Dans le Mississippi, une jeune femme de 24 ans est accusée d’avoir tué son fils de trois ans, dont le corps a été retrouvé dans le four, brûlé. La famille et les services de police de Greenville sont sous le choc. ne vision d’horreur. C’est ce qu’ont eu les policiers de Greenville, dans le Mississippi. Mercredi soir, peu avant minuit, ils reçoivent un appel d’urgence, dont la nature n’a pas été révélée par les enquêteurs. Une fois sur place, ils découvrent l’inimaginable: un cadavre d’enfant dans le four de l’appartement. Carbonisé. Methel Johnson, officier de police judiciaire du comté de Washington, a raconté à la chaîne de télévision locale, WXVT-TV: «Quand je suis entrée dans cet appartement, la première chose que j’ai vu était ce petit garçon. Dans le four.» Le garçonnet vivait seul avec sa mère et sa sœur, qui a été immédiatement placée en famille d’accueil. Terrie Robinson, 24 ans, n’a pas su expliquer son geste, mais a été mise en examen pour meurtre. Le juge de Greenville a fixé la caution de la mère infanticide présumée à cinq millions de dollars (3,6 millions d’euros).
Un policier de Greenville a déclaré: «C’est très perturbant. Pour le moment, nous devons faire notre travail d’enquêteurs. Je pense que c’est un événement très tragique pour cette communauté.» Une autopsie, réalisée ce week-end, a déterminé que le petit garçon était encore vivant quand sa mère l’a placé dans l’appareil ménager. Mort de chaleur, il reste encore à savoir s'il était conscient à ce moment. Methel Johnson a précisé: «Il y avait des traces de traumatismes, qui auraient pu lui être infligés avant qu’il ait été placé dans le four, ou alors il était endormi, ce que je pense. C’est un moment vraiment triste pour moi, a-t-elle poursuivi. J’ai vu beaucoup de choses, mais c’est ça qui sera gravé dans ma mémoire pour très, très longtemps».
«Ce n’est pas une mauvaise mère»
La sœur jumelle de l'accusée a déclaré, en larmes: «C’était une mère formidable, quelqu’un de bien. On ne sait pas ce qui a pu aller de travers.» Sherrie a insisté pour que les gens de jugent pas sa sœur trop vite, alors que l’enquête est toujours en cours: «On ne sait pas ce qui a pu se passer. Ne vous faites pas d’idées trop rapides, à la traiter de mauvaise mère, parce que ce n’est pas ce qu’elle est.» La tante de Tristan est, bien évidemment, sous le choc: «Mon cœur a littéralement été piétiné, vraiment. Je ne sais même pas quoi dire. Tout ce que nous pouvons faire, c’est pleurer et prier, parce que c’était ma sœur, vous savez, c’était mon neveu. A chaque fois, on voit des informations selon lesquelles un père tue ses enfants ou autre, mais on ne pense jamais que ça arrivera près de chez nous.»
Paris Match
Un policier de Greenville a déclaré: «C’est très perturbant. Pour le moment, nous devons faire notre travail d’enquêteurs. Je pense que c’est un événement très tragique pour cette communauté.» Une autopsie, réalisée ce week-end, a déterminé que le petit garçon était encore vivant quand sa mère l’a placé dans l’appareil ménager. Mort de chaleur, il reste encore à savoir s'il était conscient à ce moment. Methel Johnson a précisé: «Il y avait des traces de traumatismes, qui auraient pu lui être infligés avant qu’il ait été placé dans le four, ou alors il était endormi, ce que je pense. C’est un moment vraiment triste pour moi, a-t-elle poursuivi. J’ai vu beaucoup de choses, mais c’est ça qui sera gravé dans ma mémoire pour très, très longtemps».
«Ce n’est pas une mauvaise mère»
La sœur jumelle de l'accusée a déclaré, en larmes: «C’était une mère formidable, quelqu’un de bien. On ne sait pas ce qui a pu aller de travers.» Sherrie a insisté pour que les gens de jugent pas sa sœur trop vite, alors que l’enquête est toujours en cours: «On ne sait pas ce qui a pu se passer. Ne vous faites pas d’idées trop rapides, à la traiter de mauvaise mère, parce que ce n’est pas ce qu’elle est.» La tante de Tristan est, bien évidemment, sous le choc: «Mon cœur a littéralement été piétiné, vraiment. Je ne sais même pas quoi dire. Tout ce que nous pouvons faire, c’est pleurer et prier, parce que c’était ma sœur, vous savez, c’était mon neveu. A chaque fois, on voit des informations selon lesquelles un père tue ses enfants ou autre, mais on ne pense jamais que ça arrivera près de chez nous.»
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