La population algérienne qui a vécu une "décennie noire" durant les années 1990, refuse de subir encore le terrorisme des groupes religieux extrémistes, a indiqué le père-blanc Jan Heuft, cité par radio Vatican, après l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine (In Amenas, Illizi).
Vivant en Algérie depuis 43 ans, le père Jan Heuft, a souligné que "les gens ne sont pas d’accord avec ce qui s’est passé, ils ont honte que des personnes qui se disent musulmans ont commis une action pareille".
Revenant sur l’intervention des unités d’élite pour libérer les otages, il a estimé qu’il n’y avait pas "d’autres possibilités" que celle-ci, relevant, à ce sujet, qu’"on ne dialogue pas avec ceux qui refusent le dialogue et qui veulent imposer leurs vues".
Interrogé sur le sentiment des Algériens à l’égard de l’intervention militaire contre les preneurs d’otages, le religieux a affirmé que les Algériens "sont d’accord avec l’action des autorités contre les terroristes", soulignant qu’ils compatissent (Algériens) avec les étrangers comme ils le font avec leurs compatriotes, en allusion aux victimes de l’attaque terroriste.
Dans ce cadre, il a insisté sur le sentiment de "solidarité" du peuple algérien avec les victimes du terrorisme, quelle que soit leur appartenance, affirmant que ce peuple "est très ouvert, très religieux et comprend les souffrances des autres".
A propos du rejet par le peuple du terrorisme, le religieux a rappelé que "l’Algérie s’est lancée depuis 10 ans dans un processus de démocratisation et de modernisation, laissant peu de place aux groupuscules qui veulent s’emparer de l’Etat et imposer un Etat islamique".
APS
Vivant en Algérie depuis 43 ans, le père Jan Heuft, a souligné que "les gens ne sont pas d’accord avec ce qui s’est passé, ils ont honte que des personnes qui se disent musulmans ont commis une action pareille".
Revenant sur l’intervention des unités d’élite pour libérer les otages, il a estimé qu’il n’y avait pas "d’autres possibilités" que celle-ci, relevant, à ce sujet, qu’"on ne dialogue pas avec ceux qui refusent le dialogue et qui veulent imposer leurs vues".
Interrogé sur le sentiment des Algériens à l’égard de l’intervention militaire contre les preneurs d’otages, le religieux a affirmé que les Algériens "sont d’accord avec l’action des autorités contre les terroristes", soulignant qu’ils compatissent (Algériens) avec les étrangers comme ils le font avec leurs compatriotes, en allusion aux victimes de l’attaque terroriste.
Dans ce cadre, il a insisté sur le sentiment de "solidarité" du peuple algérien avec les victimes du terrorisme, quelle que soit leur appartenance, affirmant que ce peuple "est très ouvert, très religieux et comprend les souffrances des autres".
A propos du rejet par le peuple du terrorisme, le religieux a rappelé que "l’Algérie s’est lancée depuis 10 ans dans un processus de démocratisation et de modernisation, laissant peu de place aux groupuscules qui veulent s’emparer de l’Etat et imposer un Etat islamique".
APS
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