Le nuage n’a pas rejoint son nid. La stupeur n’a pas quitté son ombre.
L’étoile ne s’est pas réjouie de sa nuit. Cet homme n’a pas délaissé sa mort
Tous sont ouvert à la houle une porte, à la nuit une porte et mille portes à la guerre
Vous amis, compagnons de mon verre.
Arrêtez ce saccage et puis je n’aime pas les femmes qui dessinent avec le vent mes pas
J’aime toutes les femmes je n’aime pas les montagnes qui frôlent le ciel des redondances.
J’aime les ruelles qui mènent secrètement au cœur. Celles qui lient l’âme à ses marches et m’emportent jusqu’aux confins de la terre.
Non pas la terre, je veux dire.mais lèvres de femme, grappe de raisin verre. lune, étreinte
me dérobant le soleil d’août ou encore pluie inondant mes mains.
Non pas la nuit ,mais son matin.Et puis je n’ai souvenir de rien.
J’ai souvenir de mon père quittant les nues de la vie et son âme
sur le palanquin de notre chagrin.
J’ai souvenir de son visage apaisé. De son corps froid De ma stupeur.
Où s’en iront, à ma mort, les femmes que je cache en mon cœur ?
Elsa garderait-elle le séjour éternel de son silence ?
Bouthayna apparaîtrait peut-être dans la cour de la maison
Jocelyne serrerait Layla entre ses bras
Et peut-être feraient-elles cercle autour de moi pour bavarder un peu.
C’était un ami de toutes les guerres dit Elsa
Un compagnon de l’air, poursuit Jocelyne
Il n’a pas quitté son ombre
C’était un sage un ami de tout ce vide
Mbarak Wassat
J'ai lu , aimé je partage
M.G...
L’étoile ne s’est pas réjouie de sa nuit. Cet homme n’a pas délaissé sa mort
Tous sont ouvert à la houle une porte, à la nuit une porte et mille portes à la guerre
Vous amis, compagnons de mon verre.
Arrêtez ce saccage et puis je n’aime pas les femmes qui dessinent avec le vent mes pas
J’aime toutes les femmes je n’aime pas les montagnes qui frôlent le ciel des redondances.
J’aime les ruelles qui mènent secrètement au cœur. Celles qui lient l’âme à ses marches et m’emportent jusqu’aux confins de la terre.
Non pas la terre, je veux dire.mais lèvres de femme, grappe de raisin verre. lune, étreinte
me dérobant le soleil d’août ou encore pluie inondant mes mains.
Non pas la nuit ,mais son matin.Et puis je n’ai souvenir de rien.
J’ai souvenir de mon père quittant les nues de la vie et son âme
sur le palanquin de notre chagrin.
J’ai souvenir de son visage apaisé. De son corps froid De ma stupeur.
Où s’en iront, à ma mort, les femmes que je cache en mon cœur ?
Elsa garderait-elle le séjour éternel de son silence ?
Bouthayna apparaîtrait peut-être dans la cour de la maison
Jocelyne serrerait Layla entre ses bras
Et peut-être feraient-elles cercle autour de moi pour bavarder un peu.
C’était un ami de toutes les guerres dit Elsa
Un compagnon de l’air, poursuit Jocelyne
Il n’a pas quitté son ombre
C’était un sage un ami de tout ce vide
Mbarak Wassat
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M.G...
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