont présenté les meilleures offres techniques et financières. Les considérations politiques n’ont pas été prises en compte. Personne ne s’attendait à ce que l’opération se déroule ainsi, cela renforce la crédibilité de l’Algérie vis-à-vis des grands groupes étrangers. Maintenant, le projet de l’autoroute Est-Ouest a pris forme et sera réalisé dans un délai de 40 mois à partir de mai prochain. On a longtemps spéculé sur l’attribution du projet et sa réalisation dans les délais. Le chantier de l’autoroute est le projet du siècle en Algérie», s’enthousiasme un haut responsable au ministère des Travaux publics.

          Fin mars, la Commission d’ouverture des plis pour l’appel d’offres relatif à la réalisation du projet de l’autoroute Est-Ouest a procédé à Alger à l’ouverture des offres financières pour les trois lots de ce projet (Est, Centre et Ouest). Au total, sept soumissionnaires étrangers ont présenté leurs offres financières pour la réalisation des trois tronçons du projet autoroutier qui s’étend sur près de 1.000 km. Il s’agit de la société américaine Bechtel, qui a soumissionné individuellement, de 14 sociétés portugaises réunies dans le groupement Luso Group, de quatre sociétés chinoises représentant deux groupements (CSCEC/CHEC et CITIC/CREC), d’un groupement japonais formé par six sociétés, d’un groupement italien «Italia» composé de quatre sociétés et des sociétés françaises Razel et Vinci et l’allemande Bilfinger réunies dans un consortium franco-allemand. Pour le tronçon Est (400 km), cinq soumissionnaires, à savoir Bechtel, le groupement japonais, les deux groupements chinois et le groupement Italia, ont fait des offres qui varient entre 123 et 226 milliards de dinars. Outre les deux groupements chinois, Razel/Vinci/Bilfinger, Luso Group et Italia ont fait des offres financières définitives pour la réalisation du tronçon Centre (169 km) allant de 56,66 à 67 milliards DA. Quant au dernier lot (400 km), il a enregistré les offres de Bechtel, Luso Group, les deux consortiums chinois et Italia Group, situées entre 60 et 112 milliards DA.
          Quotidien d'Oran du 16 Avril 2006

          Commentaire


          • #6
            >>>Pour les analyses des offres il y a beaucoup de critères ce n'est pas le prix uniquement il y a les capacités des entreprises

            Je serai d'accord avec toi si CITIRC et COJAAL étaient des entreprises connues, surtout par les kadors de l'ANA.
            En moins de 20 jours, ils ont pu réevaluer le projet .

            Commentaire


            • #7
              Je serai d'accord avec toi si CITIRC et COJAAL étaient des entreprises connues, surtout par les kadors de l'ANA.
              En moins de 20 jours, ils ont pu réevaluer le projet .

              pour la révaluation il y une loi pour ça ci ils ont bénéficié de cette révaluation c'est leur droit le plus absolu (voir code de l'opérateur public)
              pour mieux connaitre la raison

              en ce qui conçerne les entreprise connues avec leurs offres elle font parvenir toute les référence techniques et financières plus les références des projets réalisées soit dans leur pays ou dans d'autre pays
              plus une enquete administrative de notre coté auprés des ambassades et consuls

              Commentaire


              • #8
                Le sage

                Beaucoup de projets sont en retard :

                - Autoroute Est-Ouest : réception prévue 1er semestre 2010
                - Métro d’Alger : réception prévue fin 2009
                - Tramway : réception prévue 1er semestre 2010

                etc…

                La nouvelle ville de Hassi Messaoud, initialement prévue pour 2014 est repoussée pour 2017. Depuis le départ de Khelil, c'est Ouyahia qui prend le dossier en main. Un contrat d'études et suivi d'execution de 312 millions d’euros avec SNC Lavalin a été annulé.
                Dernière modification par shadok, 05 juillet 2010, 22h49.
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                Commentaire


                • #9
                  Le sage

                  Beaucoup de projets sont en retard :

                  - Autoroute Est-Ouest : réception prévue 1er semestre 2010
                  - Métro d’Alger : réception prévue fin 2009
                  - Tramway : réception prévue 1er semestre 2010

                  etc…

                  La nouvelle ville de Hassi Messaoud, initialement prévue pour 2014 est repoussée pour 2017. Depuis le départ de Khelil, c'est Ouyahia qui prend le dossier en main. Un contrat d'études et suivi d'execution de 312 millions d’euros avec SNC Lavalin a été annulé.
                  je ne peut répondre

                  Commentaire


                  • #10
                    Exclusif. Nouvelle ville de Hassi Messaoud : Ouyahia prend l’affaire en main, un nouvel appel d’offres en septembre et la réception repoussée à 2017

                    Initialement prévu pour 2014, le faramineux projet de construction de la Nouvelle ville de Hassi Messaoud ne sera réceptionné qu’en 2017 et ce dans le meilleur des délais, a appris «Algérie-Focus.com» de source proche du ministère de l’Energie et des Mines.

                    Le DG de l’ENVH (Établissement de la ville nouvelle de Hassi Messaoud), Mourad Zeriati, aura beau rassurer l’opinion publique, le projet de la gigantesque ville pétrolière a connu son premier couac tout de suite après l’éviction de Chakib Khelil du ministère de l’Energie et des Mines, remplacé par Youcef Yousfi.

                    Le premier symptôme de ce revirement fut l’annulation, il y a un mois, d’un contrat de 312 millions d’euros avec le Groupe canadien SNC Lavalin portant réalisation des études et suivi de l’exécution.

                    L’enchaînement a été révélateur, le Premier ministre Ouyahia ayant décidé de centraliser cette opération à son niveau et non plus, comme ce fut le cas dès le départ, par le biais de l’ENVH et donc du Département de l’Energie.

                    «L’affaire de la nouvelle ville de Hassi Messaoud est partie intégrante de la politique de nettoyage amorcée dans le ministère de l’Energie pour évacuer les résidus de l’ère Khelil. Il n’y a rien de technique dans ces annulations. C’est purement politique », nous confie notre source.

                    «L’ENVH a décidé, sur injonction du Premier ministre, de scinder les contrats d’études et de réalisation. L’appel d’offres pour la phase des études techniques sera lancé au plus tard en septembre prochain. Une fois lancées, les études techniques dureront 3 ans alors que la réalisation prendra 4 ans, ce qui ramène la date de livraison de ce projet à 2017, dans les meilleures des conditions», précise notre source.

                    En outre, le projet de la Nouvelle ville de Hassi Messaoud sera suivi et contrôlé rigoureusement, dans toutes ses phases, par la Caisse nationale d’équipement pour le développement, organisme public, dépendant du ministère des Finances et spécialisé dans le contrôle des dépenses publiques.

                    Pour rappel, l’estimation prévisionnelle du projet de la Nouvelle ville de Hassi Messaoud est de 6 milliards de dollars. «L’affaire de la Ville nouvelle de Hassi Messaoud n’est qu’une manifestation d’une reprise en main musclée des affaires du pays par Ahmed Ouyahia. Ceci dit, cette action n’est pas totalement dénouée de sens, vu l’importance financière et stratégique de ce projet», conclut notre source.

                    Nina A.

                    Algérie Focus
                    Dernière modification par shadok, 05 juillet 2010, 22h49.
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                    Commentaire


                    • #11
                      20 jours c'est un peu trop peu, la loi est peut être claire mais les délais sont fantaisistes pour un projet de cette taille.

                      D'ailleurs les résultats sont là :

                      -Nous avons dépassé les délais réglementaires ou du moins ce qui a été inscrit dans les contrats dont le délais expirent ce mois !
                      -Une affaire de corruption est en cours d'instruction par les services concernés dont les ramifications dépassent les frontières
                      -Un coût exorbitant au regard des tarifs pratiqués dans les pays industrialisés réputés le plus chers à cause de la main d'oeuvre particulièrement coûteuse.

                      La loi algérienne elle s'est arrêtée depuis la signature du contrat voire avant.

                      Le dindon de la farce s'appelle "peuple algérien" El Chaab El Aadhim.

                      Commentaire


                      • #12
                        20 jours c'est un peu trop peu, la loi est peut être claire mais les délais sont fantaisistes pour un projet de cette taille.
                        elle peut etre meme d'un jour c'est la remise de l'ordre de service de commencement des travaux qui n'a pas était remise a tant (délai six mois)pour la remise de l'ordre service faute de quoi l'entreprise a le droit de révalué ces prix

                        ça n'a rien a voir avec les délais d'éxecution

                        Commentaire


                        • #13
                          Code des marchés publics - REGLEMENTATION DES MARCHES PUBLIQUES


                          voila mes amis vous pouver lire et comprendre les marchés publicques et la règlementation qui les gères

                          et comprendre l'actualisation et la révision des prix le mode de paiement avenant pénalités de retard etc....

                          Commentaire


                          • #14
                            L'ordre de service a été émis le 18 septembre 2006 et expire donc le 18 Janvier 2010, après c'est pénalités.

                            Nous sommes le 5 Juillet 2010 et au lieu de payer des pénalités, les chinois réclament 2 milliards de plus, les japonais eux ont massacré l'écologie de plusieurs zones sur leur tronçon et sont prêts eux aussi à demander une rallonge .

                            Alors c'est nickel ou pas cette histoire !

                            Commentaire


                            • #15
                              L'ordre de service a été émis le 18 septembre 2006 et expire donc le 18 Janvier 2010, après c'est pénalités.
                              pour l'ordre de service il faut qu'il soit remis avant les six mois aprés l'ouverture des plis

                              j'ai posté la règlementation tu peut la lire et ci tu as un problème je peut t'expliquer au fur et a mesure

                              tu appuis avec la souris et tu aura la règlementation devant toi voir mon précédent message

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X