Ils étaient pros assimilationnistes et faisaient le jeu de l'Administration en contrariant la politique révolutionnaire et indépendantiste du PPA . Ils acceptaient dans la résignation la plus totale "El Isti3mar" comme étant une épreuve voulue par Dieu pour juger la capacité des fidèles à supporter la misère et l' injustice que leurs faisaient subir les mécréants. C'était un destin qu'il fallait accepter comme le préconisait une Fetwa "à-plat-ventriste" d'Al Azhar à cette époque qui stipulait qu'une présence centenaire du colonialisme en terre d'Islam, ne saurait être contestée par les Musulmans car cela enfreindrait la volonté d'Allah qui voudrait les éprouver dans ce malheur colonialiste. Ainsi soit-il!
Quand la révolution éclata en Novembre 54, le zaîm des Ouléma, Bachir Lebrahimi, établie confortablement en Egypte n'était pas chaud pour y prendre part. Mais Abane Ramdane, l'inflexible et le patriote intraitable exerça une terrible pression sur lui et ses adeptes qu' ils finirent contraints ( surtout après avoir subies quelques liquidations physiques en guise d'avertissement) par prendre, tardivement (1956), le train de la révolution en marche. Le grand Larbi Ben M'Hidi reprocha même a Abane le fait de solliciter ces gens inutiles et hypocrites selon ses dires.
Après l'indépendance, ils s'étaient faufilés dans les sphères les plus stratégiques de l'Etat en construction et avaient, à travers les secteurs de l'enseignement, de la culture et de l'information qu'ils détenaient, commis l'un des plus grands désastres que l'Algérie ait eu à connaitre depuis son existence millénaire. Usurpation de l'identité nationale, falsification de l'histoire récente et ancienne du pays, rabaissement de l'Algérie à l'état de simple appendice rattachée au Moyen Orient et lavage de cerveau de toute une génération pour lui faire croire que c'était grâce à Benbadis et ses acolytes que l'Algérie est devenue indépendante!
Il faut débaptiser toutes les structures qui portent indûment leurs noms (rues, avenues, universités, centre culturels, lycées, écoles, librairies, places etc) et ce ne sera que justice!
m.i
Quand la révolution éclata en Novembre 54, le zaîm des Ouléma, Bachir Lebrahimi, établie confortablement en Egypte n'était pas chaud pour y prendre part. Mais Abane Ramdane, l'inflexible et le patriote intraitable exerça une terrible pression sur lui et ses adeptes qu' ils finirent contraints ( surtout après avoir subies quelques liquidations physiques en guise d'avertissement) par prendre, tardivement (1956), le train de la révolution en marche. Le grand Larbi Ben M'Hidi reprocha même a Abane le fait de solliciter ces gens inutiles et hypocrites selon ses dires.
Après l'indépendance, ils s'étaient faufilés dans les sphères les plus stratégiques de l'Etat en construction et avaient, à travers les secteurs de l'enseignement, de la culture et de l'information qu'ils détenaient, commis l'un des plus grands désastres que l'Algérie ait eu à connaitre depuis son existence millénaire. Usurpation de l'identité nationale, falsification de l'histoire récente et ancienne du pays, rabaissement de l'Algérie à l'état de simple appendice rattachée au Moyen Orient et lavage de cerveau de toute une génération pour lui faire croire que c'était grâce à Benbadis et ses acolytes que l'Algérie est devenue indépendante!
Il faut débaptiser toutes les structures qui portent indûment leurs noms (rues, avenues, universités, centre culturels, lycées, écoles, librairies, places etc) et ce ne sera que justice!
m.i
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