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Près de 156.000 nouveaux postes d’emplois créés chaque année au Maroc

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  • Près de 156.000 nouveaux postes d’emplois créés chaque année au Maroc

    Selon les statistiques du HCP qui ont été dévoilées mercredi à Casablanca, le volume de l’emploi est passé de 8,845 en 2000 à 10,405 millions en 2010. Le taux de chômage a globalement baissé au cours de la décennie en passant de 13,4 à 9,1% au niveau national.

    Le volume de l’emploi est passé de 8,845 en 2000 à 10,405 millions en 2010 avec une création annuelle moyenne de 156.000 postes. C’est ce qu’a indiqué Ahmed Lahlimi, haut commissaire au Plan, lors d’une rencontre sur la situation de l’emploi et du chômage au Maroc qui s’est tenue, mercredi 11 mai 2011, à Casablanca. L’analyse de l’emploi montre que les bénéficiaires des nouvelles créations d’emploi sont surtout des actifs de sexe masculin avec 118.000 emplois annuellement (75%) contre 38.000 pour les femmes (25%). Selon le critère de l’âge, le HCP relève que 112.000 emplois annuellement ont été créées au profit des adultes âgés de 40 à 59 ans, 46.000 pour ceux âgés de 30 à 39 ans. En revanche, une perte annuelle de 9.000 emplois a été enregistrée concernant les jeunes de 15 à 29 ans. Quant aux secteurs les plus productifs d’emplois, celui des services arrive en tête de liste avec la création annuelle de 84.000 emplois entre 2000 et 2010 suivi du BTP (48.000 durant la même période et 63.000 annuellement depuis 2008), de l’agriculture (13.000 emplois) et l’industrie (y compris l’artisanat) avec 10.000 emplois. Les villes ont bénéficié de 1,08 million de nouveaux emplois (69% du total des emplois créés) contre seulement 480.000, soit 31% pour les campagnes. Les emplois se répartissent inégalement entre les régions.
    En effet, le nombre d’emplois créés annuellement dans le Grand Casablanca s’est élevé à 28.000 postes contre 17.000 pour la région de Marrakech-Tensift-Al Haouz et 1000 postes pour la région de Tadla-Azilal. Lors de cette rencontre, M. Lahlimi a précisé que l’emploi global dans sa grande majorité est peu conforme aux normes de l’emploi décent. Près de 2 salariés sur 3 travaillent sans contrat, notamment dans les secteurs de l’agriculture et du BTP où cette proportion dépasse 90%. Un actif occupé sur 3 est diplômé (23,7% ont un diplôme de niveau moyen et 10,8% un diplôme de niveau supérieur). Cette proportion passe de 12,4% dans l’agriculture, à 32,0% dans le BTP, à 44,2% dans l’industrie pour atteindre 55,7% dans les services.

    A noter que l’emploi non rémunéré représente 23% de l’emploi au niveau national et 42% en milieu rural. Par ailleurs, près de 8% du volume global de l’emploi est soit occasionnel, soit saisonnier. Et seulement de 20% de la population active occupée bénéficient de la couverture médicale (32% en milieu urbain et 4,5% en milieu rural).
    Pour ce qui est de la situation du chômage au Maroc, le haut commissaire au Plan a précisé que le taux de chômage selon les normes internationales en vigueur a globalement baissé au cours de la décennie. Il est passé de 13,4 à 9,1% au niveau national, de 21,4 à 13,7% en milieu urbain et de 5 à 3,9% en milieu rural. Par région, il a enregistré des taux plus faibles que la moyenne nationale dans Marrakech-Tensift-Al Haouz où il est passé de 8,9% en 2000 à 5,8% en 2010, Taza-Al Hoceima-Taounate (de 8,3 à 6,1%), Fès-Boulemane (de 12 à 6,1%) et Tadla-Azilal (de 9,6 à 6,2%). En revanche, des taux plus élevés que la moyenne nationale ont été notifiés dans les régions de l’Oriental (de 19,6 à 18,0%), Rabat-Salé-Zemmour-Zaer (de 20,6 à 12,2%) et les trois régions du Sud (de 25,1 à 11,4%). Par catégories d’âges et de niveau de formation, M. Lahlimi a déclaré que malgré des baisses allant de 3 à plus de 10 points, le chômage reste particulièrement élevé parmi les jeunes de 15 à 24 ans, avec 17,6% au niveau national et 31,3% en milieu urbain. Il en va de même pour les détenteurs de diplômes de niveau supérieur avec 18,1% et de niveau moyen avec 16% . Ce taux est notablement plus élevé dans le cas des lauréats des facultés (22,3%).
    ALM

  • #2
    le pauvre abass qui nous a dit qu'il va creer 1 million de nouveau poste ou 200 000 par an et 6% de croissance par an, il n'a fait que 75% de ce qu'il a dit, mais bon la crise mondial et tous ce qui ce passe dans la region et surtous ces prix de petrole qui ont augmenter ces dernieres anne, n'ont pas aide.

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    • #3
      le pauvre abass qui nous a dit qu'il va creer 1 million de nouveau poste ou 200 000 par an et 6% de croissance par an, il n'a fait que 75% de ce qu'il a dit, mais bon la crise mondial et tous ce qui ce passe dans la region et surtous ces prix de petrole qui ont augmenter ces dernieres anne, n'ont pas aide.

      C'est vrai c'est un grand géni 3abass, il a même réussit a éradiquer le chômage chez sa famille en l'embauchant au total au gouvernement, du jamais vu! On a même eu droit a une maitrise de droit comme ministre de santé! woww

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      • #4
        C'est vrai c'est un grand géni 3abass, il a même réussit a éradiquer le chômage chez sa famille en l'embauchant au total au gouvernement, du jamais vu! On a même eu droit a une maitrise de droit comme ministre de santé! woww
        c'est pas de leur faute si les gens votent toujour pour eux, la prochain fois quand il y aura des elections vote mon ami, et comme sa yassmina badou ne gagnera pas a anfa, et ghalab ne gagnera pas a sbata..... et aucun fassi ne gagnera, mais juste critiquer sa ne change rien, parceque c'est le peuple qui choisis.

        le probleme c'est que les elections prochainne si l'istiqlal gagne c'est le meme abass quii va prendre le pouvoire mais cette fois il aura toute la liberte de choisir qu'il veut.

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        • #5
          Allah ybarak. En plus vous n'avez pas le pétrole.

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          • #6
            En effet mashallah et ce n'est que le début inch'allah bonne chance à tous

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            • #7
              emploi = paix sociale

              si il y'avait des emplois pour tout le monde, il n'yaurait pas de terrorisme, pas de voleurs, pas de corruption, ...etc
              veni vidi vici .

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              • #8
                Maroc : Croissance sans augmentation proportionnelle du taux d’emploi
                06.05.2011

                La croissance au Maroc ne s’accompagne pas nécessairement de la baisse du taux de chômage. L’inadéquation de la croissance et de l’emploi s’explique notamment par la faiblesse des politiques d’industrialisation du pays. Un secteur confronté, en parallèle, à la concurrence internationale par le bais des nombreux accords de libre échange.

                La croissance, en matière d’emploi, c’est comme le cholestérol, il y a le bon et le mauvais », lance Mohamed Chiguer, docteur d’Etat en économie. « En dépit de la croissance économique, on constate un taux de chômage encore très fort au Maroc », alerte Jamila Ayegou, enseignante en sciences économiques à l’université de Mohammedia.

                Selon les statistiques du Haut commissariat au plan, le taux de chômage

                est passé de 11,4% en 2003 à 9,1%, en 2010, alors que, dans le même temps, le taux de croissance était en moyenne de 4,58% (selon le CIA World Factbook), soit un chiffre qu’envieraient bien des pays européens

                Un paradoxe apparent qui trouve son explication, notamment, dans la structure de l’économie.
                « L’économie marocaine est fondée en majeure partie sur les secteurs du bâtiment, de l’agriculture et des services, or ce sont des secteurs sensibles à la spéculation et donc très volatiles », explique Mohamed Chiguer. Au Maroc, la croissance économique dépend beaucoup de la qualité des saisons agricoles. Les énormes variations du taux de croissance économique d’une année à l’autre (voir graphique) dépendent du temps et des spéculations et non de l’investissement en capital humain. En 2006, par example, la croissance du PIB avait été de 1,70% contre 9,30% l’année suivante. « Il faut prier pour qu’il pleuve, c’est le bon dieu qui fait la croissance », ironise Mohamed Chiguer.

                Si, aujourd’hui, l’économie dépend encore autant de l’agriculture, c’est qu’il n’y a pas eu de politique d’industrialisation efficace. « Les réflexions menées après l’indépendance devaient mener à une véritable politique industrielle. Son encadrement a été mal adapté : le gouvernement a adopté une planification indicative plutôt qu’impérative » explique Mme Ayegou. Aujourd’hui, « près de 95% des entreprises sont des PME », déplore Mohamed Chiguer.
                Le docteur d’Etat en économie fait le même constat que Najib Akesbi, économiste et enseignant à Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, à Rabat : l’Etat a décidé d’ouvrir le pays au libre échange sans que son industrie naissante y soit préparée. « Depuis 30 ans, les gouvernements ont fait la promotion des exportations en signant des accords de libre échange avec près de 50 pays. Pour en bénéficier il faut avoir une offre exportable, alors que le Maroc n’a rien à exporter » explique Najib Akesbi. L’industrie textile marocaine s’est ainsi retrouvée fortement concurrencée. « La mise à niveau forcée des entreprises a entraîné de nombreux licenciements », ajoute Jamila Ayegou.

                Mohamed Chiguer explique aussi le phénomène de croissance à faible intensité en emploi par le fait que « les derniers enfants issus de la transition émographique au Maroc arrivent actuellement sur la marché du travail ». Leur nombre est tel que l’économie n’est pas en mesure de l’absorber entièrement. « L’économie marocaine devrait créer entre 300 et 350 000 emplois par an pour simplement éviter que le nombre de personnes au chômage n’augmente, explique Najib Akesbi, alors qu’elle parvient péniblement à créer 100 000 emplois par an. »

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                • #9
                  c'est quoi ces clichés a deux balles, il n'y a pas de voleurs au Maroc, en dehors de la période estivale (beurs de France qui viennent foutre la merde), le Maroc en terme d'insécurité est l'un des pays les plus fiables.

                  sinon pour répondre à l'article, ces chiffres sont encourageants, mais ils sont largement du a la conjoncture mondiale.
                  ---------------------------------------
                  Et les menteurs sont encore plus nombreux que les voleurs,un article pareil est a prendre avec des pincettes.

                  L'attentat de Marrakech vient de demontrer tout le contraire d'un pays fiable.

                  En plus,il reste a prouver que les emplois crees ne sont pas temporaires,ne paient pas les salaires en vigueur en Inde,et que les droits syndicaux sont respectes,ce qui n'est jamais le cas au Maroc.

                  Et dernier point,en general,les investissements au Maroc sont toujours cree a credit,qui en general reviennent plus chers.
                  Le Maroc continue a s'endetter a une rythme dangereux pour la stabilite du pays.

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                  • #10
                    Pourquoi tant de haine envers le Maroc?

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                    • #11
                      Pourquoi tant de haine envers le Maroc?
                      --------------------------------------------
                      Au contraire,je crois que les haineux sont ceux qui empechent toute critique de la politique economique desastreuse du Maroc,qui tend a vendre le pays aux etrangers.

                      Je pense que cette question est un hors sujet,qui n'a rien a voir avec le sujet du posting.

                      On reponds a des arguments economiques,on nous sort l'histoire habituelle,la technique du makhzen,celle qui consiste a accuser les critiques de la politique marocaine d'endettement a outrance,de haineux.
                      Cette technique ne fonctionne plus.

                      Si t'as pas d'argument a mettre sur la table,epargnes-nous tes commentaires insipides.

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                      • #12
                        le poste parle de postes d'emplois créés au Maroc pas d'endettement. Voyons donc

                        Commentaire


                        • #13
                          le poste parle de postes d'emplois créés au Maroc pas d'endettement. Voyons donc
                          ------------------------------
                          Je ne comprends pas ce que tu veux dire.voyons voir:
                          Les postes d'emplois et l'endettement sont du domaine de l'economie ? Ok.
                          La haine ne fait pas partie de l'economie !!
                          Tu vois pas encore ce que je veux dire.
                          Il faut arreter ta propagande du makhzen,parlons economie,laissons la haine de cote.

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                          • #14
                            Je ne fais aucune propagande ni de maghzen ni de Makhnez. Et je suis Algérien bon sang.

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                            • #15
                              Envoyé par moloud_arazgui
                              Je ne fais aucune propagande ni de maghzen ni de Makhnez. Et je suis Algérien bon sang.
                              ses sornettes ne méritent pas de réponses..
                              c'est de la jalousie et la fixation maladive.

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