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Le Bureau des modifications météorologiques de Pékin

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  • Le Bureau des modifications météorologiques de Pékin

    Sous ces trois lettres énigmatiques se cache une réalité qui peut surprendre : le Bureau de Modification Météorologique.

    C’est un rêve que caresse l’homme depuis la nuit des temps : faire la pluie ou le beau temps.

    Ce rêve s’est réalisé récemment, au moins en Chine, puisqu’on a appris que, pour laver la pollution qui envahissait le ciel de Pékin, le gouvernement chinois avait décidé de créer ce B.M.M afin de ne pas compromettre la réussite des jeux olympiques.

    Ce BMM est une division de l’agence météorologique chinoise qui emploie 37 000 personnes.

    Pour parvenir à faire tomber la pluie, ils sont chargés de tirer des fusées remplies d’iodure d’argent afin d’ensemencer les nuages. lien

    Outre ces fusées, ce sont 5 canons antiaériens qui sont utilisés, et qui provoquent la pluie en tirant dans les nuages des cartouches chimiques à base d’iodure d’argent.

    Ce BMM a déjà à son actif plusieurs réussites : il aurait provoqué des pluies pour combattre les incendies, et crée une tempête de neige en novembre 2009. lien

    Sur ce lien, une explication graphique du système employé.

    Tout surprenantes ces informations soient-elles, ce n’est pourtant pas une nouveauté.

    Il y a longtemps que les agriculteurs utilisent des « canons anti grêle » pour faire tomber la pluie avant que la grêle ne vienne ravager les récoltes, mais là, on vient de franchir une étape largement supplémentaire. lien

    Pourtant, il y a mieux.

    Des 1966, l’armée américaine avaient utilisé ce procédé afin de faire tomber des pluies diluviennes afin d’enliser l’armée nord-vietnamienne dans la boue, en prolongeant artificiellement la mousson. lien

    Ils avaient appelé ce programme « Popeye ».

    La guerre climatique a donc bel et bien commencé depuis longtemps. lien

    En France, le réchauffement climatique pose de sérieux problèmes aux stations de sports d’hiver.

    Celles-ci demandent des investissements considérables pour que les skieurs puissent aller s’amuser à descendre et remonter les pistes.

    Pour amortir ces lourds équipements les gestionnaires sans d’état d’âmes n’hésitent pas à utiliser les canons à neige, gros consommateurs d’eau. lien

    Habituellement, il suffit d’une température proche du zéro, afin de fabriquer de la neige artificielle à l’aide de ces canons.

    Une scientifique allemande, Carmen de Jong, qui avait obtenu des subventions européennes pour travailler sur le dossier de la neige artificielle s’est fait proprement et simplement remercier. lien

    Mais lorsque la température n’est pas assez froide, il est possible d’utiliser une nouvelle technologie utilisant une bactérie (snowmax), qui permet de produire de la neige a +4.

    Eric Féraille de la FRAPNA a évoqué un danger potentiel, car si le chromosome bactérien est détruit par l’irradiation du snowmax, ce n’est pas le cas des plasmides (permettant la résistance aux antibiotiques) qui se retrouveront dans la nature, avec les conséquences que l’on peut imaginer. lien

    Pour l’instant, à part le Tyrol du Sud, et la province de Voralberg en Autriche qui en ont interdit l’usage, en France, les stations sont très discrètes sur son utilisation, et certains prétendent qu’il est interdit depuis 2004. lien

    Cependant, une question reste posée, les stations utilisent-elles maintenant des méthodes d’ensemencement par pulvérisation aérienne en utilisant l’iodure d’argent (lien), ou même grâce aux canons à neige ? lien

    Lorsque la neige fond, les particules d’argent asphyxient la végétation, lui donnant une coloration rouge, puis se retrouvent dans les nappes phréatiques, avant d’arriver dans nos estomacs.

    Le fait que les avions puissent disperser des agents chimiques n’est pas non plus une nouveauté.

    Si l’on prend connaissance des brevets déposés développant des procédés capables de modifier le temps en utilisant des produits chimiques, on ne peut plus avoir le moindre doute sur les possibilités du passage à l’acte. lien

    Chacun a pu observer au moins une fois dans sa vie d’étranges trainées blanches quadrillant le ciel, semblables à celles que laissent les avions.

    Sauf qu’au lieu de provoquer l’apparition d’une ou de quelques lignes dans le sillage des réacteurs, on observe un quadrillage comme on peut le voir sur cette photo.

    Il ne s’agit pas des simples trainées que laissent les avions habituellement, lesquelles sont dues à la condensation provoquée par le gel de la vapeur d’eau, disparaissant en quelques secondes (contrails) mais il s’agit manifestement d’épandages chimiques.(chemtrails)

    Sur cette photo, on voit clairement que ces trainées ne proviennent par des réacteurs.

    Comme on peut le voir sur cette photo, ils restent bien longtemps après le passage de l’avion.

    Il y a mieux, puisque des photos de l’intérieur d’un avion, contenant des barils, avec l’indication « aéronef d’épandage » et de l’équipement utilisé par le personnel de bord est appelé « Hazmat-Inside » prouvent clairement qu’il y a manipulation de produits toxiques. lien

    Quand à l’équipement installé sur la queue de l’avion, il n’est manifestement pas là pour la décoration. photo

    Des laboratoires environnementaux ont identifiés dans les produits relâchés du dibromure d’éthylène. lien

    Pour le journaliste William Thomas il s’agit d’attaque biologique délibérée. lien

    Mais le pire est peut-être devant nous.

    Il faut tout d’abord se pencher sur l’œuvre de Nikola Tesla.

    Ce génial et prolifique inventeur né en 1856 nous a quittés en 1943, laissant derrière lui une œuvre considérable, et souvent négligée. lien

    Il semble qu’aujourd’hui, il revienne au devant de la scène scientifique, puisque des chercheurs se basent sur ses inventions pour concevoir d’étranges installations.

    L’une d’elle s’appelle HAARP (High frequency Active Auroral Research Program). lien

    Dans la revue « the ecologist » ainsi que dans « Global Resarch » Michel Chossudovsky économiste canadien professeur à la faculté des sciences sociales de l’université d’Ottawa est convaincu : « il s’agit d’une arme de destruction massive capable de déstabiliser des systèmes agricoles et écologiques au niveau mondial » lien

    Il existe en Alaska, dans un petit village nommé Gakona, une installation géré par les USA. photo

    En haut lieu, on affirme qu’il ne s’agit que d’expérimentations dans le domaine de la communication. vidéo

    Lorsque les 180 pylônes de cette installation seront terminés, cela ne fera qu’une seule et unique antenne d’une puissance d’un milliard de watts, capable selon David Harrison de faire un trou dans l’ionosphère.

    Sur cette vidéo, réalisée par Jesse Ventura, on peut tenter de se faire une idée.

    Jesse Ventura est un personnage pour le moins atypique : ce vétéran du Vietnam, ancien catcheur, puis acteur, a été élu maire de Brooklyn Park, puis gouverneur de l’état du Minnesota jusqu’en 2003, et n’avait pas écarté l’option de se présenter à la présidentielle, en déclarant « nous avons besoin d’un lutteur professionnel à la Maison Blanche ». lien

    Il n’est pas le seul à penser qu’à Gakona, on ne dit pas toute la vérité.

    Il existe peu de documents sur Haarp, mais il n’est pas inutile de regarder ce documentaire de 45 minutes afin d’essayer de mieux comprendre de quoi il s’agit. vidéo

    Les Américains ne seraient pas les seuls à utiliser cette technologie, puisque d’après Chossudovsky, les Russes s’y sont mis aussi.

    Poutine a assuré pouvoir bientôt faire briller un soleil radieux lors de chaque manifestation officielle. lien

    Ces installations permettraient de produire des tempêtes, des inondations, des sécheresses et le Dr Rosalie Bertell (lien) confirme la volonté des scientifiques militaires américains de travailler sur de telles technologies. lien

    Selon l’OMM (organisation météorologique mondiale), plus de cent projets de modification artificielle du temps sont mis en œuvre par plusieurs dizaines de pays. lien

    Aux Etats-Unis, les sociétés privées de modification du temps se multiplient : Athmosphérics Inc, TRC North American Weather Consultants et d’autres…lien

    Le Lawrence Livermore National Labotary et l’université de Stanford s’impliquent aussi dans ce domaine. lien

    A Stanford, ils sont bourrés d’imagination, tel Stéphane Schneider, qui a quitté ce bas monde en juillet dernier, et qui proposait d’envoyer des vaisseaux spatiaux afin de cacher le soleil.

    D’autres imaginent pour 2 200 milliards d’euros, l’installation à 1,5 millions de km de la terre, d’un miroir de 2000 km2 de diamètre, qui ferait office de thermostat terrestre.

    La question posée aujourd’hui est : ne faut-il pas se décider à protéger notre climat en prenant les décisions contournées jusqu’à maintenant par les dirigeants de la planète, ou accepter que ces projets fous continuent de se réaliser, avec tous les risques qu’ils impliquent. lien

    Car comme disait mon vieil ami africain :

    « le meilleur ennemi de l’homme, c’est l’homme »

    L’image illustrant l’article provient de « futurquantique.org »
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
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