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Nanotechnologie : Le Maroc sera doté d'un pôle industriel de haute technologie

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  • Nanotechnologie : Le Maroc sera doté d'un pôle industriel de haute technologie

    Un pôle industriel vient de voir le jour au maroc consacre aux nanotechnologies,grâce en partie a des scientifiques marocains résidents a l'étranger.

    Un marche de centaines de milliards de dollars s'ouvre aux boites marocaines,mais il nous reste seuleument deux ans sinon ca sera trop tard

    -----------------------------------
    http://www.lematin.ma/Economic/Article.asp?id=11212

    Le projet de doter le Maroc d'un pôle industriel de haute technologie, plus précisément un pôle de développement dédié à la nanotechnologie, la micro-technologie et la biotechnologie fait son chemin. Les contours de ce projet ambitieux se dessinent actuellement, comme l'ont montré les participants à une rencontre à ce sujet qui a eu lieu vendredi à Rabat, entre de grands groupes industriels nationaux et internationaux, chercheurs et universitaires, et des bailleurs de fonds internationaux.

    Il s'agit notamment de Safran, Valeo et ST micro-electronics, la CDG, les principales banques de la place ainsi que des sociétés de capital-risque, le Trésor et des bailleurs de fonds internationaux (SFI et BEI).

    Il est à préciser que la nanotechnologie, qui fait partie des technologies de l'avenir, consiste à élaborer des mécanismes de la taille du nanomètre, c'est-à-dire proche de celle de l'atome. Elle concerne l'élaboration et la production de matériaux, d'objets ou de machines mesurant moins de 100 nanomètres (un nanomètre = 1 milliardième de mètre).

    Ce projet repose notamment sur les MRE, opérateurs économiques dans des activités à haute valeur ajoutée ou chercheurs universitaires de haut niveau, basés un peu partout dans le monde. Le ministère de l'Industrie, du Commerce et de la Mise à niveau de l'économie a entamé depuis déjà un an un programme pour démarcher ces chefs d'entreprises qui ont des clients parmi les grands groupes mondiaux pour les mettre à contribution dans la mise en place de ce pôle industriel d'avant-garde.

    Car, selon Karim Taghi, chef du cabinet du ministre de l'Industrie, du Commerce et de la Mise à niveau de l'économie, et porteur de ce projet, avant de passer à la phase de créer une entreprise et de commencer à produire, il faudra au préalable connaître les besoins du marché.

    En d'autres termes, il faut associer la recherche, la formation et l'industrie pour réduire le fossé entre les deux mondes et pour que les projets donnent lieu à des produits vendables.

    L'objectif étant d'arriver à proposer une offre au label marocain dans ces secteurs à haute valeur ajoutée. «C'est une première mondiale qu'un pays en voie de développement initie une telle approche. En effet, quand on évoque ces secteurs, on pense automatiquement aux pays en développement», a fait valoir M. Taghi, dans une déclaration au Matin, en insistant toutefois sur la notion du temps. «Si dans deux ans, le Maroc ne fait rien pour se positionner dans ces activités en attirant ces opérateurs, ce sera déjà trop tard et cette fenêtre sera ratée».

    Se voulant rassurant, M. Taghi a affirmé que la route est balisée pour la mise en place de ce pôle, qui constitue un prolongement du programme Emergence redéfinissant la politique industrielle du Royaume, selon le ministre de l'Industrie, du Commerce et de la Mise à niveau de l'économie, Salaheddine Mezouar, qui a ouvert les travaux de ladite rencontre.

    La dernière phase qui reste pour la mise en place de ce projet est de boucler le montage financier. Et ce sera l'objet de la prochaine rencontre qui aura lieu en juillet prochain.

    Ce centre technologique sera basé au Technopolis (Rabat-Salé) qui a déjà sa propre stratégie pour attirer des investisseurs étrangers.
    En plus du pôle industriel, ce centre sera également doté d'un pôle dédié à la formation.

    Il est à signaler à ce sujet que le département de l'Industrie et le ministère de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur se penchent actuellement sur un projet visant la formation de 10.000 ingénieurs par an à l'horizon 2010.
    Par ailleurs, ce projet est qualifié de prometteur, selon les participants à cette journée de réflexion, organisée par les deux départements.

    Ils estiment que l'implantation d'un pareil pôle industriel au Maroc permettra au Royaume de passer à la vitesse supérieure dans son ancrage à la donne économique internationale marquée par la prédominance de la nouvelle technologie.

    Surtout que des investisseurs internationaux projettent d'investir dans ces domaines au Royaume, selon M. Mezouar. "Du Japon, des Etats-Unis, du Canada, d'Europe continentale, ils sont des dizaines à avoir manifesté leur intérêt pour la réalisation de projets au Maroc", a-t-il précisé.

    Toutefois, a-t-il nuancé, un tel projet ne verra le jour qu'avec "un partenariat ambitieux et étroit entre l'industrie, la recherche et l'université". Un partenariat d'autant plus souhaitable que, souligne-t-il, "le Maroc dispose d'un formidable gisement à mobiliser" et que "la mise en place de ce pôle industriel de haute technologie permettra de dynamiser les compétences locales, que ce soit dans la recherche ou la formation".

  • #2
    Aller on ose un brainstorming

    qui peut nous donner des exemples en quoi la nature du maghreb pourrait de conjuger avec les nanoTech pour donner des produites hautement compétitifs
    je pense aux énergies renouvelables,a la mer,au désert,aux hydrocarbures,aux phosphates..

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    • #3
      je ne veux pas jouer aux oiseaux de mauvaise augures, mais un tel projet n'est pas réalisable dans le sud, surtout la nanotechlogie. D'une part cela suppose un transfert de savoir faire, d'autre part cela suppose un savoir faire sur place ! Surtout cela suppose beaucoup, beaucoup d'argent !

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      • #4
        je ne veux pas jouer aux oiseaux de mauvaise augures, mais un tel projet n'est pas réalisable dans le sud, surtout la nanotechlogie. D'une part cela suppose un transfert de savoir faire, d'autre part cela suppose un savoir faire sur place ! Surtout cela suppose beaucoup, beaucoup d'argent !

        si la Banque européenne d'investissement et la société financière internationale sont sur le coup,c'est que elles ont de bonnes raisons de le faire,en plus les maghrébins ne sont pas plus stupides que les chinois,si la chine perce dans ce domaine pourquoi pas nous.
        On possède beaucoup de scientifiques a l'étranger qui ne demandent qu'a rentrer,c'est toujours plus beau de réussir face aux siens qu'a l'étranger


        allons pas d'arabo-pessimisme..

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        • #5
          Ce n'est pas une question de pessimisme ou que les scientifics maghrebin n'on pas les capacités.
          mais dans le ndomaine de la maitrise technologique, qu'elle soit nano ou giga.
          ce n'est tout de meme pas l'occident qui va payer, il ne vont tout de meme pas donner le baton pour se faire battre.
          Pour qu'une telle aventure puisse avoir lieu, elle ne peut etre que maghrebine et il en faudra du temps.
          Quand a la chine ou l'inde il ne maitrisent pas la nanotechnologie. en asie il n'y a que la japon qui possede ce savoir faire et encore en collaboration avec les entreprises americaines. meme pas la russie.

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          • #6
            ils ont raison d'être ambitieux.qui ne tente rien n'a rien.et d'apres certains les nanotech vont prendre une place prépondérante dans la sécurité ,l'espionnage.c'est pour ça que ce sont des technologies qui ne seront pas transmises.comme le nucléaire maintenant.

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            • #7
              C'est evident frailleur
              dans le sud il n'y a qu'Israel qui maitrise la nanotechnologie, si le maghrèbe s'asocie avec des entreprises Israeliennes ce sera possible !
              comme par ex, INTEL

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              • #8
                Pour qu'une telle aventure puisse avoir lieu, elle ne peut etre que maghrebine et il en faudra du temps

                cela aurait été l'idéal,je ne suis pas un spécialiste du domaine,mais je sait qu'il y a des équipements de base qui coûtent très cher comme les salles blanches,et prévoir ça pour 2 ou 3 pays au lieu d'un seul aurait été plus rentable économiquement.

                mais qui sait peut être que nos amis algériens vont nous rejoindre bientôt dans cette entreprise,quitte a créer un centre commun a oujda ou oran

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                • #9
                  si le maghrèbe s'asocie avec des entreprises Israeliennes ce sera possible !
                  en algerie on commence à comprendre que le développement s'arrache et ne s'octoie pas.il ne faut compter que sur soi .si on est trop c...on restera à tendre la main pour des miettes.le monde est comme ça.

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                  • #10
                    ismael2005

                    En effet, c'est pas tant les salles blanches, les salles ce n'est pas le problème.
                    Mais il faut construire des machines qui dosent du silicium ou de l'AsGa au milliardième, qui vat les construire ? et d'autres problème que je ne citerai pas !

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                    • #11
                      En effet, c'est pas tant les salles blanches, les salles ce n'est pas le problème.
                      Mais il faut construire des machines qui dosent du silicium ou de l'AsGa au milliardième, qui vat les construire ?


                      on les achète alors,pourquoi on va les construire.
                      en plus ce ça le maroc est maroc de l'OMC donc il bénéficie de clauses qui facilitent le transfert de technologie entre les pays pauvres et les pays riches,
                      si on entre a l'OMC ce n'est pas seulement pour en subir les méfaits mais bien pour en profiter aussi,on n'est pas des masochistes au maroc.



                      Les pays en développement, en particulier, considèrent que le transfert de technologie fait partie de l'accord qu'ils ont passé lorsqu'ils sont convenus de protéger les droits de propriété intellectuelle. L'Accord sur les ADPIC comprend un certain nombre de dispositions sur la question. Par exemple, il dispose que les gouvernements des pays développés doivent offrir des incitations à leurs entreprises afin de promouvoir le transfert de technologie vers les pays les moins avancés (article 66:2).



                      http://www.wto.org/french/tratop_f/t...transfer_f.htm

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                      • #12
                        Je ne crois pas que le budjet est un probleme qu'on on vboir la demarche tres bien pensée des responsables !!

                        Ils sont misés sur les marocains a l'etrangres et trvaillants dans ce secteur ou chef d'entreprises dans ce domaninde, c
                        'est a dire des gens qui ont deja acces au "marché" du nano et peuvent amener des clinets !!

                        et une regle generale dit que si tu as des clinents sûr alors ce que coute la production d'u produits est pas si important puisque aprees tout c'est le clinet qui va la payer ! il faut juste produire a prix competitif ! et vu que cette technique est essentillement hypoteké par les pays developpés oula main d'oeuvre et tres chere, je crois qu'on aura un atout de taille pour le succes de cette entreprise !!

                        Mais il faut faire vite, comme dit Mr. Taghi sinon ca sera de l'argent perdu !!!

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                        • #13
                          ca change tout !
                          Dans ce cas il faut parler d'un nouveau Taiwan, le savoir faire et la recherche sont ailleur et les marocains execute le produit finit, mais il ne sera pas pondu sur place.
                          Au meme titre que renault par exemple. dans ce cas pas besoin de chercheur et de 10.000 ingenieurs etc...
                          c'est de la sous traitance.

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                          • #14
                            Je sais pas si le rpojet est basé sur la sous traitance !! et je crois pas d'ailleurs !! mais meme si c'est le cas la sous traitance reste une methode tres prometteuses pour s'aquerir la technologie !!

                            Je crois que les marocains a l'etranger vont surtout chercher des marchés pour le centre, nouer des reation avec le centre et les centre de recherches internationales ainsi que Université, institut et grande ecole !!

                            Il faut pas oublier que les chercheurs au Maroc dans ce domaine , malgré les moyens derisoires sont tres actives !! je sais par exemple que des etudes et recherche sur les materiaux a base a nano se fait a l'Uni de Marrakech en collaboration avec d'autres université internationales !

                            Et l'allemagen a signé un contrat avec le contrat selon laquelle les chercheurs marocains mais aussi les postulant au doctorat pouraient faire leur recherche dans differents universités, institute et centre de recherches allemand !!

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                            • #15
                              Bravo au Maroc si ce centre voit le jour. Espérons que l'Algérie suive le méme chemin et qu'il y est la création d'un centre de recherches communs. De plus si il y a un partenariat scientifique entre les 2 pays, ils pourraient se produire des choses magnifiques

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