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Operation Novembre 1950: Scandale Du Gia/gicm

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  • Operation Novembre 1950: Scandale Du Gia/gicm

    OPERATION NOVEMBRE 1950: SCANDALE DU GIA/GICM : LA FRANCE PREPARE UN NOUVEAU COUP D'ETAT EN ALGERIE



    Note de Abou Souleiman : Le 03 octobre 2003, Bouteflika est en voyage en France, le gouvernement francais tente de l'abattre à l'aeroport d'Orly, car Chirac l'accuse d'etre derriere les révélations du scandale du GIA/GICM, plus connu sous le nom d'Opération Novembre 1950. Ce scandale prouve que le gouvernement francais est derriere le GIA. Les mercenaires, 'djihadistes' francais s'entrainaient dans des bases secretes au Maroc, pres de la frontiere algero-marocaine. La France a monté le GIA/GICM pour conserver le controle des hydrocarbures face à l'avancée des anglos-saxons au Maghreb. Le 'général' Rondot a accusé dans ses rapports secrets la CIA d'etre derriere certains éléments du FIS et du GSPC. Le 26 novembre 2005, Bouteflika se serait fait tirer dessus, la balle aurait traverse l'estomac de la droite et serait ressortie en oblique coté gauche. Trois de ses gardes du corps sont tués, gravement atteint Bouteflika est enmené d'urgence au Val de Grace. L'armée francaise s'assure de son controle total et le 'soigne' de facon à ce que celui-ci se présente au garde à vous tous les deux mois, Bouteflika ne devrait plus trahir... LA VEUVE. Bouteflika, tu découvriras que tu n'a pas été soigné, tu as été traité comme Arafat...


    Pour ceux qui n'ont pas compris le comportement de Boutef quelques jours avant son 'hospitalisation', en lisant ces quelques lignes, ils saisiront tout de suite. Bouteflika a été mis au courant d'un plan d'élimination de sa personne, quelques jours avant sa déclaration concernant les nazis de France, qui continuent de perpétrer le génocide des Musulmans au Maghreb. Selon des sources extremement bien renseignées, le gouvernement francais prépare le remplacement de Bouteflika par un certain 'juif' sioniste Abdlekader Mehri, dont la fille est mariée au fils d'un autre 'juif' sioniste, Chadli Bendjedid, ancien 'président' qui a déclenché le coup d'Etat en janvier 1991 pour le compte de ses maitres sionistes en France. Chadli a été exhibé avec Mehri sur Canal Algérie, la chaine des généraux harkis de hizb Franca. Le Sépharade Mehri, membre du MPLD lors de la guerre de libération, travaille depuis 1957 pour la DGSE, ou le deuxieme bureau francais en Algérie, dont les criminels de guerre Rondot et Le Pen sont si fiers... Bureau qui a mis en place la force K, lui meme ancetre des escadrons de la mort GIA/GICM...

    Deux 'cercles politiques', un petit et un moyen, existent déjà et pour le moment, ces deux cercles sont maintenus loin l'un de l'autre, car Paris n'a pas encore réussi à accorder leurs chefs, qui ne s'entendent pas. Un autre 'chef' existe mais il est juste dans la structure administrative officielle et il n'a pas d'assise populaire... Un plus grand cercle existe mais il ne possede pas de 'chef' à l'heure actuelle. Le Clan des Juifistes et des Harkis de la France-Israel se préparent à fusionner, en attendant Bouteflika a été rappelé à l'ordre à Paris, les nazis sionistes de la France-Israel ne supportent plus d'etre pris la main dans le sac à chaque fois qu'ils montent des coups... Ne dites pas que vous n 'avez pas été averti, la Résistance Islamique demande aux Peuples Musulmans du Maghreb de soutenir les Moudjahidines le moment venu.


    je me frotte les yeux
    ya t il une personne avec de plus amples informations

  • #2
    c'est quoi ta source ?
    "L'amitié se nourrit de communication" (Montaigne)

    Commentaire


    • #3
      je sais pas si l on peut appeler ca une source
      j ai pioche ca sur
      stcom.net
      a mon avis c un site islamiste

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      • #4
        c'est quoi ce truc ?

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        • #5
          de la méme source !!!!!!!!!

          En 2003, les israeliens ont inventé les ADMs de Saddam pour pouvoir envahir l'Iraq et voler son pétrole, la FrançIsrael a crée de toute piece le GIA et le GICM pour s'asurer du controle du petrole et du gaz Algérien.

          Selon les révélations faites par des éléments des services secrets algériens sur "l'opération Novembre 1950", le gouvernement francais a crée de toute piece le GIA et le GICM, en entrainant des mercenaires dans des camps secrets au Maroc.

          Le frere Ismael Bedrouni, journaliste indépendant, a été enlevé, sequestré et torturé par des éléments des services secrets francais dans l'un de ses camps, il devait etre le premier emir du GIA.

          La France a utilisé ses éléments algériens de la promotion Lacoste pour se cacher derriere les GIAs, dont les terroristes auto-proclamés generaux, Belkheir, Nezzar, Lamari Mohamed, Touati et Mediene. Ces officiers du ministere de la défense francais en Algérie ont mis sur pied la plus grande escroquerie médiatique de la fin des années 90 en installant des groupes contre-insurectionnels pour combattre la montée du FIS, qui menacait ouvertement de fermer les vannes du petrole et du gaz à la France.

          Les frappes de 1995 ont servi de prétexte à la FrancIsrael pour déclencher des vagues de massacres de civils sans precedent dans l'histoire de l'Algérie, massacres qui ont fait entre 200 000 et 500 000 morts.

          Tous les aveux obtenus par "l'anti-terrorisme" francais ont été obtenus sous la torture, et ce n'est pas un hasard si le journaliste du journal pro-israelien, pro-BHL,

          Le Point, vient de sortir "Place Beauvau: la face cachée de la police" BHL, membre des commandos médiatique des GIAs, est un tres proche du juif sioniste Larbi Belkheir, officier de la DGSE directement impliqué dans le scandale du GIA/GICM,

          le scandale qui a permis de remonter jusqu'au bureau des services secrets francais. Belkheir et ses subalternes algériens ne veulent pas tomber tous seuls...

          Vous assistez à des reglements de compte entre differents services de police et de l'armée en France et en Algérie, travaillant pour des clans et des interets differents, mais tous impliqués dans ce scandale. La panique ayant gagné l'Elysée, Matignon, place Beauvau, et la Défense depuis qu'une plainte internationale a été deposée contre le gouvernement francais pour avoir crée des escadrons de la mort en Algérie.

          Le 03 octobre 2003, Bouteflika rentre d'un voyage express à Paris, lorsqu'il veut remonter dans son avion, une balle lui frole la tete... Il echappe une premiere fois à la mort... Fin décembre 2005,

          on annonce l'hospitalisation précipitée de Bouteflika, celui-ci souffrirait d'une polykystose rénale. Il n'en est rien, Bouteflika vient de se faire tirer dessus par des éléments pro-francais en Algérie qui l'accusent d'etre derriere les révélations de l'operation Novembre 1950 et de vouloir faire juger les criminels de guerre à Alger et Paris, tout en jouant la carte du referundum.

          Un homme tire sur Bouteflika, la balle a traversé son estomac, trois de ses gardes du corps sont tués, il est soigné à Alger dans un état critique, sa sépulture est déja toute prete... La FrancIsrael jubile, manque de chance, des éléments algériens prouvent que le gouvernement francais est derriere l'opération... Chirac invite son ami Bouteflika à se faire soigner en France... Toujours pas de contrats juteux ni traité signés entre la France et l'Algérie...

          Le 05 Juillet 2005, un article accusant la France d'etre derriere le GIA et le GICM parait (Combien de Parisiens vont-ils mourrir cet été dans un vrai-faux attentat terroriste-islamiste ?), 48 heures plus tard Londres est frappée... Le 10 juillet 2005, Villepin négocie avec Blair la "livraison de Rachid Ramda", retenu illégalement depuis 10 ans par l'Angleterre...

          La Grande Bretagne et la France, grands fabriquants de terrorisme et assassins de leurs propres populations, craignent des fuites sensibles sur leurs methodes de gestion post-coloniales de leurs anciennes colonies (Algérie et Iraq)... Assurement les jours qui viennent risquent d'etre tres riches en révélations explosives... La DST savait tout 24 heures avant les frappes de 1995, qui a décidé de ne pas bouger et pourquoi ?

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          • #6
            Entretien avec Jean-Baptiste Rivoire


            Début novembre 2002, Canal plus 90 minutes, magazine d'investigation, diffuse la première enquête approfondie menée par deux journalistes français, Jean-Baptiste Rivoire et Romain Icard, sur les attentats perpétrés à Paris en 1995 et attribués au GIA.

            Les conclusions d'«Attentats de Paris, enquête sur les commanditaires» sont édifiantes. A l'issue d'un travail d'investigation de plus de deux ans et à travers une vingtaine d'entretiens inédits avec des acteurs algériens et français, les deux journalistes affirment que les «Groupes islamistes armés» sont depuis 1994 directement guidés par le Département de renseignement et de sécurité (DRS, l'ex-Sécurité militaire).

            Un film salutaire, dira Pierre Vidal-Naquet, «qui n'est qu'une étape dans la recherche de la vérité»'. Confluences a rencontré Jean-Baptiste Rivoire, journaliste et co-auteur de ce documentaire.


            - Confluences Méditerranée : Comment vous êtes-vous intéressé à l’Algérie ?



            Jean-Baptiste Rivoire : Vers la fin de 1997, je suis arrivé au Vrai Journal sur Canal plus, l'émission de Karl Zéro. C'était l'époque des massacres en Algérie. J'ai rapidement pris contact avec Mme Nacera Dutour, porte-parole du Collectif des familles des disparus en Algérie.

            Le hasard a voulu que Nacera soit la sœur de Nesroulah Yous, qui était un habitant de Bentalha. Yous a accepté de nous livrer témoignage sur le massacre (22-23 septembre 1997), en changeant de voix.

            C'est ainsi que mes enquêtes sur l'Algérie ont commencé. Par suite et sur trois armées, nous avons préparé plusieurs autres reportages sur ce pays dans le cadre de la même émission.


            - Dans quelles conditions avez-vous travaillé en Algérie ?



            Je suis interdit de séjour en Algérie depuis 1996. En effet depuis que j'ai montré, dans l'un de mes premiers documentaires sur ce pays, diffusé par l'émission Zone Interdite (M6), les images des escortes qui nous ont surveillés tout au long de notre travail, les autorités algériennes ne m'ont plus délivré de visa.



            Dès lors tous mes documentaires pour le Vrai journal ou Envoyé Spécial (France 2) ont été réalisés soit sur la base d'enquêtes avec des témoins et des acteurs venus d'Algérie, soit en envoyant des équipes clandestinement, soit grâce à l'aide d'Algériens installés dans leur pays ou pouvant rentrer avec leur passeport sans décliner leur objectif.



            A titre d'exemple notre enquête sur l'assassinat de Maatoub Lounès en Kabylie a été réalisée grâce à un couple (une Française et un Algérien). Partis là-bas comme des touristes, avec un caméscope dissimulé dans un sac, ils ont collecté des informations sur les circonstances de l'attentat en interrogeant notamment les habitants.



            - Comment avez-vous procédé pour faire cette enquête sur un sujet comme les attentats de 95 ?



            Les premiers témoignages qui nous sont parvenus allaient à l'encontre de la version officielle des faits selon laquelle des islamistes du GIA ont déposé des bombes à Paris. En novembre 1997, un des porte-parole du Mouvement des officiers libres (MAOL), le capitaine Houcine Ougenoune (un ancien des services secrets), publie dans le quotidien anglais The Observer un témoignage remettant en cause la version officielle des attentats de 1995 en attribuant leur responsabilité aux services algériens.

            Ce témoignage est corroboré quelques jours plus tard par un autre livré par le colonel Ali (Hakim, ex-officier au ministère de la Défense) au quotidien Le Monde. Ainsi à huit jours d'intervalle, deux articles dans deux quotidiens importants affirment que le GIA est infiltré et que les attentats de 1995 étaient commandités par la Sécurité militaire algérienne.

            Ces révélations ont suscité notre intérêt et nous ont en réalité poussés à commencer notre enquête sur les attentats de Paris.

            Nous avons rencontré quelques mois plus tard pour les interviewer les deux auteurs des révélations. Nous avons également rencontré le colonel Samraoui (installé maintenant en Allemagne, ancien des services secrets, DCE).



            Toutefois ces témoignages demeuraient insuffisants pour les besoins de notre documentaire. Mais le temps passant, d'autres officiers se sont mis à parler et à apporter des éléments nouveaux sur l'affaire.

            Le témoignage décisif qui nous a permis d'étoffer notre enquête est intervenu au printemps 2002 sur la chaîne qatari Al-Jazira. Un militaire algérien, le capitaine Chouchen, qui avait quitté l'Algérie, a raconté comment ses supérieurs de la Sécurité militaire lui ont ordonné de devenir l'adjoint de Djamel Zetouni.

            C'est d'ailleurs souvent sur Al-Jazira que des témoignages marquants ont été diffusés sur la question algérienne. Cette chaîne a permis, en donnant la parole à plein d'acteurs algériens, d'apporter des informations précieuses sur la réalité de ce pays.

            Chouchen affirmait avoir été chargé par ses supérieurs de seconder le chef du GIA dans les maquis. Cette information décisive nous a permis de remonter pas à pas la piste Zitouni et de compléter le puzzle.



            - Quand on regarde un peu ce travail, on a l'impression qu'il n'a aucune conséquence sur le milieu politique français. Normalement des révélations de cette importance suscitent au moins une commission d'enquête...



            Notre enquête sur les attentats de Paris révèle des éléments extrêmement graves. Quand l'ancien Premier ministre algérien, Abdelhamid Brahimi, affirme que les autorités françaises savent pertinemment qui a commis les attentats, ou quand Alain Marceau (ancien chef du Service central de lutte antiterroriste,1986-89) soutient qu'il est hautement vraisemblable que le cIA soit une organisation-écran utilisée parfois par les services pour agir, il s'agit là d'affirmations d'une extrême gravité.

            Personnellement je m'attendais à une réaction de la part des autorités françaises et algériennes. Pourtant, nous n'avons enregistré aucune réaction ni la moindre poursuite judiciaire. La raison est simple : les concernés savent que nos révélations sont vraies. Mais comme notre enquête passait sur une chaîne cryptée à 23 heures, il leur est visiblement apparu, vu toute la polémique qui s'en est suivie dans la presse écrite, que la meilleure réaction était d'éviter de mettre de l'huile sur le feu.

            Même la presse algérienne a très peu abordé le sujet. Sur d'autres enquêtes comme celle sur les massacres, la presse algérienne nous a attaqués plus violemment. Cette modération s'explique peut-être par le fait que notre enquête n'affirme pas que les bombes ont été déposées par l'armée algérienne mais que le GIA a été probablement manipulé à cette époque.

            Nous avons eu un bras de fer très dur avec les autorités algériennes durant les mois qui ont précédé la diffusion de notre travail. Nous leur avions demandé de s'exprimer sur le sujet. Finalement les résultats de notre enquête les rassurent un peu.
            Dernière modification par absente, 16 août 2006, 20h49.

            Commentaire


            • #7
              Désolée c'est trop long !!!!!!!!!!!

              - Le plus choquant n'est-il pas dans l'absence de réaction française ? Votre enquête pointe une certaine responsabilité ou du moins passivité des autorités françaises dans l'assassinat de citoyens français sur le territoire de la République...


              Les Français savent que notre travail n'est pas attaquable et ils ont choisi de faire le moins de vagues possibles.



              - Comment expliquez-vous que du côté de l'opposition aucun parti ne s'est emparé de ce documentaire pour exiger une enquête parlementaire ou du moins un débat citoyen sur le rôle de la France ?



              Tout le monde a peur. Nous avons essayé au cours de notre travail d'interroger des responsables politiques français. J'ai eu personnellement Jospin. Mais la seule personne qui a accepté à gauche de nous rencontrer a été un conseiller de l'ancien Premier ministre, qui était très inquiet à l'idée que la fondation Jean Jaurès soit impliquée par ses propos.

              Pour lui, notre hypothèse était très vraisemblable. Quant à notre rencontre avec Debré, elle a été, comme le montre notre documentaire, très courte dans la mesure où ce dernier n'a pas jugé bon de répondre à nos questions. Je pense qu'à droite comme à gauche les responsables politiques français savent qu'ils ont affaire à un terrorisme d'Etat dangereux.

              Qui plus est, depuis 1962, l'argent de l'Algérie a servi à financer plusieurs campagnes politiques en France, de droite comme de gauche. Les enjeux financiers avec l'Algérie sont importants.

              Il y a d'abord les commissions juteuses versées des deux côtés de la Méditerranée ; il y a ensuite des contrats très intéressants qui ont été signés; la loi du silence pérennise ces intérêts.



              Quand Jospin arrive au pouvoir en 1997, il rompt avec son approche critique envers les autorités algériennes et choisit lui aussi de se taire. Il semble que les autorités algériennes lui ont fait savoir qu'il avait intérêt à oublier ses critiques.



              - Pourquoi d votre avis ni l'enquête policière ni le procès des auteurs des attentats de 1995 n'ont permis d'apporter des preuves concluantes quant à la thèse de la manipulation du GIA par les services algériens ?



              Je pense que la personnalité très mystérieuse de celui qui est censé être l'organisateur des attentats de 1995, c'est-à-dire Ali Touchent, y est pour beaucoup. Touchent monte des réseaux; ses réseaux finissent par tomber; la police est alertée.

              Pourtant Touchent réussit systématiquement à s'échapper. En 1993 en France, en 1994 en Belgique et enfin de nouveau en 1995 en France, Touchent est identifié mais s'éclipse. Qui a donné son nom ? Pourquoi a-t-il toujours réussi à éviter l'arrestation ?



              Ce qui est curieux également, c'est que tous ces types arrêtés et impliqués dans les attentats de 1995 ont acheté des armes en donnant leur nom à l'armurier. Ce qui est le plus vraisemblable c'est que Ali Touchent les a manipulés et a donné leur nom. Touchent les manipule.

              Je pense personnellement que les jeunes qui ont été jugés dans le cadre du procès sur les attentats de 1995 ont vraisemblablement participé aux opérations, sauf qu'à mon avis ils ont été manipulés. Le vrai chef du réseau n'a jamais été arrêté. Les avocats affirment pourtant que sa photo est dans le dossier. Pourtant quand les rafles ont eu lieu, on a procédé à des arrestations mais curieusement on n'a plus parlé de Touchent...

              Une semaine plus tard Ali Touchent s'en va tranquillement vers Alger. Deux ans plus tard il est déclaré mort par les autorités algériennes. Plusieurs éléments laissent penser que Touchent a été un agent double au service de la Sécurité militaire algérienne.

              Son frère a par exemple raconté à des consœurs du quotidien Libération qu'en 1997 quand il s'est rendu à Alger pour récupérer les affaires de son frère, il y a découvert des fiches de paie indiquant qu'il était rémunéré par le ministère de l'Intérieur.



              En tout état de cause, que la piste Ali Touchent n'ait pas été davantage explorée par la police française, cela pointe les complicités qui ont toujours existé entre la Sécurité algérienne et la D.S.T. française.

              J'ai même appris au cours de mon travail que la D.S.T. a apporté son concours à la S.M. pour monter des opérations de manipulation psychologique en Algérie. On a envoyé de fausses informations sur le leader du FIS à la presse algérienne afin de discréditer le FIS.



              N'oublions d'ailleurs pas qu'à l'époque de l'Algérie française les services français avaient leurs propres maquis FLN. Les maquis du GIA ne sont pas une innovation. Déjà en 1956 des Algériens habillés en fellaghas travaillaient pour le compte des Français et massacraient des villages pour discréditer le FLN auprès de la population.



              - Les personnes qui ont témoigné dans votre documentaire n'ont pas été inquiétées. Votre documentaire n'a pas eu d'incidence sur le procès ?



              Le verdict a été rendu le 31 octobre 2002. Notre documentaire a été diffusé le 4 novembre. Et le 6, l'Année de l'Algérie en France a été officiellement lancée par une conférence de presse.

              Personnellement j'aurais aimé que notre enquête soit montrée aux victimes des attentats. J'ai montré mon travail à la présidente de l'association SOS-Attentats, mais incontestablement elle n'a pas choisi de s'appuyer dessus lors du procès.



              - Un dernier mot: qu'est-ce que vous pensez de l'Année de l'Algérie ?



              C'est une manifestation organisée par le gouvernement algérien et par le Quai d'Orsay. A ma connaissance le gouvernement algérien a fourni 20 millions d'euros pour financer l'Année de l'Algérie et le gouvernement français seulement 1,5 million d'euros. Il s'agit donc d'une manifestation organisée en France avec l'argent des Algériens.

              Le grand absent ce sont les Droits de l'homme. Toute dimension sociale ou économique a été étouffée et marginalisée dans cette manifestation. Ainsi, l'Année de l'Algérie ignorera les vrais problèmes des Algériens. L'impression qu'on a quand on regarde le programme, c'est qu'on va mettre en avant la culture d'il y a quinze ans ou vingt ans, des gens qui ne sont plus dangereux aujourd'hui.

              Le vrai «danger culturel», la Kabylie, n'est presque pas au programme. On récupère à titre posthume, par ailleurs, Kateb Yacine qui a été marginalisé par Alger pendant 20 ans... et on le programme à la Comédie Française. Et tout le monde est très content.



              Mais l'enjeu réel de cette année algérienne c'est de redorer l'image du régime algérien avec la complicité du Quai d'Orsay. Le dernier film du Président de l'Année de l'Algérie a été cofinancé par la télévision d'Etat algérienne. Celui-ci a enregistré des spots publicitaires pour Khalifa TV, propriété d'un milliardaire algérien dont les fêtes cannoises attirent beaucoup de beau monde.

              L'Année de l'Algérie fait apparaître cette espèce de Françalgérie qui défend les intérêts des dirigeants et qui oublie complètement le peuple. Je trouve indécent de célébrer l'Année de l'Algérie en France sans rendre justice aux 200 000 personnes tuées durant les 10 dernières années, aux 7000 disparus. Je pense due la page ne peut être tournée de cette façon.



              Mais l'existence même de cette manifestation montre que les autorités algériennes ont besoin de redorer leur image. Cela prouve à ceux qui ont essayé de faire de l'information vraie sur ce pays qu'il ont un peu réussi.

              Quand on voit les sommes astronomiques que Khalifa a investies dans les médias en France, en donnant de l'argent à Karl Zéro pour son journal, à Emmanuel Chain, à l'agence Sunset, qui est un gros producteur de documentaires... on est en mesure de penser que cet argent contribue à étouffer toute enquête indépendante sur ce qui se passe en Algérie aujourd'hui.




              Propos recueillis par Olfa Lamloum
              Dernière modification par absente, 16 août 2006, 20h51.

              Commentaire


              • #8
                zun autre

                RELEVÉ SUR LE SITE ALGÉRIEN ARABE ANTI-FLN
                http://www.stcom.net/
                QUI SE BAT CONTRE LA CORRUPTION DE LEURS GÉNÉRAUX FLN
                Nous trouvons dans ce Site la liste des « barbouzes Français » actuellement en place en Algérie.
                Ce qui laisse supposer que :
                DE GAULLE - ALLIÉ AUX ASSASSINS DU FLN - S’EST ARRANGÉ POUR FOUTRE DEHORS PLUS D’UN MILLION DE FRANCAIS-D’ALGÉRIE QUI LE GÉNAIENT POUR EXPLOITER L’ALGÉRIE ET L’AFRIQUE A SON PROFIT ET CELUI DE CES ACOLYTES TELS LES FOCCART - PASQUA ET TOUTE LA BANDE A CHARLOT.

                Suivez le guide :
                -Christian Le Breton: né le 17 Avril 1955 à Grenoble. Grade commandant. Service d’affectation: le RAID. Il est en Algérie pour assister le général Fodil Chérif( bras droit du chef de l'ANP), l’un des officiers les plus importants en Algérie. Son ordre de mission porte le numéro:38ALFSMD99 et sa couverture officielle est: responsable commercial dans une entreprise de forage Franco-Italienne.
                http://www.**********************/plainte/preuve2.shtml
                -Alain Robert Cholet: né le 25 janvier 1958 à Metz. Grade capitaine. Il est chargé d’entraîner les forces spéciales à Alger, surnommé par les ninjas "E’rrouji": le rouquin. Il a été l’adjoint du commandant Favier ( du GIGN) lors de l’assaut contre l’airbus d’Air France à l’aéroport de Marseille. (Coincidence : Pasqua ministre de l’interieur)
                -Jean Michel Pourtnes: né le 31 décembre 1951 a Paris. Grade capitaine des services de communication et de transmission, spécialiste des techniques d’écoutes auprès des services secrets.
                -Armand Pierre Lafarge: commandant du 42eme RT Français (Régiment de Transmission). Il fournit les transmissions et les écoutes avec les moyens les plus modernes et les plus performants (RITA et système satellite); trois (03) de ses hommes conduisent des voitures (camionnettes) bourrées d’appareils électroniques ( pour la détection électronique sur le grand Alger) et sous couverture de fonctionnaires de la RTA ( Radio et Télévision Algérienne). Il est à noter que cela est fait en étroite collaboration avec le sous-marin d'écoute Français stationné au large des cotes Algériennes.
                http://www.**********************/barbouzes/
                -Pascal Chotte: né en 1960. Grade capitaine. Il est affecté auprès du général Smain Lamari. C’est un officier de la DGSE et son influence dépasse de très loin son grade.
                -Daniel Cariben: né en 1966. Grade sergent chef. Il a fait partie de la première division blindée de Baden-Baden, la plus puissante division de l’Armée Française.
                -Marcel Lehman Jean : né en 1960. Grade sergent. Même corps d'origine.
                les noms qui vont suivre sont plus secrets que le secret; ce sont des professionnels qui jouent à la guerre en échange de parts de marché dans les puits de pétrole, armements, minerai de diamant et autres ressources importantes.
                -Damink Emmanuel: Grade commandant sans affectation. C'est un des officiers les plus secrets, en mission auprès du général Mohamed Mediene dit Toufik,(il rentre dans son bureau sans même frapper a la porte).
                -Stefan Desmond: Grade capitaine, Sud Africain et ami personnel du général Sadek Kitouni (notre ambassadeur en Afrique du sud). Il est en mission auprès des services opérationnels de la DCSA en l’occurrence le colonel Bachir Tertague Alias colonel Atman, un spécialiste de la torture.
                -Barsony Uri: Grade commandant, un ancien de l’armée de l’apartheid, ami intime du général Fodil Cherif qui lui a attribue une solde de $45000 (Dollars Américains), un ordre signé par le secrétaire général du ministère de la défense Nationale (le général Mohamed Ghenim ) date du 15 décembre 1997 pour les versements sur le compte ouvert au nom d’une femme (Mlle Francolini) au Canada à la CIBC, 1155; boul.rene-Levesque. Ouest Montréal. Quebec. H3B 3Z4 tel: (00 1 514 876 3490).
                -Taylor Peter: grade colonel de la CIA à la retraite, ancien chef de l’antenne de la CIA en Europe et ami personnel du général Smaïn Lamari. Il est l’artisan du changement de la politique des USA vis-à-vis d’Alger. Il a touché une commission inimaginable après le contrat d’armement signé avec l’Afrique du sud. Il suit le général Mohamed Lamari comme son ombre, même à l’étranger. Il ne rate jamais une commission après chaque marché conclu.
                -Coblence Michael: Grade commandant, age de 48 ans, de nationalité Américaine. Il accède au MDN par la grande porte et s'y déplace comme s’il était chez lui. Il s’occupe du service informatique de l’armée (SCIA) et a carte blanche dans tout ce qu'il entreprend. Sa couverture est conseiller auprès du directeur général de la Sonatrach. Il a reçu une prime d’un (01) million de dollars en janvier 1998.
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                Nous tenons a dire que cela n’est que la partie apparente de l’iceberg, ce qui viendra plus tard est encore plus incroyable.
                Des frères à nous ont payé le prix fort pour que ces informations voient le jour, notre seul but réside dans notre souhait d'une prise de conscience par nos collègues militaires et par le peuple Algérien, des réalités que cachent les généraux.
                PS: Notre haine des généraux provient de notre amour pour l'Algérie et pour le peuple Algérien.
                FIN DE CITATION
                Commentaire de Aziz
                TOUS LES MEMES POURRIS CHEZ LE FLN
                Le général algérien à la retraite KHALED NEZZAR ancien homme fort du régime, avait porté plainte en diffamation devant le Tribunal Correctionnel de Paris, contre un ancien sous-lieutenant algérien, auteur d'un livre intitulé "LA SALE GUERRE" , critiquant l'armée d'alger dans sa guerre contre l'islamisme.
                A l'audience du 1er juillet, le général déclare que le processus électoral à été interrompu en janvier 1992 "pour répondre aux voeux de la majorité de l'opinion publique".
                L'avocat de la défense lui lance alors : "comment pouvait-on les connaître ?". Et le général de répondre : "par des sondages du ministère de l'intérieur !..." .

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                • #9
                  Le tafia ne vaut pas tres cher cette annee.

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                  • #10
                    J'hallucine ou quoi ?

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