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Les sans-papiers occupent la Cité de l’immigration
Près de 600 travailleurs sans papiers en France occupent, depuis jeudi, la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, un lieu hautement symbolique, pour marquer leur ras le bol. Après plusieurs mois de grève, d’occupation de la Bastille, de manifestations…, les sans-papiers ont arraché en juin dernier au gouvernement un texte établissant les critères de régularisation par le travail.
Aujourd’hui, ils se heurtent aux blocages des ministères et des préfectures qui refusent d’admettre ces critères et n’ont admis à l’examen que 2000 dossiers sur 6 800. De nombreuses organisations syndicales, partis et ONG ont appelé à soutenir ce mouvement et se sont félicités que l’occupation se fasse dans un lieu dont la vocation officielle est «de faire reconnaître les apports de l’immigration en France».
Le soir DZ
Près de 600 travailleurs sans papiers en France occupent, depuis jeudi, la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, un lieu hautement symbolique, pour marquer leur ras le bol. Après plusieurs mois de grève, d’occupation de la Bastille, de manifestations…, les sans-papiers ont arraché en juin dernier au gouvernement un texte établissant les critères de régularisation par le travail.
Aujourd’hui, ils se heurtent aux blocages des ministères et des préfectures qui refusent d’admettre ces critères et n’ont admis à l’examen que 2000 dossiers sur 6 800. De nombreuses organisations syndicales, partis et ONG ont appelé à soutenir ce mouvement et se sont félicités que l’occupation se fasse dans un lieu dont la vocation officielle est «de faire reconnaître les apports de l’immigration en France».
Le soir DZ