"Aliénation parentale" c’est le comportement d'un enfant qui dénigre totalement l'un de ses parents au point de refuser tout contact avec lui, sans que cela ne soit justifié (generalement en cas de divorce).
Ce phénomène peut entraîner des troubles de la personnalité, voire une dépression chez l'enfant, tandis que le parent rejeté est mis au ban de la société....
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Les associations de victimes dénoncent les dangers encourus par l'enfant.
L'intérêt supérieur de l'enfant est un impératif consacré par la Déclaration universelle des droits de l'Enfant dont le discernement semble devoir faire preuve de plus d'expertise. L'asbl «Solidarité rapt parental» a rappelé, lors d'une récente conférence de presse, que le syndrome d'aliénation parentale, s'il en est encore à ses premiers pas d'un point de vue scientifique, semble bien recouvrir une réalité inquiétante pour la santé mentale des enfants.
Manipulations
Ce phénomène se manifeste surtout en cas de divorce conflictuel où l'enfant se sent contraint de choisir le camp du parent avec lequel il vit. Pourquoi? Pour lui plaire, mais aussi suite à la description négative qui lui est faite du parent «adverse». La conséquence de cette emprise d'un des deux parents est le rejet et le dénigrement total de l'autre, au point de refuser tout contact avec lui. Cette situation est évidemment ressentie comme une effroyable injustice difficile à vivre par le parent victime.
La vérité, voilà l'intérêt
Pour autant, la raison sociale des associations en question déborde le cadre du «selfhelp», car c'est surtout de l'intérêt de l'enfant dont il est question. Refoulement de culpabilité, doute sur sa capacité de perception, mépris d'une partie de soi sont autant de symptômes qui risquent de ressurgir à l'âge adulte sous forme d'angoisses, dépressions et autres troubles psychotiques «borderline».
Le danger doit donc être pris au sérieux et il vaut au 25 avril d'être proclamé «Journée mondiale du syndrome d'aliénation parentale». A cette occasion, l'association de préjudiciés organise une conférence sur le sujet. Sa présidente ne manquera pas de rappeler «qu'il faut que notre Justice soit à la hauteur en prévoyant la garde alternée pour ne pas abandonner l'enfant au venin d'un seul parent».
© La Libre Be
Ce phénomène peut entraîner des troubles de la personnalité, voire une dépression chez l'enfant, tandis que le parent rejeté est mis au ban de la société....
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Les associations de victimes dénoncent les dangers encourus par l'enfant.
L'intérêt supérieur de l'enfant est un impératif consacré par la Déclaration universelle des droits de l'Enfant dont le discernement semble devoir faire preuve de plus d'expertise. L'asbl «Solidarité rapt parental» a rappelé, lors d'une récente conférence de presse, que le syndrome d'aliénation parentale, s'il en est encore à ses premiers pas d'un point de vue scientifique, semble bien recouvrir une réalité inquiétante pour la santé mentale des enfants.
Manipulations
Ce phénomène se manifeste surtout en cas de divorce conflictuel où l'enfant se sent contraint de choisir le camp du parent avec lequel il vit. Pourquoi? Pour lui plaire, mais aussi suite à la description négative qui lui est faite du parent «adverse». La conséquence de cette emprise d'un des deux parents est le rejet et le dénigrement total de l'autre, au point de refuser tout contact avec lui. Cette situation est évidemment ressentie comme une effroyable injustice difficile à vivre par le parent victime.
La vérité, voilà l'intérêt
Pour autant, la raison sociale des associations en question déborde le cadre du «selfhelp», car c'est surtout de l'intérêt de l'enfant dont il est question. Refoulement de culpabilité, doute sur sa capacité de perception, mépris d'une partie de soi sont autant de symptômes qui risquent de ressurgir à l'âge adulte sous forme d'angoisses, dépressions et autres troubles psychotiques «borderline».
Le danger doit donc être pris au sérieux et il vaut au 25 avril d'être proclamé «Journée mondiale du syndrome d'aliénation parentale». A cette occasion, l'association de préjudiciés organise une conférence sur le sujet. Sa présidente ne manquera pas de rappeler «qu'il faut que notre Justice soit à la hauteur en prévoyant la garde alternée pour ne pas abandonner l'enfant au venin d'un seul parent».
© La Libre Be
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