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L’Algérie et le constructeur français Renault très proches d’un accord

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  • L’Algérie et le constructeur français Renault très proches d’un accord

    L’Algérie et le constructeur français Renault très proches d’un accord

    ALGER- L’Algérie et le groupe français Renault sont sur le point de conclure un accord pour la réalisation d’une usine de fabrication de véhicules en Algérie, un partenariat qui sera développé selon une répartition du capital de 51-49%, a indiqué lundi le ministre de l’Industrie, de la PME, et de la promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi.

    APS

  • #2
    Les négociations durent depuis 1996 avec Renault et 1989 avec Fiat.

    J'ai mal pour mon pays de voir des négociateurs aussi nulle .... L'ex-ministre marocain D. Jetou a conclu le contrat avec Renault en 3 mois.
    Dernière modification par racdavid, 24 octobre 2011, 15h02.

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    • #3
      Plus d'information :

      Renault, Volkswagen, industrie, investissement
      Les réponses de Mohamed Benmeradi

      Les négociations entre le gouvernement et Renault pour l'installation d'une usine de fabrication de voitures en Algérie ont largement avancé, mais aucune date n’est fixée pour la signature du contrat, a déclaré ce lundi 24 octobre le ministre de l’Industrie, de la PME et de la promotion des investissements, Mohamed Benmeradi. « Nous sommes sur le point d’arriver à un accord avec Renault. La négociation a très largement avancé. Nous avons aujourd’hui, une vision de ce que sera ce partenariat. Un partenariat qui s’inscrit dans le cadre de notre législation dans lequel Renault aura 49 %. Les 51 % restants seront détenus sous une forme qui n’est pas encore arrêtée du côté algérien. L’usine produira 75 000 véhicules dans une première étape, et 150 000 véhicules dans une seconde étape », a indiqué M. Benmeradi lors de l’émission invité de la rédaction de la radio Chaîne III.

      Le ministre n’a donné aucune date pour la conclusion de ce contrat. M. Benmeradi a ajouté que la composante de la partie algérienne, qui prendrait 51 % de cette usine, n’est pas connue ! Une délégation de Renault viendra dans les prochaines semaines à Alger pour rencontrer une soixantaine de sous‑traitants privés et publics dans le secteur de l’automobile. « Des sous‑traitants susceptibles, après un programme de mise à niveau, d’entrer dans le cadre du projet. Un projet qui va permettre de développer une filière qui n’existait pas en Algérie, celle de l’industrie automobile. Elle interviendra aux côtés de la filière des véhicules industriels », a‑t‑il noté.

      M. Benmeradi a indiqué que six rencontres ont eu lieu avec les responsables et les experts du constructeur automobile français depuis plus d’une année pour négocier l’accord. Il a précisé que si les accords interviennent avant la fin 2011, la première voiture sortira de l’usine dix huit mois après. « Sur le plan technique, nous avons identifié le nombre de gammes. La conception du projet a été arrêtée sur le plan technologique. Dans une première étape, le taux d’intégration sera de 20 à 25 %. Cela peut atteindre les 60 % lorsque nous intégrerons les pneumatiques et le vitrage. Dès le départ, un certain nombre de carrosseries sera produit en Algérie », a‑t‑il soutenu.


      Du côté de Volkswagen, les négociations perdurent

      Concernant les discussions avec Volkswagen sur l’implantation d’une usine de fabrication de voitures de la marque allemande, Mohamed Benmeradi a indiqué que deux réunions ont été organisées. « Nous avons transmis une fiche technique du projet. Il y a eu une première réaction au cours d’une réunion qui s’est tenue en Allemagne, il y a deux mois. Le constructeur allemand a demandé deux mois et demi pour répondre à cette proposition. Nous sommes dans l’attente d’une réponse sur le principe même avant d’engager les discussions techniques », a‑t‑il noté. Il a estimé qu’il faut un temps pour la négociation en réponse à une question de l’animatrice de l’émission, Souhila El Hachemi, sur la lenteur des négociations d’autant que d’autres pays, notamment le Maroc lorgnent vers le projet allemand. « Il s’agit de dossiers lourds. Le projet d’investissement dans l’automobile avoisine un milliard d’euros. Dans une première étape, 600 millions d’euros seront investis. Notre objectif est de développer une industrie de fabrication en toute modestie, pas de faire du montage. Cela dit, même une usine de montage serait rentable pour l’Algérie. Si l’on monte les 300 000 véhicules qu’on importe, c’est une part de valeur ajoutée », a‑t‑il noté.

      Les importations algériennes de véhicules dépasseraient cette année les 320 000 unités, selon les prévisions de l’Association des concessionnaires automobiles algériens (ACAA). Par ailleurs, M. Benmeradi a fait état de discussions avancées avec des partenaires qataris pour la réalisation d’une usine sidérurgique d’une capacité de 5 millions de tonnes à Jijel. « Cette usine produira des aciers longs et plats et aussi des aciers spéciaux dont l’économie nationale a besoin », a expliqué M. Benmeradi qui justifie la décision du gouvernement d’investir dans la sidérurgie par les besoins
      importants du marché national en produits sidérurgiques.
      « Nous importons annuellement pour 10 milliards de dollars de produits sidérurgiques, c’est beaucoup plus que la facture alimentaire »,a‑t‑il précisé.

      Critiquant le faible apport du privé à l’industrie nationale, M. Benmeradi a défendu le choix du gouvernement de restructurer le secteur public industriel. Il a également défendu la politique du gouvernement en matière d’investissement, affirmant que l’Algérie avait attiré jusque‑là davantage de projets rentables pour leurs initiateurs, mais qui ne sont pas bénéfique à l’économie nationale. Le ministre n’a rien dit au sujet du récent rapport de la Banque Mondiale sur la détérioration du climat d’investissement en Algérie.

      TSA

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      • #4
        Une autre source.

        Projet d’usine de montage de véhicules en Algérie : Benmeradi : "Proche d’un accord avec Renault"

        lundi 24 octobre 2011

        L’Algérie et le groupe français Renault sont sur le point de conclure un accord pour la réalisation d’une usine de fabrication de véhicules en Algérie, un partenariat qui sera développé selon une répartition du capital de 51-49%, a indiqué lundi le ministre de l’Industrie, de la PME, et de la promotion de l’investissement, M. Mohamed Benmeradi.


        « Aujourd’hui, nous sommes pratiquement sur le point d’arriver à un accord avec Renault, a déclaré M. Benmeradi à la Radio nationale. Les négociations ont très largement avancé. Nous avons déjà une vision de ce que sera ce partenariat qui va s’inscrire dans le cadre de notre législation à savoir un partenariat de 51-49% dans lequel Renault aura 49% », a précisé le ministre.

        « On est très proches d’un l’accord mais je ne peux pas avancer de date », a répondu le ministre à une question sur une possible conclusion de l’accord avant la fin de l’année 2011 avancée dernièrement par le P-DG de Renault. Et d’ajouter, « peut être que nous allons le signer avant la fin de l’année ».

        La répartition des 51% du capital revenant à l’Algérie n’a pas encore été arrêtée par le gouvernement algérien, a ajouté M. Benmeradi. Le ministre avance que la première voiture Renault fabriquée en Algérie pourrait être livrée 18 mois après la conclusion de l’accord.

        L’usine va fabriquer 75 000 véhicules dans une première étape, une production appelée à augmenter à 150 000 véhicules dans une seconde étape. La conception du projet sur le plan technologique a été arrêtée, selon le ministre, qui a annoncé la visite à Alger d’une délégation de Renault dans les prochaines semaines pour rencontrer une soixantaine de sous-traitants algériens, publics et privés pour les intégrer dans ce projet. Le taux d’intégration sera entre 20% à 25% dans une première étape pour augmenter ensuite à 60% avec l’intégration de la pneumatique et du vitrage.

        Interrogé sur la lenteur des discussions avec Renault qui pourrait profiter à d’autres pays qui courtisent le constructeur français, M. Benmeradi a répondu que la construction d’une telle usine est un "dossier d’investissement lourd qui nécessite du temps pour les négociations".

        Ces sous-traitants, déjà identifiés, vont permettre de développer, après leur mise à niveau, une filiale de l’industrie automobile en Algérie.

        L’Algérie et le constructeur français mènent depuis une année des négociations sur ce dossier, et ont tenu jusqu’ici six réunions, dont quatre à Alger et deux à Paris.

        M. Benemeradi a fait savoir par ailleurs que son département avait remis une conception d’un autre projet de fabrication de véhicules au constructeur automobile allemand Volkswagen.

        « Avec Volkswagen, nous avons tenu deux réunions et nous avons remis un dossier technique sur la conception du projet (...) nous attendons actuellement une réponse » de sa part pour engager ensuite les discussions techniques, a indiqué le ministre. APS

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        • #5
          Déjà posté ici

          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=223304

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          • #6
            Ça c'est l'article de TSA pas celui de l'APS

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