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Un Auscitain de 56 ans vient d'être condamné à 5 ans de prison pour pédophilie à Marrakech. Il a fait appel de ce jugement, son épouse et leur fille dénoncent une machination.
Jean-Bernard Baradat vient d'être condamné à cinq ans de prison par le tribunal correctionnel de Marrakech. Incarcéré depuis cette condamnation prononcée le 18 mars, cet agent général d'assurance, qui clame son innocence, était poursuivi pour divers actes de pédophilie. L'accusation est partie du village d'Ait Faska (région de Marrakech) où l'Auscitain dispose d'une maison. Il y séjourne fréquemment pour y pratiquer le parapente sur un site voisin dédié à ce loisir. Des enfants scolarisés dans cette commune ont révélé « il y a un an ou deux » selon Me Sadik Cherkaoui, l'avocat marocain du condamné, avoir été victimes d'agissements pédophiles commis par le Gersois. Des révélations auxquelles les autorités académiques puis la gendarmerie, le parquet et un juge d'instruction marocains ont donné suite. Lors de l'audience, les trois juges ont suivi les réquisitions demandant une peine de cinq ans. Immédiatement le condamné a fait appel. Selon son avocat, « c'est dans un délai de deux à trois mois vraisemblablement » qu'il devrait être rejugé. Son épouse comme leur fille, qui elle, vit et travaille à l'année au Maroc, dénoncent « une machination ». Dans ce village où il est le seul étranger, l'assureur aurait été bien « accepté » tant qu'il faisait travailler la main-d'œuvre locale à la rénovation de la maison. Depuis, il serait « rejeté » par une partie de la population. Comme la famille, l'avocat du barreau de Marrakech souligne « les nombreuses contradictions et des invraisemblances qui émaillent les révélations des enfants ». Deux soutiendraient encore ces accusations alors qu'ils étaient plus nombreux au départ de l'affaire, affirment aussi ceux qui défendent l'amateur de parapente. De plus selon Me Sadik Cherkaoui : « Les cassettes accusatrices dont font état certains écrits sur internet n'existent pas. » Les proches du condamné rejettent aussi l'existence de « supplices ». Alors que l'association marocaine « Touche pas à mon enfant » s'indigne de la « clémence » de la peine, l'avocat et la famille qui fait référence au fiasco d'Outreau « où l'on a cru sur parole des enfants instrumentalisés », soutiennent : « Si elle est si sûre de la parole des enfants, pourquoi cette association ne s'est-elle pas portée partie civile ? ». En attendant le jugement définitif de celui qui est son agent général depuis 30 ans sur la ville d'Auch, la compagnie d'assurance a décidé hier de le suspendre. Un « gestionnaire » doit dès aujourd'hui venir diriger l'agence de la rue Du Pouy.
Le chiffre : 5
ans > Prison. La condamnation a été prononcée le 18 mars et le Gersois immédiatement incarcéré. Plusieurs enfants scolarisés dans le village où la famille possède une maison l'ont accusé « d'agissements pédophiles. »
« De nombreuses contradictions et des invraisemblances émaillent les révélations des enfants. » Me Sadik Cherkaoui, l'avocat marocain de Jean-Bernard Baradat.
Sa famille crie à la machination
Son épouse comme leur fille, installée au Maroc, dénoncent « une machination ». Dans ce village, où il est le seul étranger, l'assureur aurait été bien « accepté » tant qu'il a fait travailler la main-d'œuvre locale à la rénovation de la maison. Depuis, il serait « rejeté » par une partie de la population.
Alors que l'association marocaine « Touche pas à mon enfant » s'indigne de la « clémence » de la peine, l'avocat et la famille font référence au fiasco d'Outreau « où l'on a cru sur parole des enfants instrumentalisés ». Ils interrogent: « Pourquoi cette association ne s'est-elle pas portée partie civile, si elle est si sûre de la parole des enfants?
ladepeche.fr
Jean-Bernard Baradat vient d'être condamné à cinq ans de prison par le tribunal correctionnel de Marrakech. Incarcéré depuis cette condamnation prononcée le 18 mars, cet agent général d'assurance, qui clame son innocence, était poursuivi pour divers actes de pédophilie. L'accusation est partie du village d'Ait Faska (région de Marrakech) où l'Auscitain dispose d'une maison. Il y séjourne fréquemment pour y pratiquer le parapente sur un site voisin dédié à ce loisir. Des enfants scolarisés dans cette commune ont révélé « il y a un an ou deux » selon Me Sadik Cherkaoui, l'avocat marocain du condamné, avoir été victimes d'agissements pédophiles commis par le Gersois. Des révélations auxquelles les autorités académiques puis la gendarmerie, le parquet et un juge d'instruction marocains ont donné suite. Lors de l'audience, les trois juges ont suivi les réquisitions demandant une peine de cinq ans. Immédiatement le condamné a fait appel. Selon son avocat, « c'est dans un délai de deux à trois mois vraisemblablement » qu'il devrait être rejugé. Son épouse comme leur fille, qui elle, vit et travaille à l'année au Maroc, dénoncent « une machination ». Dans ce village où il est le seul étranger, l'assureur aurait été bien « accepté » tant qu'il faisait travailler la main-d'œuvre locale à la rénovation de la maison. Depuis, il serait « rejeté » par une partie de la population. Comme la famille, l'avocat du barreau de Marrakech souligne « les nombreuses contradictions et des invraisemblances qui émaillent les révélations des enfants ». Deux soutiendraient encore ces accusations alors qu'ils étaient plus nombreux au départ de l'affaire, affirment aussi ceux qui défendent l'amateur de parapente. De plus selon Me Sadik Cherkaoui : « Les cassettes accusatrices dont font état certains écrits sur internet n'existent pas. » Les proches du condamné rejettent aussi l'existence de « supplices ». Alors que l'association marocaine « Touche pas à mon enfant » s'indigne de la « clémence » de la peine, l'avocat et la famille qui fait référence au fiasco d'Outreau « où l'on a cru sur parole des enfants instrumentalisés », soutiennent : « Si elle est si sûre de la parole des enfants, pourquoi cette association ne s'est-elle pas portée partie civile ? ». En attendant le jugement définitif de celui qui est son agent général depuis 30 ans sur la ville d'Auch, la compagnie d'assurance a décidé hier de le suspendre. Un « gestionnaire » doit dès aujourd'hui venir diriger l'agence de la rue Du Pouy.
Le chiffre : 5
ans > Prison. La condamnation a été prononcée le 18 mars et le Gersois immédiatement incarcéré. Plusieurs enfants scolarisés dans le village où la famille possède une maison l'ont accusé « d'agissements pédophiles. »
« De nombreuses contradictions et des invraisemblances émaillent les révélations des enfants. » Me Sadik Cherkaoui, l'avocat marocain de Jean-Bernard Baradat.
Sa famille crie à la machination
Son épouse comme leur fille, installée au Maroc, dénoncent « une machination ». Dans ce village, où il est le seul étranger, l'assureur aurait été bien « accepté » tant qu'il a fait travailler la main-d'œuvre locale à la rénovation de la maison. Depuis, il serait « rejeté » par une partie de la population.
Alors que l'association marocaine « Touche pas à mon enfant » s'indigne de la « clémence » de la peine, l'avocat et la famille font référence au fiasco d'Outreau « où l'on a cru sur parole des enfants instrumentalisés ». Ils interrogent: « Pourquoi cette association ne s'est-elle pas portée partie civile, si elle est si sûre de la parole des enfants?
ladepeche.fr
je fait comme Euronews (No comment)
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