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Publications : Kamel Daoud revisite L’Etranger

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  • Publications : Kamel Daoud revisite L’Etranger

    Écrit par Walid Bouchakour

    Après quelques mois de relative léthargie, les maisons d’édition algériennes annoncent une pléiade de nouveaux titres à l’approche du Salon international du livre d’Alger. Parmi ces nouvelles publications, la littérature se taille la part belle avec des plumes connues et reconnues qui signent de nouvelles œuvres. C’est le cas de l’écrivain et chroniqueur Kamel Daoud qui signe aux éditions Barzakh Meursault contre-enquête. Comme son nom l’indique, ce roman est un retour sur l’Etranger, œuvre phare d’Albert Camus, dont le monde littéraire fêtera le centenaire de la naissance le 7 novembre prochain. Kamel Daoud, à la verve caustique bien connue, a décidé de donner la parole aux « Arabes » qui demeurent une présence silencieuse et inquiétante dans l’œuvre de Camus. A la manière d’un pied de nez à Camus qui présente le meurtre de l’Arabe comme un acte purement absurde et gratuit, Daoud mène, fictivement, l’enquête sur cet assassinat dans Meursault contre-enquête. Outre le roman de Kamel Daoud, le centenaire de la naissance de Camus a également inspiré Salim Bachi, et son éditeur Flammarion. L’auteur des Douze contes de minuit signe Le dernier été d’un jeune homme. Ce roman nous plonge dans les interrogations du jeune Camus, déjà auteur de ses œuvres majeures à 36 ans, traversant l’Atlantique pour un voyage au Brésil. Salim Bachi explore la pensée intime de l’auteur de
    la Peste entre une vie personnelle mouvementée, un succès grandissant et une difficulté à prendre position devant les bouleversements politiques que vit l’Algérie depuis mai 1945. Le dernier été d’un jeune homme paraîtra le 25 septembre prochain aux éditions Flammarion

    reporters.dz
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Dommage qu'un Kamel Daoud, dont j'ai apprécié les éditos exubérants en arrive à n'exister que par la critique d'un Camus! Il a pourtant l'éloquence prolixe, nécessaire pour produire par et pour lui-même!...
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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