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+2 700 étudiants marocains dans les grandes écoles françaises

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  • +2 700 étudiants marocains dans les grandes écoles françaises

    Les étudiants marocains font un tabac dans les grandes écoles françaises

    Ils sont plus de 2 700 à étudier dans les grandes écoles françaises. C’est la première communauté étrangère dans le cercle fermé des hauts cadres en formation. Ils prennent d’assaut les bureaux des étudiants et les junior entreprises. Issus de différents milieux sociaux, ils veulent acquérir une expérience professionnelle avant de rentrer au Maroc.

    Ils sont jeunes, intelligents et très ambitieux. Ils, ce sont plusieurs centaines de Marocains à avoir mis le cap sur la France pour effectuer ou poursuivre leurs études supérieures dans des grandes écoles prestigieuses : Polytechnique, Ponts et chaussées, Ecole supérieure des travaux publics (ESTP), Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP-EAP), Hautes études commerciales (HEC) pour ne citer que celles-là. A Paris comme dans plusieurs autres villes françaises, Lyon, Toulouse et Bordeaux notamment, les Marocains « font fureur », selon l’expression de l’un d’eux. Nos aspirants ingénieurs et managers constituent de loin la première communauté étrangère parmi les étudiants des grandes écoles françaises.

    Ils sont très actifs dans l’associatif

    La Conférence des grandes écoles (organisme gouvernemental français), dans une étude rendue publique en juin 2005, fait état, pour l’année académique 2003-2004, de quelque 2 712 étudiants marocains dans les grandes écoles, sur un effectif total de plus de 25 000 étudiants étrangers, soit plus de 10 % du total. Les Marocains arrivent loin devant les Chinois, deuxième communauté de par le nombre, 1619 étudiants selon l’étude précitée. En troisième position arrivent les Allemands avec 1 600 étudiants. A l’ESCP-EAP, les Marocains sont près de 120 sur 1900 étudiants. A l’ESTP, ils sont une centaine sur un effectif de 1 800 étudiants. Autre exemple, l’une des écoles d’ingénieurs les plus prestigieuses, Polytechnique, réserve annuellement 10 à 15 places par promotion (environ 300 étudiants) pour les Marocains. Idem pour Centrale Paris, qui recrute chaque année une dizaine de Marocains.

    Signe particulier de cette jeune diaspora marocaine en France : une activité extra-scolaire débordante. Beaucoup ont choisi le cadre associatif. L’incontournable AMGE-Caravane (Association des Marocains des grandes écoles) en fait partie. Cette structure, mise en place au début des années 1990, s’est fixé pour objectif l’accueil et l’accompagnement des nouveaux venus dans l’Hexagone. Suivi, conseil, orientation, ou tout simplement activités de détente sont au programme de cette structure qui compte près de 2 200 membres actifs. « Arriver en France est, pour la plupart des étudiants, une entreprise nouvelle qui comporte beaucoup de risques. C’est pour cela que nous tenons à accompagner tout nouvel étudiant dans les différentes démarches, administratives et académiques », explique Imad Bouziane, président jusqu’en septembre 2006 de l’AMGE-Caravane. Et de préciser qu’un soin particulier est accordé aux admissibles, ces jeunes « taupins » qui ont franchi les deux années de classes préparatoires et réussi aux écrits du concours français et qui débarquent en France pour les épreuves orales (voir encadré).

    ....
    Beaucoup pensent créer leur entreprise une fois de retour au Maroc

    Ceux que La Vie éco a interrogés à Paris sont unanimes. Après leurs études, et quelques années d’expérience professionnelle par la suite, ils veulent retourner au Maroc. « Je ne me vois pas passer le restant de ma vie en France », martèle Mohamed Amine Khalil. A leurs yeux, la vie en France n’est pas attractive, à plus d’un égard. « La situation économique n’est pas intéressante », souligne le président actuel de l’AMGE-Caravane. Meryem Lahlou abonde dans ce sens. « Ma famille, mes amis, mon milieu social et culturel me manquent beaucoup. C’est pour cela que j’envisage de rentrer au Maroc pour y faire ma carrière ». Alors que pour le jeune président de Maroc entrepreneurs, c’est le dynamisme que connaît actuellement le Maroc, tant sur le plan économique que politique, qui est derrière son désir de rentrer au bercail après ses études. « Créer ma propre affaire. Voilà mon objectif ». Un objectif que visent beaucoup d’autres parmi les 2 000 Marocains qui côtoient l’élite académique française, et constituent l’élite marocaine à venir.

    La vie economique

  • #2
    Suite et Fin

    Un Marocain à la tête de la junior-entreprise de l’ESCP-EAP

    Les jeunes étudiants qui évoluent dans ce microcosme sont également fiers d’une autre association, Maroc entrepreneurs, dont l’objectif, cette fois-ci, est de mettre en place des ponts entre les étudiants et lauréats et les entreprises au Maroc. Les activités des étudiants sont d’ailleurs très prisées par les grands patrons de banques, multinationales et autres institutions économiques installées au Maroc et à la recherche de hauts potentiels. Ces jeunes étudiants sont aussi très intéressés par l’entreprenariat privé, à travers l’organisation régulière de séminaires, débats et conférences. Très dynamiques dans l’associatif, les étudiants marocains sont également actifs à l’intérieur même de leurs écoles. Ils n’hésitent pas à s’impliquer dans les activités internes proposées en parallèle de leur cursus universitaire.

    C’est l’exemple de Mehdi Lebbar qui se trouve actuellement, pour une année, à la tête de la junior entreprise de l’ESCP-EAP, la célébrissime école de commerce parisienne. Sa liste de managers en herbe a remporté haut la main les élections de cette mini entreprise qui fait plusieurs centaines de milliers d’euros de chiffre d’affaires par an (350 000 euros - 3,8 MDH - en 2005). Son équipe et lui ont dû travailler plus de six mois pour convaincre le reste des étudiants de l’école qu’ils sont les meilleurs. « Entièrement dirigée par des étudiants, c’est un cabinet de conseil qui propose ses services aux entreprises françaises en prenant part aux appels d’offres qu’elles lancent. Il est géré comme une entreprise à part entière », explique Meryem Lahlou, étudiante en première année à l’ESCP-EAP et présidente du pôle qualité de la junior-entreprise. Une troisième marocaine fait également partie de cette aventure entreprenariale, se chargeant du pôle communication. L’entité, certifiée ISO 2000 depuis 2002, compte parmi ses clients de prestigieuses enseignes telles le groupe LVMH, Le Figaro...

    Le campus de cette prestigieuse école de commerce parisienne, dont l’accès est réservé à une poignée d’étudiants ayant réussi avec brio les deux années de prépas, compte une autre organisation estudiantine, le Bureau des étudiants (BDE). Son accès très sélectif n’a pas découragé des Marocains d’y siéger. Là aussi, deux listes d’une vingtaine d’étudiants se disputent le sacre pendant près de six mois, période de campagne électorale ponctuée d’événements divers. Budget alloué à chaque liste électorale : 500 000 euros (5,5 MDH) environ, financés par des sponsors, entreprises françaises et internationales, qui n’hésitent pas à « mettre le paquet, non pour nos beaux yeux, mais pour des raisons de politique de recrutement et de gestion des ressources humaines », aux dires d’un étudiant.

    ESSEC-Maroc, l’association qui fait découvrir le Maroc

    A l’ESSEC, c’est un autre schéma qui a été retenu par les étudiants marocains. La création pure et simple d’une association baptisée « ESSEC-Maroc ». C’était en 1995. Actuellement, elle compte une soixantaine de membres et « se trouve être la plus active des 20 associations d’étrangers à l’école », explique Aïda Faivre Balafrej, étudiante en première année de cette école, classée première au concours des écoles de commerce l’année dernière. Entre vente de couscous, préparé par les étudiants SVP, organisation de soirées orientales ou encore de journées marocaines, les membres d’ESSEC Maroc ne chôment pas. Mais leur activité-phare, celle par laquelle ils sont connus dans le tout-Paris estudiantin, demeure l’organisation d’un voyage découverte du Maroc. « Chaque année, nous proposons à une quarantaine d’étudiants de l’ESSEC de partir au Maroc. Contre 600 euros, ils visitent notre beau pays, des grandes villes impériales aux petits douars du Haut-Atlas. Nous essayons de leur montrer le Maroc tel qu’il est, dans sa diversité et dans sa richesse, culturelle et sociale » , précise la jeune présidente dont la devise est : « aller au delà des clichés ». Mais elle tient à préciser que son association n’est nullement un club strictement réservé aux Marocains. « Nos relations avec les autres associations, dont ESSEC-Liban, sont excellentes. D’ailleurs, la vice-trésorière de l’association est française ».

    Actifs certes sur le plan social et culturel, les étudiants marocains dans les grandes écoles françaises n’oublient pas pour autant leur objectif initial : réussir. « Je sais pourquoi je me trouve ici. Je sais également ce que je veux faire de ma vie à l’avenir. Et je suis conscient que mes études sont, comme pour la plupart de mes collègues, une priorité » , souligne Hani Guennioui, étudiant en première année à l’ESTP, son air affable cachant une détermination d’acier. Et c’est le cas de tous ceux qui ont la chance d’intégrer des établissements académiques aussi prestigieux. « Nombreux sont ceux d’entre nous qui viennent de milieux défavorisés. Certains ne sont même pas boursiers et pourtant font un énorme effort pour continuer leurs études ici. Pour eux, réussir est plus qu’un objectif à atteindre, c’est un devoir à remplir », souligne un jeune étudiant de Polytechnique. Imad Bouziane renchérit en mettant en exergue le caractère hétéroclite de la communauté des étudiants marocains. « Je connais des compatriotes qui ont un train de vie nécessitant plusieurs milliers d’euros par mois, et d’autres qui n’ont que les 4 500 DH de leur bourse pour se loger, se nourrir et subvenir à différents autres besoins ».

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    • #3
      oui deja il ne faut pas exagéré de tous les milieux j en doute
      pour ma part je suis etudiant sur toulouse et tous je dis bien tous les etudiants marocains en france sont des fils a papa et plus precisement en provenance de casablanca ou apparemment on se passe le mot pour venir etudier en france
      ces etudiants etudient tous dans le lycée francais de casablanca et apres op on va en france que l on soit une tronche ou pas

      deuxieme raison les visas sont facilité pour les marocains ou les tunisiens(les tunisiens on en voit beaucoup moins) et par contre je connais des etudiant algeriens de tres bon niveau et je vous garantie que partir en france etudier c comme essayer de jouer au loto
      donc voila les algeriens sont traités de facon différentes par rapport aux voisins

      je sais que l on va retrouver des choses a dire a ceci mais c est la stricte verite
      les etudiant marocains qui viennent en france viennent majoritairement de casa et sont ni moins ni plus que des fils a papa, prétencieux, maniéré....

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      • #4
        les etudiant marocains qui viennent en france viennent majoritairement de casa et sont ni moins ni plus que des fils a papa, prétencieux, maniéré....

        Mdrrr, tu es sûr ?!!
        je savais pas que le Maroc vainet tant de familles riches

        ....

        Il faut peut etre essayer de dire parfois de choses plausibles au lieux de vouloir nier des faites rien que pour les nier !!!!!!!!!

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        • #5
          mes félicitations aux marocains surtout si leur projet de retourner au maroc est effectif.
          le maghreb s'en trouvera enrichi au dela des vicissitudes conjoncturelles.

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          • #6
            Aladin

            Lol, j'ai l'air d'un maniéré moi?
            Un jour, liberté naîtra, volonté existera, conscience on aura, et enfin, la paix sera...

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            • #7
              oui deja il ne faut pas exagéré de tous les milieux j en doute
              pour ma part je suis etudiant sur toulouse et tous je dis bien tous les etudiants marocains en france sont des fils a papa et plus precisement en provenance de casablanca ou apparemment on se passe le mot pour venir etudier en france
              ces etudiants etudient tous dans le lycée francais de casablanca et apres op on va en france que l on soit une tronche ou pas

              deuxieme raison les visas sont facilité pour les marocains ou les tunisiens(les tunisiens on en voit beaucoup moins) et par contre je connais des etudiant algeriens de tres bon niveau et je vous garantie que partir en france etudier c comme essayer de jouer au loto
              donc voila les algeriens sont traités de facon différentes par rapport aux voisins

              je sais que l on va retrouver des choses a dire a ceci mais c est la stricte verite
              les etudiant marocains qui viennent en france viennent majoritairement de casa et sont ni moins ni plus que des fils a papa, prétencieux, maniéré....
              consultes ce lien
              http://www.scei-concours.org/cadre_statistique.htm

              la plupart des marocains viennent de différentes lycées publics des villes marocaines.
              pour la polytechniques par exemple, aucun élève n'est issue d'un lycée de la mission française

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              • #8
                C'est une bonne chose pour le Maroc à condition qu'ils retournent au pays car nombreux sont ceux qui vont rester en France ou aller ailleurs. Même parmi ceux qui vont retourner au Maroc, beaucoup risquent de repartir par la suite. Donc le défi pour le gouvernement sera de les garder.

                aladin31, ce que tu dis est malheureusement en partie vrai. Les plus brillants n'ayant pas trop les moyens ne peuvent pas ser permettre de partir à l'étranger. Les enfants des chichis ayant étudié dans les lycées français qui coutent une fortune (Casa lyautet ou Rabat Descartes) vont à coup sûr partir à l'étranger car ils ont les moyens financiers et ne font pas grand chose (mis à part se la péter)

                Par contre une autre partie s'en sort très bien en espérant que l'accès pour les familles plus pauvres ayant des enfants brillants va augmenter...

                Le Maroc a aussi pas mal d'accord avec la France. Elle dispose de faveurs certaines (facilitations pour les visas et les partenariats en tout genre comme l'éducation...). C'est un moyen pour garder ce pays sous le giron de la France, d'être son relais idéologique pour une partie de l'Afrique. Rien n'est fait au hasard. Mais bon, il faut savoir saisir les opportunités.
                La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                • #9
                  C'est bizarr,

                  Parfois vous presentez le Maroc comme un pays pauvre, et parfos telle que dans ce cas comme un pays riche pleinde millionaires !!

                  Ca depend donc de ce qui vous arrange pour le moment ??

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                  • #10
                    Tizi le Maroc est un pays du tiers-monde comme tant d'autres : une majorité vit sous le seuil de pauvreté et une minorité dispose de beaucoup de richesses et de privilèges. Le sujet étant les étudiants marocains à l'étranger qui sont représentés par des étudiants venant de milieux modestes et d'enfants de riches... C'est vrai qu'on a un peu dévié mais pas tant que ça... Désolé Mr le controleur
                    Où ai-je dit que le Maroc est un pays de riche plein de millionaire ?
                    La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                    • #11
                      Temoignage --> Pour repondre a Tizinissa

                      Je pence qu'il plus de 2700 étudiant Marocains dans les écoles d’Ingénieur, ce qui fait plaisir vu la qualité des écoles en France, et comme je suis Doctorant en Informatique dans une grande école a Sophia Antipolis , je peux vous donner mon témoignage.

                      Je suis issu de la dite ENST Telecom de Paris en thèse Doctorat a SOPHIA ANTIPOLIS, et pendant mon curcus universitire, j’ai pu voir défiler plusieurs dizaines d’étudiants magrébin et malheureusement ils ne finissent pas leurs études, même s'ils accèdent aux classes prepa.

                      Car classes prepa = étudier 24H/24 (régime militaire).--> bcp d’abondons pour des raisons financière ou de l'ordre de difficulté de niveau, mais c’est l’argent qui fait défaut généralement et non le niveau.

                      Par contre, si je peux donner un conseils aux parents, de ne pas permettre a leurs enfants de venir en France directement après le BAC, ou on vois des jeunes de 17 / 18ans en difficulté d’adaptation et la majorité perde tout repère et abondons leur études aussitot, sinon les parents doivent assumer et finance les etudes de leurs enfants (PS : Je peux me tromper, mais sur ma section plusieurs on été recaler).

                      Je pence que soit ils doivent continuer leur Prepa au Maroc afin de condidater en école d'Ingénieur a leurs sorties, ou venir comme les Algériens et les Tunisiens avec leurs diplôme d'Ingénieur pour faire un Master, pour continuer dans une thèse ou aller bosser.



                      Pour répondre a Tizinissa, c'est le nombre de diplômer qui trouvent un boulot dans la recherche ou dans des entreprises qui doivent être compter et non pas le nombre d'inscrit en premiere ou deuxieme annee d'école Ing

                      PS:
                      Pour l'histoire des etudanits de CASA (fils a papa), ce n'est pas vraiment faux, mais il y a des etudiants de tout le territoire Marocain comme Algerien et Tunisien aussi
                      Dernière modification par racdavid, 03 août 2006, 15h55.

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                      • #12
                        les plus malins sont ceux qui auront choisi les branches commerciales,ce sont eux qui auront les meilleures chances de faire une bonne carrière,surtout s'ils disposent de bonnes capacités de communication et d'un bon relationnel,quand aux branches techniques avec un peu de chance ils pourront faire du management après 4 ou 5 années de carrière.

                        Commentaire


                        • #13
                          En effet racdavid, ceux qui intégrent une université en master ou même en doctorat à l'étranger sont les plus brillants et motivés et on y retrouve des résultats. Ceux se trouvant en première année sont pour beaucoup des "touristes" de passage malheureusement.

                          Dans les filières scientifiques, on retrouve beaucoup pas mal de maghrébins faisant de la recherche mais eu europe ou en amérique du nord car les pays maghrébins n'ont pas les moyens et et très peu de structures !

                          Et les filières commerciales et sciences sociales en général sont en effet à ne surout pas négliger !
                          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                          • #14
                            Je fais parti d'association, j'ai de la famille et des amis dans les differentes universités et grandes ecoles de france, et la quasi majorité ne sont pas des fils de riches tout au contraire, ils sont issues de la couche moyenne voir un peu moins...
                            Ils travaillent souvent au court de l'année pour payer les frais liés a leurs etudes, et se donnent du mal pour joindre les deux bouts.

                            Bien sur il y en a qui viennent de lycée privées ou de missions françaises mais ca reste une minorité, minorité visible (souvent parce que l'argent ben ca permet de se faire voir hein ^^) mais minorité tout de meme.

                            En tout cas je ne comprend pas en quoi un Algerien est défavorisé dans l'obtention du visa pour venir etudier en France, sachant qu'au contraire dans les services de la prefecture, les Algeriens sont traités autrement, et ont plus de facilités et moins de papiers a presenter, ils peuvent aussi avoir acces a des aides plus facilement.

                            Je ne pense pas que le probleme vienne de l'argent, je pense qu'il y a un plus grand engouement au Maroc pour aller etudier a l'etranger en general, car les Marocains vont aussi en Allemagne, USA, Canada et Espagne pour finir leurs etudes.
                            Mais beaucoup étudient dans des grandes ecoles marocains qui n'ont rien a envier aux françaises, et l'université marocaine petit a petit remonte la pente et se remet un niveau d'ailleur elle n'a jamais été aussi en phase avec la vie professionelle qu'elle ne l'est aujourd'hui.

                            Enfin bon je suis sur que l'Algerie doit former mieux et plus c'est pour ca qu'ils n'ont peut etre pas aller a l'etranger pour etudier.

                            Commentaire


                            • #15
                              Qu'est-ce qu'ils sont forts ces marocains !

                              Le pays du couchant fournit des présidents et des premiers ministres aux peuples frères, et même à l'ancien colonisateur.

                              Les grandes écoles françaises (avec ou sans handicapde la langue ) sont reconnues comme très élitistes. C'est vrai que le taux de réussite des marocains est particulièrement élevé.

                              Comme quoi on peut-être musulman et faire partie des élites mondiales. La malédiction du colonisé est en train d'en prendre un coup.

                              Il faudra donc trouver autre chose à se mettre sous la dent pour trouver des excuses.

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