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M’hamed Talbi n’est plus. Il nous a quittés hier à la suite d’un malaise.
Souffrant depuis des mois, il a lutté contre la maladie avec courage et dignité. Jeune joueur, il a porté les couleurs de l’ex-USHA avant de rejoindre l’USM Alger en catégorie cadets. Il a même joué quelques matches avec l’équipe seniors à l’époque de Abdelkader Saâdi, Abderrahmane Meziani… Il a poursuivi sa carrière à la JS Kabylie, dans les années 1970, et il l’a bouclé, en tant que joueur, au RC Kouba. C’est au sein de ce club qu’il a débuté sa carrière d’entraîneur où il a successivement dirigé les cadets, juniors et seniors. Il a été l’un des premiers entraîneurs algériens à tenter l’aventure professionnelle, comme entraîneur, dans les pays du Golfe.
Il a fait partie, à ce titre, du staff technique d’Al Aïn (Emirats arabes unis). Au milieu des années 1990, il a occupé les fonctions de président de la section football du RCK (1994) et ensuite président de l’ASC RC Kouba pendant une année (1995). Il a côtoyé plusieurs générations de joueurs et d’entraîneurs en Algérie. C’était un homme qui n’hésitait pas à faire face à l’adversité. Plus il avançait dans l’âge plus il gagnait en sérénité et évitait d’entrer en conflit. Il a mené son ultime combat, contre la maladie, avec dignité. Avec sa disparition, c’est un pan de l’histoire du club banlieusard qui disparaît.
A partir d’aujourd’hui il reposera au cimetière de Garidi (Kouba) aux côtés de ses parents et amis qui sont partis avant lui. Profondément affectée par sa disparition, la rédaction d’El Watan partage la douleur et le chagrin de sa femme, ses enfants et ses proches, compatit à leur douleur et prie Dieu le Tout-Puissant d’accueillir le défunt en Son Vaste Paradis. «A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons.»
Yazid Ouahib
El Watan
Souffrant depuis des mois, il a lutté contre la maladie avec courage et dignité. Jeune joueur, il a porté les couleurs de l’ex-USHA avant de rejoindre l’USM Alger en catégorie cadets. Il a même joué quelques matches avec l’équipe seniors à l’époque de Abdelkader Saâdi, Abderrahmane Meziani… Il a poursuivi sa carrière à la JS Kabylie, dans les années 1970, et il l’a bouclé, en tant que joueur, au RC Kouba. C’est au sein de ce club qu’il a débuté sa carrière d’entraîneur où il a successivement dirigé les cadets, juniors et seniors. Il a été l’un des premiers entraîneurs algériens à tenter l’aventure professionnelle, comme entraîneur, dans les pays du Golfe.
Il a fait partie, à ce titre, du staff technique d’Al Aïn (Emirats arabes unis). Au milieu des années 1990, il a occupé les fonctions de président de la section football du RCK (1994) et ensuite président de l’ASC RC Kouba pendant une année (1995). Il a côtoyé plusieurs générations de joueurs et d’entraîneurs en Algérie. C’était un homme qui n’hésitait pas à faire face à l’adversité. Plus il avançait dans l’âge plus il gagnait en sérénité et évitait d’entrer en conflit. Il a mené son ultime combat, contre la maladie, avec dignité. Avec sa disparition, c’est un pan de l’histoire du club banlieusard qui disparaît.
A partir d’aujourd’hui il reposera au cimetière de Garidi (Kouba) aux côtés de ses parents et amis qui sont partis avant lui. Profondément affectée par sa disparition, la rédaction d’El Watan partage la douleur et le chagrin de sa femme, ses enfants et ses proches, compatit à leur douleur et prie Dieu le Tout-Puissant d’accueillir le défunt en Son Vaste Paradis. «A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons.»
Yazid Ouahib
El Watan
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