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Plat ancestral, la soupe a plus d'un atout : elle est riche en eau, vitamines et minéraux, elle peut aussi bien se faire entrée que plat principal, elle est peu énergétique mais rassasiante, elle se décline à l'infini et se consomme facilement. Pour toutes ces raisons, elle constitue une alliée de choc pour celles et ceux qui surveillent leur ligne. Zoom sur ce produit miracle.
Selon la recette ancestrale, la soupe est composée essentiellement d’eau, de légumes, et contient peu de matières grasses. Elle constitue donc un plat light, peu énergétique et quasiment dépourvu de lipides. Ainsi, une assiette de 250 ml de soupe apporte en moyenne : Soupe chinoise : 52 kcal, Soupe poireaux/pommes de terre : 70 kcal, Soupe à l’oignon : 72 kcal, Soupe de poissons : 72 kcal, Soupe de légumes : 75 kcal, Minestrone : 80 kcal, Soupe d’asperges : 102 kcal.
Servie chaude, la soupe se consomme en outre lentement et rassasie rapidement, ce qui favorise un bon contrôle de la prise énergétique au cours d’un même repas. D’ailleurs de nombreuses études scientifiques indiquent que la consommation de soupe joue un rôle bénéfique pour la gestion du poids. Elles démontrent qu’il existe une relation inverse entre l’indice de masse corporel et la quantité de soupe consommée : en clair, plus on consomme de soupe, moins on souffre de surpoids.
La soupe est traditionnellement composée de plusieurs légumes, ce qui favorise la variété des apports nutritionnels. Chaque légume possède en effet un profil nutritionnel spécifique. Côté vitamines, la carotte et le potiron possèdent des teneurs élevées en caroténoïdes, le poivron et la tomate en vitamine C, le chou et le céleri en B9. Côté minéraux, les légumes les plus riches en calcium sont le cresson, les épinards, le brocoli, les haricots verts, le céleri et le fenouil ; en magnésium, les épinards, le brocoli et les petits pois ; en potassium les épinards, le fenouil, le potiron, le céleri, le chou, la carotte, le navet, la courgette ; en fer, le cresson, les épinards, le brocoli, le poireau, le céleri ; en zinc et sélénium, l’ail, l’endive, les champignons, le poireau, le petit pois ; en souffre, l’ail, les choux, l’oignon et le poireau. Pour obtenir une soupe aux apports variés en micronutriments, mieux vaut donc y mettre une large gamme de légumes, associant différentes couleurs et mélangeant les « familles », feuilles (épinards, salade), racines (carotte, navet, pomme de terre), tiges (poireau, asperge) et fruits (tomate, haricot vert, aubergine). Cette extraordinaire richesse micro nutritionnelle des soupes est aussi due au mode de cuisson : le découpage des légumes en petits morceaux augmente en effet la surface de contact avec l’eau de cuisson, dans laquelle les minéraux se libèrent. Cette eau de cuisson étant conservée, il n’y a aucune perte. De plus, en attendrissant et en solubilisant certaines fibres des végétaux, la cuisson favorise l’assimilation de leurs minéraux.
L’eau est le principal constituant de la soupe qui en contient de 85 à 90% (eau de la soupe + eau des légumes). Une assiette de 300 ml en apporte environ 260 ml, ce qui contribue à nos besoins de consommation d’eau quotidienne. De plus, dans la soupe, une partie du liquide est lié aux fibres des légumes, ce qui permet d’étaler son assimilation dans le temps. Résultat : un bol hydrate durablement et nettoie l’organisme, surtout si la recette contient des légumes aux effets diurétiques (oignons, poireaux…). Essentiellement composée de légumes, la soupe est très riche en fibres cuites, particulièrement digestes. Ces fibres indispensables à l’organisme sont essentielles quand on souhaite préserver sa ligne : en régulant en douceur le transit intestinal, elles font un ventre plat, et surtout, en s’associant à l’eau, elles remplissent l’estomac et rassasient durablement.
Si vous la consommez en entrée pour ses effets coupe-faim, votre soupe peut se contenter de n’apporter que des légumes. En revanche, si elle constitue votre repas, il est important qu’elle contienne, sous différentes formes, d’autres nutriments indispensables à l’organisme :
-Des féculents, sous forme de pommes de terre, de légumes secs, de croûtons de pain maison, de pâtes, de vermicelle ou de tapioca, pour leur énergie lentement diffusée dans l’organisme.
-Des protéines maigres, sous forme de poisson, de petits morceaux de poulets, de coquillages, pour l’entretien de la masse musculaire.
(auféminin.com)
Selon la recette ancestrale, la soupe est composée essentiellement d’eau, de légumes, et contient peu de matières grasses. Elle constitue donc un plat light, peu énergétique et quasiment dépourvu de lipides. Ainsi, une assiette de 250 ml de soupe apporte en moyenne : Soupe chinoise : 52 kcal, Soupe poireaux/pommes de terre : 70 kcal, Soupe à l’oignon : 72 kcal, Soupe de poissons : 72 kcal, Soupe de légumes : 75 kcal, Minestrone : 80 kcal, Soupe d’asperges : 102 kcal.
Servie chaude, la soupe se consomme en outre lentement et rassasie rapidement, ce qui favorise un bon contrôle de la prise énergétique au cours d’un même repas. D’ailleurs de nombreuses études scientifiques indiquent que la consommation de soupe joue un rôle bénéfique pour la gestion du poids. Elles démontrent qu’il existe une relation inverse entre l’indice de masse corporel et la quantité de soupe consommée : en clair, plus on consomme de soupe, moins on souffre de surpoids.
La soupe est traditionnellement composée de plusieurs légumes, ce qui favorise la variété des apports nutritionnels. Chaque légume possède en effet un profil nutritionnel spécifique. Côté vitamines, la carotte et le potiron possèdent des teneurs élevées en caroténoïdes, le poivron et la tomate en vitamine C, le chou et le céleri en B9. Côté minéraux, les légumes les plus riches en calcium sont le cresson, les épinards, le brocoli, les haricots verts, le céleri et le fenouil ; en magnésium, les épinards, le brocoli et les petits pois ; en potassium les épinards, le fenouil, le potiron, le céleri, le chou, la carotte, le navet, la courgette ; en fer, le cresson, les épinards, le brocoli, le poireau, le céleri ; en zinc et sélénium, l’ail, l’endive, les champignons, le poireau, le petit pois ; en souffre, l’ail, les choux, l’oignon et le poireau. Pour obtenir une soupe aux apports variés en micronutriments, mieux vaut donc y mettre une large gamme de légumes, associant différentes couleurs et mélangeant les « familles », feuilles (épinards, salade), racines (carotte, navet, pomme de terre), tiges (poireau, asperge) et fruits (tomate, haricot vert, aubergine). Cette extraordinaire richesse micro nutritionnelle des soupes est aussi due au mode de cuisson : le découpage des légumes en petits morceaux augmente en effet la surface de contact avec l’eau de cuisson, dans laquelle les minéraux se libèrent. Cette eau de cuisson étant conservée, il n’y a aucune perte. De plus, en attendrissant et en solubilisant certaines fibres des végétaux, la cuisson favorise l’assimilation de leurs minéraux.
L’eau est le principal constituant de la soupe qui en contient de 85 à 90% (eau de la soupe + eau des légumes). Une assiette de 300 ml en apporte environ 260 ml, ce qui contribue à nos besoins de consommation d’eau quotidienne. De plus, dans la soupe, une partie du liquide est lié aux fibres des légumes, ce qui permet d’étaler son assimilation dans le temps. Résultat : un bol hydrate durablement et nettoie l’organisme, surtout si la recette contient des légumes aux effets diurétiques (oignons, poireaux…). Essentiellement composée de légumes, la soupe est très riche en fibres cuites, particulièrement digestes. Ces fibres indispensables à l’organisme sont essentielles quand on souhaite préserver sa ligne : en régulant en douceur le transit intestinal, elles font un ventre plat, et surtout, en s’associant à l’eau, elles remplissent l’estomac et rassasient durablement.
Si vous la consommez en entrée pour ses effets coupe-faim, votre soupe peut se contenter de n’apporter que des légumes. En revanche, si elle constitue votre repas, il est important qu’elle contienne, sous différentes formes, d’autres nutriments indispensables à l’organisme :
-Des féculents, sous forme de pommes de terre, de légumes secs, de croûtons de pain maison, de pâtes, de vermicelle ou de tapioca, pour leur énergie lentement diffusée dans l’organisme.
-Des protéines maigres, sous forme de poisson, de petits morceaux de poulets, de coquillages, pour l’entretien de la masse musculaire.
(auféminin.com)
sans oublier les 2litres d'eau par jour
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