L'ex chef terroriste reçu en qualité de personnalité nationale !!
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Ouyahia recoit Madani Mezrag - vidéo
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De plus en plus de cafouillage et de vendus et de traîtres dans ce gouvernement !
Les assassins et égorgeurs sont admis comme personnalités au sein d'une structure sensé représenter le peuple, ils n'ont aucune considération ni respect pour les victimes du terrorisme...que du mépris... Après tout je ne suis même pas surprise....
J'espère qu'il se passera quelque chose pour stopper l'ascension de ces tueurs.Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
Hemingway
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Ouyahya a vraiment baissé son froc, depuis l'arrivé de bouteflika, l'eradicateur comme il était surnommé à fait un virage de 360°.l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte
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parlementer avec l'ennemie dans les coulisses est une chose ,l’accueillir autant que personnalité nationale dans un salon avec le sourire en est une autre ....c'est un affront pour les familles des victimes et à tous les algériens qui ont vécu la décennie noire .
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le maitre et l'élève
L'ex chef terroriste reçu en qualité de personnalité nationale !!
c'est ce régime qui a créè cet individu et ses semblables.
revoyez le film des événements depuis 1988, vous allez comprendre beaucoup de choses.Dernière modification par salmane, 20 juin 2014, 01h43.
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Actualités : MADANI MEZRAG A "L'INTELLIGENT"
“Oui, j’ai tué de mes propres mains”
"L’ancien “émir” national de l’Armée islamique du salut (AIS) autodissoute en 1997, Madani Mezrag, n’est nullement rongé par le remords. Sans état d’âme aucun, il avoue avoir tué et ne pas regretter de l’avoir fait. “Oui, j’ai tué de mes propres mains”, confesse-t-il impunément à Farid Alilat, envoyé spécial de l’hebdomadaire l’Intelligent. Contre un tel aveu, la justice ne peut rien. La loi sur la concorde civile et la grâce amnistiante ont exonéré les terroristes islamistes de leurs crimes… innommables.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir)- Mezrag, qui mène une vie de notable, enrichi par le vol et le racket, raconte son crime abject sans gêne. “C’était en 1993, dans la région de Jijel, au cours d’une embuscade dressée contre un convoi militaire. Le jeune militaire agonisait encore lorsque j’ai arraché le kalachnikov de ses mains. J’ai gardé cette arme pendant plusieurs années, mais je l’ai détestée. Pourquoi ? Parce qu’elle m’a toujours rappelé les râles de ce militaire au moment où il rendait l’âme”, confie-t-il à l’envoyé spécial de l’Intelligent. L’ex-”émir” de l’AIS a, incontestablement, exécuté de ses propres mains d’autres personnes. Beaucoup d’autres. Horriblement, parfois. L’envoyé spécial de l’Intelligent, qui dit tenir la version du fait d’un haut responsable de l’armée, rapporte que Mezrag “a éborgné un soldat avec une fourche avant de le découper en morceaux”. On n’officie pas chef d’une organisation terroriste du style AIS pour avoir fait preuve de dextérité à gérer l’ “ordinaire”. Madani Mezrag, que la mémoire ne torture point, fait également l’aveu de l’exécution systématique des prisonniers. “Les prisonniers étaient systématiquement tués. Bien sûr, sur le plan humain cela me touchait, mais en tant que chef de guerre, je ne devais pas m’encombrer d’états d’âme. Il fallait tuer ou être tué”. Il avoue le crime mais ne craint pas d’être poursuivi en justice par les familles de ses victimes. “Ceux qui veulent me poursuivre en justice sont libres de le faire. Je n’ai peur de rien. Je n’ai peur de personne”. Blanchi de ses crimes par la loi sur la concorde civile et la grâce amnistiante, le chef terroriste qu’était Madani Mezrag ne s’estime pas repenti. Il abhorre qu’il soit ainsi considéré. “Je ne suis pas un repenti. J’ai mené une guerre juste et passé un accord, les armes à la main, avec l’état-major de l’armée.” Voilà qui est dit : le chef terroriste se glorifie d’avoir conclu un armistice. Il poursuit, au demeurant, de se comporter comme un chef terroriste. Il parle encore de “ses hommes”. “Aujourd’hui encore, même après la dissolution de l’AIS, je suis obligé de m’occuper de l’avenir de mes hommes. Je fais du service aprèsvente”, dit-il. Autrement dit, Madani Mezrag continue à entretenir ses troupes. Aucun interdit ne semble peser sur lui. Face à lui, la république est comme désarmée. Il n’a rendu compte à la justice ni de ses propres crimes, ni de ceux de son organisation, encore moins de la fortune amassée via les vols et le racket. “L’AIS n’a pas de trésor de guerre. Nous avons des biens, des voitures et de l’argent, mais nous n’avons pas de trésor (…), révèle-t-il sans crainte, ajoutant “l’argent se trouve quelque part. mais surtout pas dans les banques”. S’il enfourche, par ailleurs, aujourd’hui le cheval de la réconciliation nationale, ce n’est pas parce qu’il est sevré de ses rêves fous de république islamique. Il reste convaincu que le projet islamiste triomphera. “Nos idées vont finir par triompher en Algérie. Je suis convaincu à 100 % que le courant islamique va dominer la société”. Nul étonnement que la conviction de Mezrag quant à l’instauration d’un Etat théocratique reste intégrale. La voie officiellement privilégiée pour faire recouvrer la paix fait la part belle à l’islamisme et met à mal la république. C’est cette voie qui fait que des chefs terroristes avouent impunément leurs crimes. Mezrag aujourd’hui, d’autres “émirs”, du GSPC et du GIA, en feront de même demain. Après que la charte pour la paix et la réconciliation nationale aura accouché de ses textes d’application".
http://www.lesoird************/artic...id=32950&cid=2
militaires et civiles sont morts de ces propres mains, aujourd'hui il trône aux côtés de ce pouvoir.
ca ne m'étonne guère la terrorisme n'est pas sorti gagnant uniquement depuis peu en algérie mais depuis 14 siècles.
lorsque l'on voit comment okba est vénéré aujourd'hui...
bref l'algérie voulu par abane n'existe pas....voir jamais, alors nous sommes tant a espérer que cet immonde artifice explose, disparaisse et que nous reprenions nos terres selon nos us et coutumes, traditions et que les autres aillent en enfer....enfer qui est ce pays actuellement."Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre."
W.C
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