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Selon le P-DG d'Air Algerie, la faute est aux autorités canadiennes.
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Au cours de la conférence de presse, le P-DG d’Air Algérie est revenu en détail sur le dossier relatif à l’ouverture d’une ligne entre Alger et Montréal, incombant la faute aux autorités canadiennes. Ces dernières avaient effectivement accordé le certificat d’exploitation à Air Algérie après l’avoir auditée sur le plan technique et opérationnel à la fin du mois de mars.
La compagnie nationale avait même mis en place le dispositif nécessaire pour le début de l’exploitation, avant que les autorités canadiennes ne coupent le contact. Air Algérie a reçu, le 2 mai dernier, l’information selon laquelle l’ouverture de la ligne est liée à la signature d’un accord aérien entre les deux pays, alors que cette condition n’avait jamais été évoquée dans le dossier.
Avec cette exigence, l’affaire dépasse aujourd’hui Air Algérie et relève désormais de l’Etat, a indiqué M. Benouis. Ce dernier a expliqué le revirement dans l’attitude des autorités canadiennes par la fait que l’ouverture de cette ligne touchait aux intérêts d’une compagnie aérienne étrangère et plus précisément marocaine, qui transporte chaque semaine 168 Algériens vers le Canada à partir de Casablanca.
En dépit de cela, M. Benouis reste optimiste quant à l’ouverture de cette nouvelle desserte dès l’été prochain avec la signature d’un accord aérien entre l’Algérie et le Canada d’ici la fin de cette année.
- Le jeune independant
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Au cours de la conférence de presse, le P-DG d’Air Algérie est revenu en détail sur le dossier relatif à l’ouverture d’une ligne entre Alger et Montréal, incombant la faute aux autorités canadiennes. Ces dernières avaient effectivement accordé le certificat d’exploitation à Air Algérie après l’avoir auditée sur le plan technique et opérationnel à la fin du mois de mars.
La compagnie nationale avait même mis en place le dispositif nécessaire pour le début de l’exploitation, avant que les autorités canadiennes ne coupent le contact. Air Algérie a reçu, le 2 mai dernier, l’information selon laquelle l’ouverture de la ligne est liée à la signature d’un accord aérien entre les deux pays, alors que cette condition n’avait jamais été évoquée dans le dossier.
Avec cette exigence, l’affaire dépasse aujourd’hui Air Algérie et relève désormais de l’Etat, a indiqué M. Benouis. Ce dernier a expliqué le revirement dans l’attitude des autorités canadiennes par la fait que l’ouverture de cette ligne touchait aux intérêts d’une compagnie aérienne étrangère et plus précisément marocaine, qui transporte chaque semaine 168 Algériens vers le Canada à partir de Casablanca.
En dépit de cela, M. Benouis reste optimiste quant à l’ouverture de cette nouvelle desserte dès l’été prochain avec la signature d’un accord aérien entre l’Algérie et le Canada d’ici la fin de cette année.
- Le jeune independant
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