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Révélations. Macif, Renault, Lafarge, Sanofi-Aventis et Bretagne Emballage

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  • Révélations. Macif, Renault, Lafarge, Sanofi-Aventis et Bretagne Emballage

    Révélations. Macif, Renault, Lafarge, Sanofi-Aventis et Bretagne Emballage : les non dits de la visite de Raffarin à Alger


    La visite, le mois dernier, de l’ex-Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin, avait fait le buzz en Algérie. L’émissaire français était chargé par le Président Sarkozy de la délicate mission de relancer la coopération économique entre les deux pays.

    [IMG]http://*************.com/wp-content/uploads/2010/12/raf-150x150.jpg[/IMG]
    En réalité, Raffarin avait été dépêché pour trouver une solution au blocage des investissements français en Algérie. Lors de sa visite au pays, Jean-Pierre Raffarin n’a évoqué qu’un seul dossier : celui de l’implantation d’une usine Renault en Algérie en déclarant qu’un accord avait été trouvé pour construire une unité de montage Renault
    en Algérie avec une capacité de production de 50.000 voitures par an. Sans donner plus de détails.
    «Algérie-Focus.Com» a pu obtenir de sources crédibles les détails des points traités par Raffarin avec les responsables algériens. Et pas des moindres.
    Révélations.
    Le partenariat Renault Trucks-SNVI tombe à l’eau
    Nos sources affirment que la Branche «Renault Trucks» a abandonné son projet de partenariat avec l’entreprise national SNVI pour le montage de véhicules poids lourds dans l’unité de Rouiba. «L’idée d’une joint-venture Renault-SNVI pour la construction de camions n’est plus d’actualité».
    Précisons que cette association devait se faire selon la règle des 51/49 avec la SNVI comme actionnaire majoritaire.

    Des Dacia algériennes, mais rien d’officiel
    Concernant l’implantation d’une usine de montage de voitures, nos sources précisent que le projet est «dans l’air» mais que, contrairement à ce qui a été dit, Renault n’a, jusqu’à présent, présenté aucune offre officielle. «Le sujet a été abordé, mais aucune procédure officielle n’a été entamée par les Français», révèlent nos
    sources. Et d’ajouter qu’il ne s’agit plus de voitures Renault mais bel et bien de la marque Dacia.
    Un traitement en catimini
    Selon nos informations, le dossier Renault avait étouffé le reste des sujets traités par Raffarin lors de sa visite en Algérie. Et pas les moins importants. Pasaffirment que pas moins de 5 projets d’investissements ont été débloqués par l’émissaire français, affirment nos sources. Une situation due à «une stratégie algérienne» et non à une «abdication» aux exigences des Français. Nonobstant, l’année 2011 sera, sans doute, prolifique pour les investisseurs français.
    Ainsi, apprend-on de même sources que les assureurs Macif et S.G. Insurance pourront s’implanter en Algérie et rejoindra AXA sur le marché local des assurances, Bretagne Emballage sera retenue pour la restructuration de la filière lait en Algérie, Sanofi-Aventis implantera son usine à Sidi Abdallah et Lafarge pourra lancer d’autres cimenteries aux pays.
    Cinq dossiers lourds sont toujours débloqués et sur lesquels un blackout total a été observé. Nos sources concluent que le nouveau «Monsieur Algérie» sera de retour à la mi 2011 pour un nouveau round de négociations.


    algerie focus
    *Nobody is perfect..I'm Nobody*

  • #2
    Révélations.
    Le partenariat Renault Trucks-SNVI tombe à l’eau

    Des Dacia algériennes, mais rien d’officiel

    Un traitement en catimini
    tout est dit clair et net
    conclusion :
    walou ; rien

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    • #3
      Le résumé est que la france gagne beaucoup d'argent en algérie , ce qui contraste avec les slogans du régime algérien .

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      • #4
        en effet, totalement déphasés, mais bon c'est ça la defintion du slogan creux et pseudo-principes même.

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        • #5
          La France c'est le méchant, «l'ancien colon«, «le néo-colonialiste», «l'exploiteur», c'est surtout le «fonds de commerce» de ceux qui nous tiennent ces discours et qui y ont tous: au moins une résidence et un joli compte bancaire pour les «vieux jours» en attendant de mourir dans un de ses hôpitaux.
          Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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