Le fils du zombie Ali Benhadj qui rejoint ses frères zombies au GSPC, est-ce vraiment un scoop ?
L'énergumène Ali Benhadj doit savoir où se trouve son rejeton. En principe, il faudra l'arrêter et l'interroger jusqu'à ce qu'il dit tout. Il faudra employer les méthodes de Jack Bauer pour en finir avec cette gangrène...
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Alors que son père parle de sa “disparition” - Le fils d’Ali Benhadj rejoint le GSPC
La “disparition mystérieuse” du fils d’Ali Benhadj n’a pas fait long feu. En effet, un jour après l’annonce de l’ancien dirigeant de l’ex-FIS de la disparition de Abd Al-Qahar Benhadj, 18 ans, dans le quartier de Kouba, le 1er octobre dernier, des sources informées nous ont appris que le fils Benhadj est monté au… maquis.
Ainsi, selon des informations recoupées, le fils d’Ali Benhadj a été aperçu la dernière fois devant une mosquée de Kouba où il se rendait à la prière d’El-Fedjr en compagnie de certains de ses jeunes amis, dans la nuit de samedi à dimanche. Il a été signalé par la suite dans la région de Boumerdès. Ce qui est déjà étonnant pour un “disparu”. Or, des éléments islamistes de la région ont averti la famille Benhadj que son fils de 18 ans a rejoint un groupe local du GSPC et qu’il est actuellement au maquis. Ces éléments d’information, qui sont également parvenus à Ali Benhadj et à son entourage, n’ont pas dissuadé l’ancien imam de la mosquée Essouna de jeter l’anathème sur les “services de renseignement”, les accusant d’avoir enlevé son fils.
“Nous avons cherché dans tous les hôpitaux et les commissariats de police, et nous avons enquêté dans tous les lieux où il aurait pu se rendre, sans parvenir à éclaircir le mystère de cette disparition”, a-t-il indiqué à l’AFP, en date du 6 octobre, soit cinq jours après la “disparition” de son fils. Benhadj ajoutera que sa famille va continuer à le chercher sans pour autant, autre mystère, déposer une plainte au niveau du commissariat de son arrondissement. Connaissant parfaitement la loi, l’ancien dirigeant islamiste sait qu’en cas de plainte pour “disparition”, tout en sachant que son fils est au maquis, il pourrait faire l’objet de poursuites judiciaires pour “fausse déclaration”.
Qu’est-ce qui motive donc ce mensonge en plein mois de Ramadhan ? Ali Benhadj ne sait plus où donner de la tête depuis le retour d’Allemagne de l’ancien président du comité exécutif de l’ex-FIS à l’étranger, Rabah Kébir et consorts. De crainte de se voir marginalisé dans la démarche politique initiée par le groupe de Kébir, et c’est le cas, il veut continuer à attirer l’attention, surtout de l’opinion et des ONG internationales, sur son cas, quitte à inventer une scabreuse histoire d’enlèvement qui ne résiste pas aux faits.
Tous les observateurs auront remarqué le fait que Ali Benhadj a été “snobé” par Kébir à l’aéroport d’Alger. Frisant le pathétique, il se rendra, sans y être invité, à la conférence de presse de l’ancien exilé d’Allemagne, à Bouzaréah, rien que pour apparaître sur les photos et prétendre qu’il est partie prenante de l’initiative politique des anciens de l’ex-FIS. D’ailleurs, Madani Mezrag, ancien chef de l’AIS dissous, lui a bien fait sentir, sur place, qu’il n’était pas le bienvenu dans cette messe médiatique qui devait lancer le “programme” politique de Rabah Kébir qui s’impose, de facto, comme le dépositaire de la nouvelle ligne du mouvement islamiste “radicale”.
Pour compliquer encore plus la tâche de Benhadj, Abdelkrim Ghemati, vice-président de l’IEE de l’ex-FIS et bras droit de Kébir, a enfoncé le clou en déclarant clairement au quotidien El Bilad qu’il est “hors de question de travailler ou de militer à nouveau avec Ali Benhadj et Abassi Madani”.
Depuis sa libération, Benhadj n’a eu de cesse de s’agiter dans tous les sens pour se faire médiatiser et attirer l’attention. Provocations multiples, sit-in impromptu devant le Palais du gouvernement, déplacements illégaux en dehors de la wilaya, alors qu’il est soumis aux dix interdictions du tribunal militaire de Blida.
Craignant pour sa vie, les autorités ont même mobilisé six gardes du corps pour lui servir d’escorte et de protection. Mais ce qu’a fait son fils, Abdel Al-Qahar, son cadet, est un coup dur à sa réputation au sein du mouvement islamiste. Si Benhadj n’arrive même pas à contrôler son fils — il en a cinq — qui, dans le cas présent, rejoint un groupe terroriste dans le maquis le plus actif d’Algérie, c’est un affront à l’influence de son père qui, pourtant, vise à récupérer le mouvement islamiste.
source : liberté
L'énergumène Ali Benhadj doit savoir où se trouve son rejeton. En principe, il faudra l'arrêter et l'interroger jusqu'à ce qu'il dit tout. Il faudra employer les méthodes de Jack Bauer pour en finir avec cette gangrène...
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Alors que son père parle de sa “disparition” - Le fils d’Ali Benhadj rejoint le GSPC
La “disparition mystérieuse” du fils d’Ali Benhadj n’a pas fait long feu. En effet, un jour après l’annonce de l’ancien dirigeant de l’ex-FIS de la disparition de Abd Al-Qahar Benhadj, 18 ans, dans le quartier de Kouba, le 1er octobre dernier, des sources informées nous ont appris que le fils Benhadj est monté au… maquis.
Ainsi, selon des informations recoupées, le fils d’Ali Benhadj a été aperçu la dernière fois devant une mosquée de Kouba où il se rendait à la prière d’El-Fedjr en compagnie de certains de ses jeunes amis, dans la nuit de samedi à dimanche. Il a été signalé par la suite dans la région de Boumerdès. Ce qui est déjà étonnant pour un “disparu”. Or, des éléments islamistes de la région ont averti la famille Benhadj que son fils de 18 ans a rejoint un groupe local du GSPC et qu’il est actuellement au maquis. Ces éléments d’information, qui sont également parvenus à Ali Benhadj et à son entourage, n’ont pas dissuadé l’ancien imam de la mosquée Essouna de jeter l’anathème sur les “services de renseignement”, les accusant d’avoir enlevé son fils.
“Nous avons cherché dans tous les hôpitaux et les commissariats de police, et nous avons enquêté dans tous les lieux où il aurait pu se rendre, sans parvenir à éclaircir le mystère de cette disparition”, a-t-il indiqué à l’AFP, en date du 6 octobre, soit cinq jours après la “disparition” de son fils. Benhadj ajoutera que sa famille va continuer à le chercher sans pour autant, autre mystère, déposer une plainte au niveau du commissariat de son arrondissement. Connaissant parfaitement la loi, l’ancien dirigeant islamiste sait qu’en cas de plainte pour “disparition”, tout en sachant que son fils est au maquis, il pourrait faire l’objet de poursuites judiciaires pour “fausse déclaration”.
Qu’est-ce qui motive donc ce mensonge en plein mois de Ramadhan ? Ali Benhadj ne sait plus où donner de la tête depuis le retour d’Allemagne de l’ancien président du comité exécutif de l’ex-FIS à l’étranger, Rabah Kébir et consorts. De crainte de se voir marginalisé dans la démarche politique initiée par le groupe de Kébir, et c’est le cas, il veut continuer à attirer l’attention, surtout de l’opinion et des ONG internationales, sur son cas, quitte à inventer une scabreuse histoire d’enlèvement qui ne résiste pas aux faits.
Tous les observateurs auront remarqué le fait que Ali Benhadj a été “snobé” par Kébir à l’aéroport d’Alger. Frisant le pathétique, il se rendra, sans y être invité, à la conférence de presse de l’ancien exilé d’Allemagne, à Bouzaréah, rien que pour apparaître sur les photos et prétendre qu’il est partie prenante de l’initiative politique des anciens de l’ex-FIS. D’ailleurs, Madani Mezrag, ancien chef de l’AIS dissous, lui a bien fait sentir, sur place, qu’il n’était pas le bienvenu dans cette messe médiatique qui devait lancer le “programme” politique de Rabah Kébir qui s’impose, de facto, comme le dépositaire de la nouvelle ligne du mouvement islamiste “radicale”.
Pour compliquer encore plus la tâche de Benhadj, Abdelkrim Ghemati, vice-président de l’IEE de l’ex-FIS et bras droit de Kébir, a enfoncé le clou en déclarant clairement au quotidien El Bilad qu’il est “hors de question de travailler ou de militer à nouveau avec Ali Benhadj et Abassi Madani”.
Depuis sa libération, Benhadj n’a eu de cesse de s’agiter dans tous les sens pour se faire médiatiser et attirer l’attention. Provocations multiples, sit-in impromptu devant le Palais du gouvernement, déplacements illégaux en dehors de la wilaya, alors qu’il est soumis aux dix interdictions du tribunal militaire de Blida.
Craignant pour sa vie, les autorités ont même mobilisé six gardes du corps pour lui servir d’escorte et de protection. Mais ce qu’a fait son fils, Abdel Al-Qahar, son cadet, est un coup dur à sa réputation au sein du mouvement islamiste. Si Benhadj n’arrive même pas à contrôler son fils — il en a cinq — qui, dans le cas présent, rejoint un groupe terroriste dans le maquis le plus actif d’Algérie, c’est un affront à l’influence de son père qui, pourtant, vise à récupérer le mouvement islamiste.
source : liberté
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