Une équipe espagnole issue de l'Institut de Biologie Moléculaire de Barcelone (CSIC) et de l'Institut de Recherche Biomédicale du Parc Scientifique de Barcelone, a découvert une nouvelle forme d'ADN qui pourrait développer de nouveaux traitements contre les tumeurs et contre d'autres pathologies, comme la maladie de Huntington.
L'équipe travaille en collaboration avec l'Université de Birmingham (Royaume-Uni) et l'étude a fait partie du portail de la revue Angewandte Chemie.
L'étude décrit une nouvelle forme d'union entre les drogues et l'ADN, ce qui permettrait, selon les chercheurs, de développer une quatrième génération de médicaments anti-ADN. Le derigeant de l'equipe, Coll explique qu'ils ont développé une drogue synthétique en forme de prisme triangulaire.
Cette drogue s'unit à l'ADN en se plaçant au centre d'un croisement de trois branches.
Ces croisements se forment quand trois doubles hélices d'ADN sont rassemblées en un point. Ils ont été observés dans la maladie de Huntington. De plus, ce phénomène se produit au sein du génome de certains virus et lors de la reproduction de l'ADN, comme par exemple dans le développement de tumeurs.
Ce croisement de trois branches laisse une cavité dans le centre. Les chercheurs du CSIC expliquent que cette cavité est parfaite pour y mettre la drogue et ainsi bloquer l'ADN.
Durant les années soixante, trois types de drogues anti-ADN ont été découverts. Chacun s'unissant à l'ADN de manière différente. Certaines de ces drogues sont régulièrement utilisées de nos jours dans les thérapies anti-cancéreuses.
Cette nouvelle découverte propose une quatrième façon d'attaquer l'ADN et ouvre une nouvelle voie pour la conception de drogues.
- Bulletins-électroniques
L'équipe travaille en collaboration avec l'Université de Birmingham (Royaume-Uni) et l'étude a fait partie du portail de la revue Angewandte Chemie.
L'étude décrit une nouvelle forme d'union entre les drogues et l'ADN, ce qui permettrait, selon les chercheurs, de développer une quatrième génération de médicaments anti-ADN. Le derigeant de l'equipe, Coll explique qu'ils ont développé une drogue synthétique en forme de prisme triangulaire.
Cette drogue s'unit à l'ADN en se plaçant au centre d'un croisement de trois branches.
Ces croisements se forment quand trois doubles hélices d'ADN sont rassemblées en un point. Ils ont été observés dans la maladie de Huntington. De plus, ce phénomène se produit au sein du génome de certains virus et lors de la reproduction de l'ADN, comme par exemple dans le développement de tumeurs.
Ce croisement de trois branches laisse une cavité dans le centre. Les chercheurs du CSIC expliquent que cette cavité est parfaite pour y mettre la drogue et ainsi bloquer l'ADN.
Durant les années soixante, trois types de drogues anti-ADN ont été découverts. Chacun s'unissant à l'ADN de manière différente. Certaines de ces drogues sont régulièrement utilisées de nos jours dans les thérapies anti-cancéreuses.
Cette nouvelle découverte propose une quatrième façon d'attaquer l'ADN et ouvre une nouvelle voie pour la conception de drogues.
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