La vie a une fin
«Suis ce chemin, t’es dans le bon train
Voilà ton but, tu va y parvenir
Tout ce que tu fais n’est pas en vain
Tes efforts vont sans doute aboutir… »
C’est ce qu’on te dit en t’accablant les mains
Oh ! tu as toujours ton cerveau pour réfléchir
Mais est-ce qu’attaché tu peux guider ton destin ?
Entretenir l’arbre de ta vie pour le voir fleurir ?
Leur voile t’empêche de voir ton demain
Et tu es coincé, vivre ne t’inspire pas plus que mourir.
D’un monde où tu es incompris
tu ne souhaites que partir
Dans un Eden seras-tu accueilli ?
Tu n’y penses pas, tu veux juste en finir
Ne plus sentir la douleur de ton cœur meurtri
Oui, tu n’y penses pas convaincu que tu cesseras de souffrir
Penses-tu que sous terre tu vaudras mieux que parmi les tiens ?
Toi qui te plains de solitude et d’être accablé !
Ton âme est ton hote, et ce n’est guère ton bien
Et ne te quittera que lorsqu’elle sera ordonnée
Mettre fin à une existence ne te fait rien
Puisque au club « dé*****-toi » tu es abonné !
Mais si on admet que la fin justifie les moyens
Il n’est plus lieu de mépriser le crime passionné…
Z.L 03/2005
«Suis ce chemin, t’es dans le bon train
Voilà ton but, tu va y parvenir
Tout ce que tu fais n’est pas en vain
Tes efforts vont sans doute aboutir… »
C’est ce qu’on te dit en t’accablant les mains
Oh ! tu as toujours ton cerveau pour réfléchir
Mais est-ce qu’attaché tu peux guider ton destin ?
Entretenir l’arbre de ta vie pour le voir fleurir ?
Leur voile t’empêche de voir ton demain
Et tu es coincé, vivre ne t’inspire pas plus que mourir.
D’un monde où tu es incompris
tu ne souhaites que partir
Dans un Eden seras-tu accueilli ?
Tu n’y penses pas, tu veux juste en finir
Ne plus sentir la douleur de ton cœur meurtri
Oui, tu n’y penses pas convaincu que tu cesseras de souffrir
Penses-tu que sous terre tu vaudras mieux que parmi les tiens ?
Toi qui te plains de solitude et d’être accablé !
Ton âme est ton hote, et ce n’est guère ton bien
Et ne te quittera que lorsqu’elle sera ordonnée
Mettre fin à une existence ne te fait rien
Puisque au club « dé*****-toi » tu es abonné !
Mais si on admet que la fin justifie les moyens
Il n’est plus lieu de mépriser le crime passionné…
Z.L 03/2005