Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Des salafistes et délinquants sèment le chaos dans la banlieue Nord de Tunis

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Des salafistes et délinquants sèment le chaos dans la banlieue Nord de Tunis

    Des scènes de désolation et de chaos se sont produites dans la nuit du lundi 11 juin 2012, à La Marsa, mais aussi à Carthage et au Kram.

    Un groupe de salafistes s'est en effet déplacé à nouveau à Marsa-Ville pour, selon des témoins, s'attaquer au Palais Abdellia. A quelques centaines de mètres, le poste de police a été saccagé, les fenêtres et l’enseigne ont été cassées. Pour des raisons de sécurité, le Plug, un des bars de La Marsa, a été évacué vers minuit.

    De retour à Marsa-Ville, des barbus accompagnés de jeunes délinquants brûlent des poubelles et jettent des pierres à l'endroit des voitures qui tentaient de se frayer un chemin. Les jeunes Marsois ont alors protégé les rues adjacentes menant au Palais Abdellia. Plusieurs véhicules des forces de l'ordre ont pris place, sans pour autant parvenir à stopper les casseurs. "Que voulez-vous qu’on fasse ? Ils sont allés jusqu’à détruire le poste de police, nous essayons de les encercler pour les empêcher d'avancer", lance un des policiers.

    Du côté de Carthage, la tension est à son comble. Aux alentours du Palais présidentiel, les militaires se déploient. Des agents de la circulation sont sceptiques : "Vous pensez réellement que les militaires vont faire quelque chose?", ironise-t-il.

    Derrière Carthage Byrsa, la route est encore une fois barrée. Une odeur de caoutchouc brûlé et de gaz se dégage… Les délinquants avancent, jetant des pierres. "Partez, ils sont capables de tout, surtout s'ils voient qu'il y a des filles avec vous", crient les jeunes du quartier, venus pour barrer la route aux casseurs ou en tant que simples spectateurs. Les forces de l’ordre, réunies massivement autour du palais présidentiel, sont ici remarquablement absentes. « C’est l’anarchie, l’impression qu’il n’y a pas d’Etat », s’exclame Yassine, un des jeunes présents sur les lieux.

    À partir de deux heures du matin, le calme revient progressivement. Dans plusieurs quartiers, les forces de l’ordre ont usé de gaz lacrymogène. Sur les réseaux sociaux, des rumeurs circulent sur d’éventuels échanges de tirs par arme à feu, une information non avérée.

    M.B.H
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Les salafistes et les délinquants drogués alcooliques...ca doit faire un duo d'enfer

    Commentaire


    • #3
      Les salafistes et les délinquants drogués alcooliques...ca doit faire un duo d'enfer
      C’était exactement le cas en Algérie de 1990
      des salafistes délinquants,sauf eux ils étaient aussi tueurs et criminels

      Commentaire


      • #4
        salam

        quand des gens se defendront de eux il legitimeront daute chose
        si ya blessure blessur meurtre meurtre ..........cest qune question de temp

        Commentaire


        • #5
          C,est les pros régime marocains et algériens qui ont un orgasme au vu de la situation tunisienne!

          Commentaire


          • #6
            Des groupes d'assaillants, dont des salafistes, se sont affrontés avec les forces de l'ordre dans plusieurs endroits de la capitale tunisienne dans la nuit de lundi à mardi, et ont attaqué des locaux administratifs, a indiqué mardi le ministère de l'Intérieur, faisant état de 46 arrestations.
            Sept policiers ont été légèrement blessés dans ces violences, provoquées par des groupes "mixtes" mêlant salafistes et malfaiteurs, qui se sont rassemblés en soirée en plusieurs lieux de Tunis, a précisé à l'AFP le porte-parole de l'Intérieur Khaled Tarrouche.
            Des locaux du tribunal de la cité populaire d'Essijoumi (ouest de Tunis) ont été incendiés et pillés, des postes de police à La Marsa (banlieue chic du nord) attaqués, a-t-il dit, précisant que les assaillants ont été repoussés à coup de gaz lacrymogènes.
            A Essijoumi, un photographe de l'AFP a constaté que le bureau du procureur au sein du tribunal avait été totalement incendié, ainsi qu'un camion de la Protection civile brûlé au milieu de la rue.
            Les violences ont également touché les cités populaires d'Ettadhamen et Intilaka dans l'ouest de la capitale, et la tension restait vive dans ces quartiers selon le photographe de l'AFP.
            A La Marsa, les assaillants ont tenté de pénétrer dans le palais Abdellia, où une exposition dans le cadre du "Printemps des arts" avait provoqué dimanche la fureur d'islamistes. Plusieurs oeuvres jugées offensantes pour l'islam avaient été détruites dans la nuit de dimanche à lundi par des groupes qui s'étaient introduits dans le palais.
            Belga
            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

            Commentaire


            • #7
              ..quels boulets ces gens ..de vrais instrument de contre révolution..
              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

              Commentaire


              • #8
                Des salafistes et délinquants sèment le chaos dans la banlieue Nord de Tunis

                C'est bizarre que les troubles aient lieu à Carthage et à La Marsa c'est loin d'être des quartiers populaires, ils constituent la banlieu hupée de Tunis. La situation est grave.

                Commentaire


                • #9
                  Des salafistes et délinquants sèment le chaos dans la banlieue Nord de Tunis
                  la situation en Tunisie se dégrade de façon encore plus grave ...
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X