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Les Arméniens ont été en pélérinage en Palestine depuis la période byzantine. Il y a des graffitis arméniens anciens sur le chemin Monastère Sainte Catherine au Sinai. Il y a une très belle mosaique datant du V-VI siècle que l'on peut voir non loin de la Porte de Damas. Il y a une longue histoire des Arméniens en Palestine : voici la liste des Patriarches arméniens de Jérusalèm
De nos jours, c'est assurément Edward SAÏD qui est relativement bien connu chez les Arméniens des USA depuis des années :
# Reviews of Edward Said's Works, Compiled by Eddie Yeghiayan
# They call all resistance "terrorism", David Barsamian interviews Edward Said International Socialist Review Issue 19, July-August 2001
# Book of the Week: ‘Edward Said: The Charisma of Criticism . by By Nanore Barsoumian,The Armenian Weekly
# Edward Said: The Charisma of Criticism, By H. Aram Veeser .
En France, on a commencé de parler du Professeur palestinien de l'Université de Columbia, dans la communauté arménienne quand Bernard Lewis fut condamné au Tribunal Civil de Paris pour son négationnisme. C'était en 1995. Ainsi on a appris que dans les pages du livre Orientalisme qui sont consacrées à Bernard Lewis (pp 343-346 & 384), Edward Said dénonce les manipulations de vocabulaire et les tournures de phrase de B. Lewis qui présente l'Orient d'une façon fort peu honnête.
Les Arméniens de France n'ont pas été étonnés de l'apprendre : sachant que Bernard Lewis avait déclaré que le génocide de 1915 était "la version arménienne de cette histoire" (Le Monde du mardi 16 novembre 1993).
En ce sens, l'internaute Gassem a raison de qualifier Bernard Lewis de 'khoroto' dans son message #41.
Cela n'avait pas échappé au célèbre professeur palestinien de New York. Ainsi, quand Bernard Lewis parle des Arabes déjà en 1978 et pour les années suivantes, Edward Saïd y note une "stratégie qui a l'air très raffinée", qui fait preuve "de condescendance et de mauvaise foi", "d'exposé méprisant"; "d'érudition sarcastique" et ceci "malgré l’air innocent de son savoir et de son langage bon ton". Bernard Lewis n'a pas de crédibilité en intégrité et érudition académiques.
InfoHay1915
De nos jours, c'est assurément Edward SAÏD qui est relativement bien connu chez les Arméniens des USA depuis des années :
# Reviews of Edward Said's Works, Compiled by Eddie Yeghiayan
# They call all resistance "terrorism", David Barsamian interviews Edward Said International Socialist Review Issue 19, July-August 2001
# Book of the Week: ‘Edward Said: The Charisma of Criticism . by By Nanore Barsoumian,The Armenian Weekly
# Edward Said: The Charisma of Criticism, By H. Aram Veeser .
En France, on a commencé de parler du Professeur palestinien de l'Université de Columbia, dans la communauté arménienne quand Bernard Lewis fut condamné au Tribunal Civil de Paris pour son négationnisme. C'était en 1995. Ainsi on a appris que dans les pages du livre Orientalisme qui sont consacrées à Bernard Lewis (pp 343-346 & 384), Edward Said dénonce les manipulations de vocabulaire et les tournures de phrase de B. Lewis qui présente l'Orient d'une façon fort peu honnête.
Les Arméniens de France n'ont pas été étonnés de l'apprendre : sachant que Bernard Lewis avait déclaré que le génocide de 1915 était "la version arménienne de cette histoire" (Le Monde du mardi 16 novembre 1993).
En ce sens, l'internaute Gassem a raison de qualifier Bernard Lewis de 'khoroto' dans son message #41.
Cela n'avait pas échappé au célèbre professeur palestinien de New York. Ainsi, quand Bernard Lewis parle des Arabes déjà en 1978 et pour les années suivantes, Edward Saïd y note une "stratégie qui a l'air très raffinée", qui fait preuve "de condescendance et de mauvaise foi", "d'exposé méprisant"; "d'érudition sarcastique" et ceci "malgré l’air innocent de son savoir et de son langage bon ton". Bernard Lewis n'a pas de crédibilité en intégrité et érudition académiques.
InfoHay1915
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