Malgré que la nouvelle constitution ait proscrit le caractère sacrée de la personne du Roi, instituant un nouveau concept de sa respectabilité, la justice sévit encore contre tout représentation caricaturale du souverain.
rrêté pour délit d’atteintes aux valeurs sacrés du royaume, Walid Bahomane a été déféré devant un tribunal cette semaine, pour avoir publié sur facebook des dessins et des vidéos satiriques représentants le Roi, assaisonnées de commentaires, jugé trop irrévérencieux à l’égard de la personne du monarque.
Walid Bahomane, 18 ans, a été mis aux arrêts par la police, son ordinateur saisie et a été placé en prison de mineurs à Rabat, en attendant que son procès n’aboutisse.
Aussitôt fait, un groupe de soutien s’est formé sur le réseau social, dénonçant ce qu’ils estiment être une atteinte grave aux droits de l’homme et revendiquant l’annulation immédiate des charges retenues contre le jeune facebooker.
Ce serait la troisième fois que des jeunes soient arrêté et jugé pour ce genre d’affaires, après Fouad Mourtada qui s’était fait passer pour le prince Moulay Rachid sur facebook et le jeune lycéen d’Imintanout au sud de Marrakech qui avait inscrit sur le tableau de sa classe de lycée, l’expression : Dieu, la Patrie, Barça, remplaçant ainsi le mot roi par le nom du célèbre club catalan.
@MARAKRCH
rrêté pour délit d’atteintes aux valeurs sacrés du royaume, Walid Bahomane a été déféré devant un tribunal cette semaine, pour avoir publié sur facebook des dessins et des vidéos satiriques représentants le Roi, assaisonnées de commentaires, jugé trop irrévérencieux à l’égard de la personne du monarque.
Walid Bahomane, 18 ans, a été mis aux arrêts par la police, son ordinateur saisie et a été placé en prison de mineurs à Rabat, en attendant que son procès n’aboutisse.
Aussitôt fait, un groupe de soutien s’est formé sur le réseau social, dénonçant ce qu’ils estiment être une atteinte grave aux droits de l’homme et revendiquant l’annulation immédiate des charges retenues contre le jeune facebooker.
Ce serait la troisième fois que des jeunes soient arrêté et jugé pour ce genre d’affaires, après Fouad Mourtada qui s’était fait passer pour le prince Moulay Rachid sur facebook et le jeune lycéen d’Imintanout au sud de Marrakech qui avait inscrit sur le tableau de sa classe de lycée, l’expression : Dieu, la Patrie, Barça, remplaçant ainsi le mot roi par le nom du célèbre club catalan.
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