Une prise d'otage est actuellement en cours dans un établissement bancaire à Toulouse, dans le département de la Haute-Garonne. Un individu armé se trouverait en effet dans les locaux d'une succursale du CIC, où il retiendrait captifs quatre otages depuis 10h10.
Les policiers d'élite sont arrivés sur place après midi et se sont dirigés vers le PC de crise établi, comme dans l'affaire Merah, à la caserne Pérignon située à proximité. On ignore cependant si un contact téléphonique a été établi avec le preneur d'otages. «Un dispositif est en train de se mettre en place pour engager le dialogue», s'est borné à indiquer à Reuters le procureur de Toulouse Michel Valet
Le preneur d'otage se réclame d'Al-Qaida et exige la présence de l'unité d'élite du Raid, qui avait abattu Mohamed Merah le 22 mars dernier, à environ à 150 mètres de là. Le Raid a été placé en pré-alerte mais c'est cependant le GIPN de Bordeaux et Marseille qui a été missionné. «On ignore si sa revendication d'Al Qaïda est sérieuse ou fantaisiste», a indiqué à Reuters un syndicaliste policier deToulouse.
Une attaque à main armée qui aurait mal tourné
Une source au ministère de l'Intérieur a confirmé à 20 Minutes les informations sur le preneur d'otage, sans pouvoir indiquer si son apprtenance à Al-Qaida est réelle, s'il s'agit d'un déséquilibré, ou si la prise d'otage est le résultat d'une attaque à main armée qui aurait mal tourné, comme l'a avancé une source policière.
Parmi les otages, le directeur de la banque et trois membres du personnel, selon un syndicat policier cité par i-Télé. Un coup de feu aurait même été entendu, rapporte la chaîne d'infos en continu. La police judiciaire s'est rendue sur place et le quartier a été bouclé. Un périmètre de sécurité de 200 mètres a été mis en place autour de la banque, et les parents des élèves d'une école voisine ont reçu des textos leur demandant de venir chercher leurs enfants.
M.Gr. et J.M.
Les policiers d'élite sont arrivés sur place après midi et se sont dirigés vers le PC de crise établi, comme dans l'affaire Merah, à la caserne Pérignon située à proximité. On ignore cependant si un contact téléphonique a été établi avec le preneur d'otages. «Un dispositif est en train de se mettre en place pour engager le dialogue», s'est borné à indiquer à Reuters le procureur de Toulouse Michel Valet
Le preneur d'otage se réclame d'Al-Qaida et exige la présence de l'unité d'élite du Raid, qui avait abattu Mohamed Merah le 22 mars dernier, à environ à 150 mètres de là. Le Raid a été placé en pré-alerte mais c'est cependant le GIPN de Bordeaux et Marseille qui a été missionné. «On ignore si sa revendication d'Al Qaïda est sérieuse ou fantaisiste», a indiqué à Reuters un syndicaliste policier deToulouse.
Une attaque à main armée qui aurait mal tourné
Une source au ministère de l'Intérieur a confirmé à 20 Minutes les informations sur le preneur d'otage, sans pouvoir indiquer si son apprtenance à Al-Qaida est réelle, s'il s'agit d'un déséquilibré, ou si la prise d'otage est le résultat d'une attaque à main armée qui aurait mal tourné, comme l'a avancé une source policière.
Parmi les otages, le directeur de la banque et trois membres du personnel, selon un syndicat policier cité par i-Télé. Un coup de feu aurait même été entendu, rapporte la chaîne d'infos en continu. La police judiciaire s'est rendue sur place et le quartier a été bouclé. Un périmètre de sécurité de 200 mètres a été mis en place autour de la banque, et les parents des élèves d'une école voisine ont reçu des textos leur demandant de venir chercher leurs enfants.
M.Gr. et J.M.
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