Toujours les problèmes de gestion qui reviennent ...
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La Banque Mondiale évalue les mécanismes de gestion économique
Le retard de l’Algérie révèle les lacunes de la gestion
El-Khabar
17/10/2006
Par S. Hafid
L’évaluation de la Banque Mondiale des mécanismes de gestion dans ses aspects économiques et politiques montre le retard Algérien et l’incapacité à contrôler l’ensemble des indicateurs, sur lesquels s’est basé l’organisme international en coordination avec les plus grandes et les plus importantes banques au niveau régional et international. La prédominance de la corruption et de la bureaucratie et l’inexistence des conditions nécessaires au climat d’affaires et à l’investissement, le non respect des lois en plus de l’absence effective d’impact des décisions de la Justice, la faiblesse du secteur bancaires, tout ces facteurs ont fait que l’Algérie se classe parmi les pays sous développés.
Le rapport concernant la gouvernance et la gestion de la banque mondiale de 2006 rapporte des indicateurs négatifs pour l’Algérie. Le rapport s’est basé sur des indicateurs de grandes banques à l’instar de la banque Africaine du développement et la Banque Européenne de reconstruction et de développement et le forum économique international, en plus de l’organisme international Gallup.
L’organisme international met en garde contre la mauvaise gestion des ressources financières du budget et recommande la réduction des dépenses publiques en prenant en considération le poids et le rôle de l’intervention de l’Etat dans l’économie pour laisser la place à un rôle plus efficace du secteur privé.
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La Banque Mondiale évalue les mécanismes de gestion économique
Le retard de l’Algérie révèle les lacunes de la gestion
El-Khabar
17/10/2006
Par S. Hafid
L’évaluation de la Banque Mondiale des mécanismes de gestion dans ses aspects économiques et politiques montre le retard Algérien et l’incapacité à contrôler l’ensemble des indicateurs, sur lesquels s’est basé l’organisme international en coordination avec les plus grandes et les plus importantes banques au niveau régional et international. La prédominance de la corruption et de la bureaucratie et l’inexistence des conditions nécessaires au climat d’affaires et à l’investissement, le non respect des lois en plus de l’absence effective d’impact des décisions de la Justice, la faiblesse du secteur bancaires, tout ces facteurs ont fait que l’Algérie se classe parmi les pays sous développés.
Le rapport concernant la gouvernance et la gestion de la banque mondiale de 2006 rapporte des indicateurs négatifs pour l’Algérie. Le rapport s’est basé sur des indicateurs de grandes banques à l’instar de la banque Africaine du développement et la Banque Européenne de reconstruction et de développement et le forum économique international, en plus de l’organisme international Gallup.
L’organisme international met en garde contre la mauvaise gestion des ressources financières du budget et recommande la réduction des dépenses publiques en prenant en considération le poids et le rôle de l’intervention de l’Etat dans l’économie pour laisser la place à un rôle plus efficace du secteur privé.