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Chaâbane Boudemagh : « Ceux qui veulent voir ce pays à genoux savent que leur seule entrave, c’est l’ANP »

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  • Chaâbane Boudemagh : « Ceux qui veulent voir ce pays à genoux savent que leur seule entrave, c’est l’ANP »

    Chaâbane Boudemagh. Colonel à la retraite, président de l’Organisation des patriotes algériens
    « Ceux qui veulent voir ce pays à genoux savent que leur seule entrave, c’est l’ANP »

    El Watan - le 17.01.14 | 10h00 2 réactions



    Des comités de soutien réunis en coordination nationale appellent le colonel Chaâbane Boudemagh, 67 ans, président de l’Organisation des patriotes algériens, à se présenter à l’élection présidentielle de 2014. Il se confie sur les motivations qui pourraient le pousser à se porter candidat.


    - Des comités de soutien réunis en coordination nationale vous appellent à vous présenter à la présidentielle de 2014. Comptez-vous vous porter candidat, et si oui, comment comptez-vous réunir les 60 000 signatures individuelles ou des 600 élus nécessaires ?

    A trois mois d’une élection capitale, il n’y a aucun signe de vie surune scène politique qui, par ailleurs, connaît des difficultés énormes à s’organiser. La situation politique du pays ne permet même pas aux partis politiques traditionnels de se positionner. Vous comprendrez donc aisément que je ne prends pas à la légère l’acte de candidature, ni les appels qui me sont adressés par les comités et associations que vous avez mentionnés. Donc, le fait d’être candidat ou de se positionner dans une élection dépend des conditions dans lesquelles celle-ci est organisée. Or, aujourd’hui, il n’y a aucune visibilité. Ce flou n’est pas uniquement nocif pour les déclarations de candidature. Il influe également sur la marche sereine de l’Etat et le fonctionnement normal des institutions. Je ne suis pas très connu dans l’arène politique et cela se comprend. J’ai passé ma vie au service de mon pays dans la discrétion qu’exigeaient et m’imposaient les missions dont on m’a honoré. Concernant la collecte des signatures et dans le cas où je répond par l’affirmative aux appels à candidature, je dois dire que sur la base de renseignements méthodiquement évalués, il n’y a aucun doute sur les capacités organisationnelles et opérationnelles des structures que vous avez citées, présentes notamment à travers les quarante-huit wilayas et parmi notre communauté basée en Europe et ailleurs, à l’effet de collecter le nombre exigé de signatures, tant en ce qui concerne les citoyens, ou encore celles ayant trait aux élus au niveau des communes, des wilayas, et même de parlementaires et sénateurs déja acquis à notre discours. Les effectifs, composés de vrais patriotes et nationalistes sont sur le terrain depuis de longs mois, engagés à mobiliser des populations courageuses aux fins de peser de tout leur poids, le moment venu, sur une issue qui déterminera le devenir de notre patrie.



    - Que devient la nouvelle Organisation des patriotes algériens que vous avez lancée en septembre dernier ?

    L’organisation est en attente d’agrément par le ministère de l’Intérieur qui dispose d’un délai maximum de soixante jours pour l’examen de conformité du dossier avec les dispositions de la loi sur les associations, et nous restons optimistes quant à la réception du récépissé d’enregistrement ayant valeur d’agrément cette semaine, vu que le délai est arrivé à échéance. Par ailleurs, je voudrais souligner que l’organisation est distincte des collectifs que vous avez cités précédemment et que les missions qu’elle se donne se limitent à ce que permettent les loi et réglementation, ceci aux fins de ne pas permettre une interprétation confuse entre l’activité de l’organisation et celle du présent sujet.



    - Le communiqué appelle à une «solution à la russe, voire à la Poutine». Pensez-vous que l’URSS soit un modèle politique ?

    La solution à la Poutine a bien été citée dans le communiqué des comités de soutien. Mais j’en ai une lecture bien propre. La Russie est un grand pays et l’expérience de la présidence de Poutine est intéressante à plus d’un égard. Je ne suis pas contre le fait de regarder de plus près ce qui a pu marcher pour d’autres nations, de s’inspirer des bonnes pratiques et d’en tirer les enseignements. A cette nuance près, je reste convaincu que l’Algérie est aussi ungrand pays qui a connu dans les années 1990 une crise profonde et multiforme. Je peux en témoigner en tant qu’ancien militaire, et sans complexe, nous avons vu l’Etat algérien menacé. Nous avons vu et dû faire face à la mort, aux destructions de biens et à l’anarchie. Et c’est grâce au dévouement du peuple algérien et au sacrifice de centaines de milliers de citoyens patriotes, de soldats et d’officiers de l’ANP, d’agents de police, de gendarmes, que le pays a été sauvé. C’est aussi une expérience dont nous devons nous inspirer. L’exemple de Vladimir Poutine est pertinent quand il s’agit d’assainir l’Etat, de le redresser et de le débarrasser de l’emprise de l’argent et des collisions entre rente et politique. En Russie, la concession des biens de l’Etat, le fonctionnement de l’outil de production et, de manière générale, les transactions de toute nature étaient entachées d’irrégularités du temps de Boris Eltsine. Ce qui a renforcé la position de certains «hommes d’affaires» qui faisaient la pluie et le beau temps. En Algérie, nous sommes, en 2014, dans la même situation que la Russie de 1999. L’exemple de Poutine est pertinent, je le répète, quand il s’agit d’assainir la politique, de lutter contre la corruption et de rendre à l’Etat son autorité, sa grandeur et son assise sur les domaines stratégiques et régaliens que certains ont concédés, voire cédés en échange de soutiens politiciens axés sur la redistribution de la rente et de l’accaparement des richesses nationales, propriété de tout un peuple. Par ailleurs, vous avez fait référence à l’URSS. Je dois dire qu’encore que la Russie d’aujourd’hui en soit l’héritière à plusieurs égards, elle s’en distingue fondamentalement et particulièrement concernant le système politique et économique. Le monde est en perpétuel changement, la Russie s’en est adaptée, et l’Algérie aussi. La solution d’urgence et la thérapie de choc dont a besoin l’Algérie doivent s’articuler sur la notion de sécurité nationale, au sens large du terme. La réflexion sur la sécurité du pays doit se faire par une approche systémique et implique des solutions d’ordre stratégique. Pour exemple, la lutte contre le terrorisme ne se limite pas à déployer des dispositifs militaires, faudrait-il commencer par ne pas nourrir l’islamisme dans les salons, recevoir les grands financiers du Golfe et prétendre combattre les groupes armés
 ! Le tout est d’allier les intérêts stratégiques : d’une part, les objectifs de développement tous azimuts, impératifs d’une économie productive forte axée sur la création de richesses, et d’autre part, les principes fondamentaux d’une redistribution équitable des richesses, l’instauration d’une véritable paix sociale, l’égalité des chances, la cohésion sociale, et une justice indépendante et impartiale, le tout dans le cadre d’un Etat de droit où l’autorité et les libertés vont de pair. L’Algérie devra investir aussi davantage pour sa sécurité et celle de la région, par le renforcement des accords stratégiques déjà établis avec nos partenaires dans la lutte contre le terrorisme, ainsi que du renforcement et de la modernisation du potentiel militaire et de renseignement.



    - En tant que colonel, pensez-vous que l’armée a encore un rôle à jouer ?

    Vous voulez dire si l’ANP a un rôle à jouer ? La réponse est claire dans la Constitution. L’ANP est une institution de la République. C’est une institution républicaine, populaire, car composée de citoyennes et de citoyens. Elle soude la nation, la protège, la défend et elle est la gardienne du caractère républicain de l’Etat. Il est donc évident qu’elle joue un rôle de premier plan. Je n’ai pas été formé et mobilisé pour autre chose que l’intérêt suprême de l’Algérie et tout ce que j’ai fait tout au long de ma carrière m’a été assigné par cette armée pour le seul et unique objectif de servir le pays. Porter atteinte à cette institution aujourd’hui par n’importe quel responsable que ce soit, civil ou militaire, est une atteinte à l’Algérie. L’ANP ne fait pas dans le marchandage politico-politicien. Elle n’est la chasse gardée de personne et n’est l’otage de personne. L’ANP, c’est le peuple. Les soldats sont des Algériens enfants d’Algériens. Ils ne descendent pas de Mars, planète de la guerre ! Au péril de leur vie, ils prêtent serment et sont prêts à mourir pour l’Algérie. J’ai eu l’honneur de commander des hommes et des femmes qui n’ont d’allégeance ni d’engagement autre que celui de servir l’Algérie. Aujourd’hui, l’Algérie est en proie à une crise complexe et multidimensionnelle. D’abord morale et nous risquons de perdre bien des acquis en termes de valeurs ancestrales, vertus du travail, du mérite, de l’égalité, de la liberté, de démocratie payée au prix de tant de sacrifices. Mais aussi économique, du fait que l’Algérie n’ait jamais connu une telle embellie financière depuis l’indépendance, mais n’étant employée que dans le financement de projets non productifs de richesses, le recrutement massif dans l’administration de l’Etat sous prétexte de résorption du chômage, et le financement de transferts sociaux en vue de permettre, de manière vicieuse, un équilibre social temporaire aux fins de leurrer le peuple sur la réelle situation que vit la nation. Les risques d’une implosion sont énormes et tous les indicateurs sont au rouge, et n’était l’imperturbable oeuvre de l’armée et notamment des services de sécurité dans le maintien des équilibres, de la stabilité et la sécurité, le pays aurait déjà sombré dans le chaos... à cause de calculs politiciens qui ne visent que plus de pouvoir pour plus de richesses. Et c’est l’armée qu’on veut à tout prix garder éloignée de la scène nationale ? C’est l’ANP qui doit s’occuper d’autre chose ? Ceux qui veulent voir ce pays à genoux savent que leur seule entrave, c’est l’ANP. Imaginez un instant que l’armée n’était pas intervenue à Tiguentourine en assumant toute sa responsabilité. Elle l’a fait, car c’est sa mission de préserver la sécurité nationale, de défendre nos frontières et d’endiguer tout risque d’instabilité. Donc oui, aujourd’hui, et plus que jamais, l’armée et les services de sécurité ont leur rôle à assumer dans un contexte où l’Algérie est à même de connaître une grave crise déstabilisatrice qui nécessite une période transitoire de redressement salvateur pour la République, non sans le concours de l’ensemble des forces vives de la nation. Et ce, pour que vive l’Algérie

    Bio express :

    L’ex-colonel Chabane Boudemagh, 67 ans, est né à Constantine. Il a fait des études en génie mécanique en Algérie en Russie et en France. De la marine militaire, il rejoint les services de la Sécurité militaire, devient responsable des opérations à l’étranger, occupe plusieurs postes de responsabilité avant de prendre sa retraite. Il est père de cinq enfants.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Encore une victime du tsunami de 2004 qui nous prône une solution à la Poutine... Décidément, ce floue permet à tout ce beau monde de se démasquer... Ensuite dire, j'ai raison ou c'est l'Algérie à genoux est encore une fois un bel exemple de démocratie à la Poutine, de ceux qui maintenant veulent monopoliser le patriotisme avec sic : "une Organisation Patriotique"... Qu'est ce qu'on n'est pas prêt à entendre...
    Dernière modification par ott, 17 janvier 2014, 11h31.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Ceux qui veulent voir ce pays à genoux savent que leur seule entrave, c’est l’ANP
      une armée ça peut se détruire..
      une société civile dynamique et mure qui oriente la vie politique du pays serait une bien meilleur protection..
      il n'y a qu'a étudier les deux cas libyen et tunisien pour en être persuader..
      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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      • #4
        - En tant que colonel, pensez-vous que l’armée a encore un rôle à jouer ?

        Vous voulez dire si l’ANP a un rôle à jouer ? La réponse est claire dans la Constitution. L’ANP est une institution de la République. C’est une institution républicaine, populaire, car composée de citoyennes et de citoyens. Elle soude la nation, la protège, la défend et elle est la gardienne du caractère républicain de l’Etat. Il est donc évident qu’elle joue un rôle de premier plan. Je n’ai pas été formé et mobilisé pour autre chose que l’intérêt suprême de l’Algérie et tout ce que j’ai fait tout au long de ma carrière m’a été assigné par cette armée pour le seul et unique objectif de servir le pays. Porter atteinte à cette institution aujourd’hui par n’importe quel responsable que ce soit, civil ou militaire, est une atteinte à l’Algérie. L’ANP ne fait pas dans le marchandage politico-politicien. Elle n’est la chasse gardée de personne et n’est l’otage de personne. L’ANP, c’est le peuple. Les soldats sont des Algériens enfants d’Algériens. Ils ne descendent pas de Mars, planète de la guerre ! Au péril de leur vie, ils prêtent serment et sont prêts à mourir pour l’Algérie. J’ai eu l’honneur de commander des hommes et des femmes qui n’ont d’allégeance ni d’engagement autre que celui de servir l’Algérie. Aujourd’hui, l’Algérie est en proie à une crise complexe et multidimensionnelle. D’abord morale et nous risquons de perdre bien des acquis en termes de valeurs ancestrales, vertus du travail, du mérite, de l’égalité, de la liberté, de démocratie payée au prix de tant de sacrifices. Mais aussi économique, du fait que l’Algérie n’ait jamais connu une telle embellie financière depuis l’indépendance, mais n’étant employée que dans le financement de projets non productifs de richesses, le recrutement massif dans l’administration de l’Etat sous prétexte de résorption du chômage, et le financement de transferts sociaux en vue de permettre, de manière vicieuse, un équilibre social temporaire aux fins de leurrer le peuple sur la réelle situation que vit la nation. Les risques d’une implosion sont énormes et tous les indicateurs sont au rouge, et n’était l’imperturbable oeuvre de l’armée et notamment des services de sécurité dans le maintien des équilibres, de la stabilité et la sécurité, le pays aurait déjà sombré dans le chaos... à cause de calculs politiciens qui ne visent que plus de pouvoir pour plus de richesses. Et c’est l’armée qu’on veut à tout prix garder éloignée de la scène nationale ? C’est l’ANP qui doit s’occuper d’autre chose ? Ceux qui veulent voir ce pays à genoux savent que leur seule entrave, c’est l’ANP. Imaginez un instant que l’armée n’était pas intervenue à Tiguentourine en assumant toute sa responsabilité. Elle l’a fait, car c’est sa mission de préserver la sécurité nationale, de défendre nos frontières et d’endiguer tout risque d’instabilité. Donc oui, aujourd’hui, et plus que jamais, l’armée et les services de sécurité ont leur rôle à assumer dans un contexte où l’Algérie est à même de connaître une grave crise déstabilisatrice qui nécessite une période transitoire de redressement salvateur pour la République, non sans le concours de l’ensemble des forces vives de la nation. Et ce, pour que vive l’Algérie
        exactement !! paroles sages et sensés ça nous change de la médiocrité des boutesri9a et ces tab jnani , erfa3 rassek . . . et de sa smala de voleurs comme sellal et ces fa9a9ir batata . . . et du drabki de service
        SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

        VIVA POLISARIO

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        • #5
          exactement !! paroles sages et sensés ça nous change de la médiocrité des boutesri9a et ces tab jnani , erfa3 rassek . . . et de sa smala de voleurs comme sellal et ces fa9a9ir batata . . . et du drabki de service
          Ça change rien du tout!!!
          Tous pareil et fil bagra yahalbou!...
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            Plus quelqu'un se dit patriote, plus il sera enclin à faire n'importe quoi car, croyant qu'il connait tout et travaillant pour le "bien", il refusera toute discussion et agira tel un dictateur.
            Cela ne peut durer qu'un temps, mais, cela n'a pas d'avenir.

            Et, si on avait un Poutine, ce serait surement encore pire. Et ce ne sera pas Poutine mais Moubarak ou Bachar.

            Et, nous comparer à la Russie c'est un peu fort de café. On ne sait rien faire.
            Les Russes font des avions de chasse, .... Nous, on fait zemit. Donc, tu peux essayer de te défendre avec zemit, le résultat ne sera pas top.

            Mais, il est sûr que l'armée reste au dessus de tout le reste car il s'agit de sécurité nationale ce qui est la chose la plus indispensable et la plus critique.

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            • #7
              tu vas pas nier le constat que fait ce colonel quand meme ? il faut avouer qu'il dit vrai et et le discours qu'il tiens est d'un niveau intellectuel 1000fois supérieure au débile de service sellal et au drabki
              SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

              VIVA POLISARIO

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              • #8
                Sincèrement .. il est temps que l'armée bouge .. pour forcer le pouvoir civil à appliquer la constitution .. par gré ou par force

                Un pays sans président.. fragilise l'état, l’institution militaire, et les finances publiques .. au plus haut degré !

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                • #9
                  si l'armée cessait d'intervenir dans la politique du pays ,l’Algérie se porterait mieux ...

                  chacun sa fonction ...

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                  • #10
                    Ce discours c'est de la merde 100%. Il nous parle de Poutine et d'une justice indépendante et impartiale. Il faut le faire.
                    Et, les gens avalent. Hum c'est bon.

                    C'est le genre d'opposition stérile qui ne sert qu'à brasser du vent.

                    "Le tout est d’allier les intérêts stratégiques : d’une part, les objectifs de développement tous azimuts, impératifs d’une économie productive forte axée sur la création de richesses, et d’autre part, les principes fondamentaux d’une redistribution équitable des richesses, l’instauration d’une véritable paix sociale, l’égalité des chances, la cohésion sociale, et une justice indépendante et impartiale, le tout dans le cadre d’un Etat de droit où l’autorité et les libertés vont de pair. L’Algérie devra investir aussi davantage pour sa sécurité et celle de la région, par le renforcement des accords stratégiques déjà établis avec nos partenaires dans la lutte contre le terrorisme, ainsi que du renforcement et de la modernisation du potentiel militaire et de renseignement."

                    Et, c'est théorique. Tout le monde dit ça, mais rare sont les pays qui y arrivent.
                    Quand ils arriveront aux travaux pratiques, on verra.

                    Commentaire


                    • #11
                      Silence2

                      Quand le retrait de l'armée profite principalement à la mafia politique et économique .. il serait bien qu'elle regagne du terrain oeilfermé

                      Que je sache .. les prérogatives visant à garantir la constitution .. lui incombent !.. c'est une armée nationale et populaire

                      Commentaire


                      • #12
                        C'est le système républicain qui pue la merde. Le jour où vous allez comprendre ça, vous verrez que vous êtes en train de parler dans le vide.

                        Dans ce système, c'est toujours l'armée qui prend le contrôle car c'est logique.

                        Soit, vous changez de système, soit vous donnez le pouvoir à l'armée, c'est très simple pour moi.

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                        • #13
                          certains lobotomisés considèrent que l'armée devrait etre une bande de mercenaires !! ils oublient que c'est une armée républicaine aux devoirs et valeurs républicaines qui (je cite le colonel auteur) :
                          Elle n’est la chasse gardée de personne et n’est l’otage de personne. L’ANP, c’est le peuple. Les soldats sont des Algériens enfants d’Algériens. Ils ne descendent pas de Mars, planète de la guerre ! Au péril de leur vie, ils prêtent serment et sont prêts à mourir pour l’Algérie. J’ai eu l’honneur de commander des hommes et des femmes qui n’ont d’allégeance ni d’engagement autre que celui de servir l’Algérie.
                          ces gens là ne se soucient pas de l'interet de la nation ,car lorsque l'ALGERIE se fait réellement saigner par les criminels chakib khlil said boutesri9a amar ghoul . . . etc on ne les vois plus
                          SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

                          VIVA POLISARIO

                          Commentaire


                          • #14
                            L'ANP est la seule Institution qui peut encore sauver de cette dictature de Bouteflika et de son clan de corrompus, il ne reste que cette solution car les civils sont trop laches pour signifier á ce médiocre président de dégager. Une Information est entrain de se propager comme un ballon d'éssai comme quoi Boutef a pu á coup de promesses á la France, de se procurer un certificat médical de complaisance lui permettant de se presenter pour un 4 eme Mandat. Qui peut arréter cette Folie? qui a le Courage de lui dire Dégage purée, tu es entrain de pousser les Algeriens á revenir aux moyens violents.
                            15 ans Barakat. Personne ne peut nous sauver de cette dictature Bouteflikienne qui a fait de nous des attardés mentaux, des tubes Digestifs et des handicapés de l'action politique.
                            Oui , ceux qui l'ont ramenés de son éxil doré doivent prendre leur responsabilité et l'aider á franchir le seuil d'el mouradia, en le poussant lui , son frere et son fauteul. Oui l'armée populaire doit prendre ses responsabilités et defendre les intérets suprèmes de la Nation que Bouteflika a hypothéqué pour garder le pouvoir et le transmettre á ses didciples qui vont finir á mettre le pays á genoux. Oui les militaires doivent encore aider la société civile á retrouver sa place dans le Reglement des problemes multiples que rencontre le peuple. Nous voulons un changement qualitaif, l'éradication de la corruption, la moralisation de l'action politique, la fin des charlatans et des harkis économiques qui veulent maintenir ce peuple dans l'inertie la plus toptale pour mieux le controler et l'éxploter á sa guise.
                            Oui l'armée doit intervenir pour mettre fin á cette mascarade qui n'a que trop duré.

                            Commentaire


                            • #15
                              Oui l'armee doit a travers les lois de la republique et mota:mment la constitution metre fin a ce grand cirque, cette mascarade de tres' tres mauvais gout et aidee la societe civle ' une vraie celle ci a reagir.:
                              Dernière modification par rosierbelda, 17 janvier 2014, 21h12.
                              " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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