Renault cherche à installer une usine de montage en Algérie. C'est du moins ce qu'affirme mercredi à Alger le ministre de l'Industrie et de la promotion de l'Investissement, Mohamed Benmeradi, selon lequel Renault "va s'impliquer davantage (en Algérie) avec des investissements directs".
"Les détails de l'investissement ne sont pas encore arrêtés, mais le principe retenu lors des discussions entre les deux parties est d'arriver à produire 75.000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles'', a-t-il déclaré le ministre.
Ce dernier a précisé au passage que les discussions portent sur " la création dans une première étape d'une usine de montage, qui sera suivie dans une seconde étape par la fabrication de véhicules avec un taux d'intégration de l'industrie nationale de 40% étalée sur quatre ans".
''Si les négociations aboutissent, l'usine sera implantée sur les sites de la SNVI'', a révélé encore Benmeradi, qui a indiqué que Renault s'est proposé de ''livrer ses véhicules au marché algérien d'ici à 2012''. Mais, "nous sommes loin de parvenir à un accord, nous allons poursuivre aujourd'hui les négociations sur ce dossier", a-t-il néanmoins nuancé dans une déclaration reprise mercredi par l'APS.
Par El Watan.
"Les détails de l'investissement ne sont pas encore arrêtés, mais le principe retenu lors des discussions entre les deux parties est d'arriver à produire 75.000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles'', a-t-il déclaré le ministre.
Ce dernier a précisé au passage que les discussions portent sur " la création dans une première étape d'une usine de montage, qui sera suivie dans une seconde étape par la fabrication de véhicules avec un taux d'intégration de l'industrie nationale de 40% étalée sur quatre ans".
''Si les négociations aboutissent, l'usine sera implantée sur les sites de la SNVI'', a révélé encore Benmeradi, qui a indiqué que Renault s'est proposé de ''livrer ses véhicules au marché algérien d'ici à 2012''. Mais, "nous sommes loin de parvenir à un accord, nous allons poursuivre aujourd'hui les négociations sur ce dossier", a-t-il néanmoins nuancé dans une déclaration reprise mercredi par l'APS.
Par El Watan.
Commentaire