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TOUTES et TOUS contre l'expoitation des ''bonnes'' au Maroc

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  • TOUTES et TOUS contre l'expoitation des ''bonnes'' au Maroc


  • #2
    Là c est juste une fiction, mais hélas la réalité existe ,des cas comme ca il y a des millions....
    Juste je crois en la justice Divine, ceux qui font ca et pire encore, aucun petits trous leur sera montrer pour qu ils se cache un jour....
    Dieu protèges ses pauvres âmes qui souffre, Amen

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    • #3
      il faut une législation forte et une poigne forte pour que ce phénomène soit éradiqué.

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      • #4
        il faut une législation forte et une poigne forte pour que ce phénomène soit éradiqué.
        et surtout une bonne dose d'éducation .....
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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        • #5
          @ manamani



          Le travail des enfants en Algérie



          Entre 250 000 et 300 000 enfants travaillent en Algérie selon, Mecki Abdelhak, Directeur Exécutif de l’Organisme National pour la Promotion de la Santé et le Développement de la Recherche Scientifique « Foram ».
          mardi 13 juin 2006.
          M. Mecki a animé une conférence de presse autour du « Travail des Enfants », au siège de l’organisme à Hussein Dey, dans le but de présenter un étude qui été entreprit par l’organisme l’année dernière qui a été complétée par des informations de cette année, autour du phénomène du travail des enfants.

          Il a indiqué que les différentes études de l’organisme indiquent que le nombre d’enfants qui travaillent en Algérie en dessous de l’âge légal va de 250 à 300 mille enfants, il a abordé leurs foyers qui souvent se trouvent dans les milieux huppés en les employant comme des servants dans des maisons.

          En ce qui concerne l’étude menée l’année dernière, elle a touché 2979 enfants dont 702 filles à travers 8 wilayas d’Algérie qui sont Alger, Ai Defla, Blida, Bejaia, Boumerdés, Bouira, Tipaza et Tizi Ouzou, cette étude montre que 56% des interrogés se sont arrêtés au moyen, 31% au primaire, il est a noter que 31% des enfants ont indiqué qu’ils avaient quitté l’école de leur plein gré, et rarement à cause des conditions sociales des familles.

          28% de ces enfants travaillent loin de leurs familles, 53% indiquent que la raison principale est pour aider leur famille, 75% affirment que l’argent est donné aux parents. Cette étude présente une longue liste des métiers qu’ils exercent sur la route, vendre du pain, 354 enfants ont indiqué qu’ils vendaient du pain pour subvenir aux besoins de leurs familles.

          Synthèse de Billal, algerie-dz.com
          D’après El Khabar

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          • #6
            et surtout une bonne dose d'éducation .....
            Et beaucoup plus de campagnes de sensibilisations pareilles...

            Surtout pas faire la politique d'autruche avec des "ca n'existe pas au Maroc".

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            • #7
              Et surtout une démocratie qu'il nous faut, c'est un package qui va ensemble.

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              • #8
                Le travail des enfants en Algérie



                Entre 250 000 et 300 000 enfants travaillent en Algérie selon, Mecki Abdelhak, Directeur Exécutif de l’Organisme National pour la Promotion de la Santé et le Développement de la Recherche Scientifique « Foram ».
                mardi 13 juin 2006.
                M. Mecki a animé une conférence de presse autour du « Travail des Enfants », au siège de l’organisme à Hussein Dey, dans le but de présenter un étude qui été entreprit par l’organisme l’année dernière qui a été complétée par des informations de cette année, autour du phénomène du travail des enfants.

                Il a indiqué que les différentes études de l’organisme indiquent que le nombre d’enfants qui travaillent en Algérie en dessous de l’âge légal va de 250 à 300 mille enfants, il a abordé leurs foyers qui souvent se trouvent dans les milieux huppés en les employant comme des servants dans des maisons.

                En ce qui concerne l’étude menée l’année dernière, elle a touché 2979 enfants dont 702 filles à travers 8 wilayas d’Algérie qui sont Alger, Ai Defla, Blida, Bejaia, Boumerdés, Bouira, Tipaza et Tizi Ouzou, cette étude montre que 56% des interrogés se sont arrêtés au moyen, 31% au primaire, il est a noter que 31% des enfants ont indiqué qu’ils avaient quitté l’école de leur plein gré, et rarement à cause des conditions sociales des familles.

                28% de ces enfants travaillent loin de leurs familles, 53% indiquent que la raison principale est pour aider leur famille, 75% affirment que l’argent est donné aux parents. Cette étude présente une longue liste des métiers qu’ils exercent sur la route, vendre du pain, 354 enfants ont indiqué qu’ils vendaient du pain pour subvenir aux besoins de leurs familles.

                Synthèse de Billal, algerie-dz.com
                D’après El Khabar


                ce texte parle de travaille d'enfants et non pas de boniche,nos enfats ne font que vendre du pain chez nous c'est sa le travaille d'enfant

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                • #9
                  TOI ET CELUI QUI A POSTE L ARTICLE VOUS VALEZ PAREIL.

                  au Maroc ce phénomène est grave.

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                  • #10
                    Je suis désolée de vous dire que ce phénomène ne touche pas juste le Maroc ou l Algérie ou....C est le monde entier qui est touché
                    "Derrière tous les problèmes dont souffrent les enfants se cache le problème de la pauvreté . Les enfants et les adolescents subissent de façon disproportionnée le poids de la pauvreté, de l'absence de démocratie et de droits de l'homme"dans beaucoup de pays!!!
                    250 millions d'enfants de 5 à 14 ans travaillent actuellement dans le monde, dont 120 millions à plein temps. Selon une enquête de l'Organisation internationale du travail (OIT), dans certaines régions, plus de 20% des enfants qui travaillent ont moins de 10 ans. Toujours selon l'OIT, 60 millions d'enfants âgés de 4 à 14 ans sont soumis à "des conditions d'exploitation abjectes", soit des travaux forcés, y compris la prostitution.
                    Pour des millions d'enfants à travers le monde, l'enfance est marquée par la nominalisation sociale et l'exclusion. Les enfants sont utilisés dans le contexte des conflits armés et des guerres, font l'objet de trafic transfrontalier aux fins de la prostitution ou de l'exploitation comme domestiques et sont employés à un âge précoce dans des travaux dangereux". 61% des enfants qui travaillent dans le monde se trouvent en Asie, 32% en Afrique, 7% en Amérique latine.
                    Dans les pays en développement - selon un rapport de l'Unicef - 130 millions d'enfants, dont 73 millions de filles, ne sont pas scolarisés. Des millions d'autres se morfondent dans des écoles médiocres où ils n'apprennent presque rien. 150 millions quittent l'école avant la cinquième année d'études, sans avoir acquis les notions élémentaires de calcul, de lecture et d'écriture.

                    L'ESCLAVAGE MODERNE..MÊME CHEZ NOUS...


                    Comme dans les autres pays riches, l’esclavage en France, auquel s’intéresse le livre de Sylvie O’Dy, Esclaves en France, prend essentiellement la forme d’un asservissement domestique total : privation de liberté + surexploitation. Cette servitude secrète, pratiquée au sein des foyers, touche avant tout les femmes et mineures originaires du Tiers-Monde, en particulier d’Afrique et d’Asie. Les victimes de cette pratique dégradante et destructrice sont particulièrement démunies face à l’arbitraire de leurs maîtres. En effet, du jour au lendemain, elles se retrouvent isolées dans un pays inconnu dont, le plus souvent, elles ignorent la langue et les lois. Privées de leur passeport, « sans papiers » de fait, elles vivent en permanence sous la menace, sciemment entretenue par leurs exploiteurs, de l’expulsion ou de la prison. Comment dans ces conditions pourraient-elles aller exposer leur cas à la police ? Ces femmes et jeunes filles exilées sont traitées comme de véritables bêtes de somme, elles peuvent travailler jusqu’à 20 heures par jour, n’ont souvent droit pour toute nourriture qu’à des restes et pour toute literie qu’à une natte posée à même le carrelage d’une cuisine. Dans un quart des cas, l’esclavage domestique s’accompagne de violences physiques, d’agressions sexuelles, voire d’actes de torture.

                    POUR MOI c est comme un crime contre l humanité...Le monde entier est touché, et les dirigeants puissants se voile la face car ce fleau prends de jours en jours beaucoup de place au même titre que la drogue, prostitution, mais comme cest un commerce humain qui raporte alors ont préfère baisser les yeux et ignorer les pratiques inhumaines

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                    • #11
                      C'est ce genre de pratiques que je déteste au plus haut point. Voir des familles riches ou moins riches (mais voulant se donner un statut social) qui font appel à ces petites bonnes.

                      J'ai vu dans des familles où j'étais invité (rarement toutefois) des petites bonnes te servir. J'avoue que je n'avais pas envie d'y manger même d'y rester.

                      Je sais que normalement ce n'est plus possible aujourd'hui mais il y a toujours des moyens détournés d'y arriver. Il faut des sanctions fermes contre les familles accueillantes et les parents.

                      Pour les domestiques majeures, je trouve qu'on a aussi des abus avec des personnes qui pensent qu'elles doivent les traiter comme des moins que rien en les payant au lance pierre.

                      Il faut que la loi s'applique à tous, tu embauches une personne (majeure) à la maison. Tu la déclares avec un salaire minimum et tu t'obliges à un contrat avec des droits et des obligations.

                      La nouvelle tendance actuellement, dans les familles bourgeoises, c'est de faire appel à des employés de maison du Sénégal et surtout Philippines. Je ne sais pas comment ils font pour les déclarer vu que normalement ils ne sont pas sensés embaucher d'étranger à ces postes.

                      Toutefois, j'ai lu que leurs patrons (contrairement à ce qui se passe au Liban ou pays du Golfe) leur offrent des conditions plus intéressantes. Salaire honorable, 1 billet d'avion pour voir leurs familles au pays et les laissent aller à la messe le dimanche (ils sont très pratiquants). Enfin, c'est les témoignages que j'ai pu lire.

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                      • #12
                        Oui Lixus ses familles qui veulent se donner bonne conscience faisant croire que leur acte de charité d avoir donner un travail et une assiette a manger vont leur donner du prestige autour d eux...
                        C est souvent juste une façade, une exploitation honteuse,
                        Rares sont ceux qui avec respect déclare ses enfants majeures ou mineurs et leur donne un rythme de travail convenable, c est effectivement très rares, mais ca existe heureusement Dieu merci !!
                        Comme tu la dis dans ton commente, faut faire comprendre a la famille le mal qu ils font d exploiter ses enfants ou mieux encore éviter ce genre de personnes, car savoir et rien dire ou dénoncer c est déjà être complice des mauvais actes fait par ses gens là a 95%

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