Les parlementaires géorgiens, soucieux de se démarquer de Moscou, ont décidé mardi de détruire tous les symboles de l'ère soviétique et de débaptiser les rues et autres lieux dont le nom évoque le régime communiste.
Les relations russo-géorgiennes, qui ont tourné au conflit armé en août 2008, n'ont cessé de se dégrader depuis que le président Mikheïl Saakachvili a succédé en 2003 à Edouard Chévarnadzé après la "révolution de la rose".
"Notre peuple attendait cette loi depuis 20 ans et je suis fier qu'elle ait été adoptée par cette assemblée", s'est félicité Gia Tortladzé, élu de l'opposition et rapporteur du texte.
Baptisée Charte de la liberté, la loi prévoit la création d'une commission chargée d'identifier symboles, monuments, inscriptions, rues, parcs "qui pourraient évoquer ou mentionner des éléments relevant de l'idéologie soviétique ou fasciste" et d'envisager leur destruction.
Elle interdit en outre l'attribution de hautes fonctions administratives aux anciens cadres du Parti communiste et aux ex-agents du KGB.
Source: Reuters
Les relations russo-géorgiennes, qui ont tourné au conflit armé en août 2008, n'ont cessé de se dégrader depuis que le président Mikheïl Saakachvili a succédé en 2003 à Edouard Chévarnadzé après la "révolution de la rose".
"Notre peuple attendait cette loi depuis 20 ans et je suis fier qu'elle ait été adoptée par cette assemblée", s'est félicité Gia Tortladzé, élu de l'opposition et rapporteur du texte.
Baptisée Charte de la liberté, la loi prévoit la création d'une commission chargée d'identifier symboles, monuments, inscriptions, rues, parcs "qui pourraient évoquer ou mentionner des éléments relevant de l'idéologie soviétique ou fasciste" et d'envisager leur destruction.
Elle interdit en outre l'attribution de hautes fonctions administratives aux anciens cadres du Parti communiste et aux ex-agents du KGB.
Source: Reuters
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