Repères historiques :
- Evènements de 1985 :
Le premier grand clash a eu lieu durant le ramadhan de 1985 entre les mozabites de Ghardaïa et les M’dabih. C’était sous l’ère Chadli, caractérisé par le glissement, après les années de l’omniprésence du pouvoir fort et intransigeant de Boumèdienne, vers la déliquescence de l’Etat. L’année 1985 représentait aussi l’année d’annonce de la grande crise économique en Algérie durant laquelle le niveau de la cagnotte des devises a déjà atteint la côte d’alerte rouge, et les importations du pays s’effectuaient avec le recours aux crédits fournisseurs à des taux d’intérêts exorbitants, enfonçant donc davantage son endettement, outre les taux élevés des assurances à l’exportation des pays fournisseurs pour couvrir leurs risques, grevant les prix d’acquisition.
En outre, le recours durant la première moitié des années 80 du siècle dernier aux importations de masse des produits et équipements électroménagers et des produits de consommation (PAP Programme Anti Pénurie) après des années d’interdiction et de frustrations ont suscité de forts engouements au niveau populaire engendrant d’énormes dépenses qui ont érodé ses revenus.
Aussi, dans le cadre des dispositions portant mise en valeur des terres, et l’encouragement de l’Etat à l’agriculture saharienne, des parcelles ont été attribuées à des Mozabites, ainsi d’ailleurs qu’à des M’dabih de la commune de Daya, dans le périmètre appelé Laâdira. Ce périmètre est mitoyen de Daya, mais il est en même temps situé dans le prolongement naturel de la palmeraie de Ghardaïa. Cette décision n’a pas été admise par les mandataires et le lobby sectaire des M’dabih. En réalité, ils refusent la venue de Mozabites ‘’accaparer leurs terres’’ car situées dans ce qu’ils considèrent comme leur espace vital. Ils craignent de subir la concurrence des Mozabites en matière agricole, et par conséquent le rétrécissement attendu du quasi monopole des M’dabihs sur le marché des légumes produits localement, source principale de leurs revenus, outre l’élevage pastoral.
Encore une fois, au M’zab, le foncier devient un enjeu capital animé par les enjeux économiques et socio-culturels dont il devient le réceptacle. Faute de régulation et d’anticipation de ces enjeux, en l’absence de l’Etat fort et entreprenant, ces enjeux poussent aux violences communautaires, au lieu et place des luttes et revendications socio-économiques et politiques en direction du pouvoir censé gérer la société dans ses différentes composantes et assurer la prise en charge de ses préoccupations.
Le pouvoir représentant l’Etat est en première et dernière instance le premier responsable de ces violences. Ainsi, outre la crise économique qui pointe, ces enjeux ont été exploités pour faire violemment réagir le peuple abusé des M’dabihs, pour lesquels le mozabite est désigné comme point de fixation, celui qui va être la source de leur appauvrissement.
Dans ce cadre, des attaques et saccages ont eu lieu. L’horreur s’est pointée avec fracas avec son lot de destructions, d’incendie des exploitations, des animaux éventrés et tués et, par extension, des magasins et biens des mozabites incendiés en plein ville transformée en champ de bataille. Les M’dabihs avaient en quelque sorte déjà étalé, en ce temps là, un vif et bref aperçu des capacités de violence et de nuisance enfouies auxquelles ils peuvent, sous la direction et l’impulsion de leurs suppôts manipulateurs, sans retenue, sans égard aucun, sans discernement y recourir. C’était un scénario à une échelle réduite de ce qui se reproduira en grandeur nature vingt huit ans après (soit à partir de fin 2013) dans toute la vallée du M’zab.
Cette violence stupéfia les mozabites, attendu que sous l’Etat national la violence communautaire ne pourrait exister et s’exprimer avec autant de force pour la solution de problèmes qui relèvent de son autorité. Croyance naïve en l’Etat de Droit ?
L’un des premiers pionniers de ces exploitations, Kacem CHEKEBKEB tomba en chahid. Il fut atrocement torturé et mutilé. Ce fut en 1985.
Aussi, le premier martyr mozabite des évènements actuels (2013-2014-2015) est tombé sous leurs mains assassines à Touzouz lors de leur attaque en règle de ce quartier ; quartier, encore une fois, qui pose problème pour eux car directement mitoyen de leur localité Daya. Aussi, le périmètre bien précis de Laâdira (cité auparavant lors des évènements de 1985) subira encore une fois la même furie incendiaire et destructrice avec cette fois-ci le ‘’soutien’’ complice et affiché de certains groupes des forces de gendarmerie.
La culture du Droit, du bannissement de la violence et le socle de la garantie de leur application sur le terrain des réalités à travers l’exercice de l’autorité de l’Etat dans toute son impartialité n’ont pas évolué d’un iota durant toute cette période, en dépit des dramatiques événements (Octobre 88 et décennie rouge) qui ont ébranlé l’Algérie toute entière, dont le M’zab.
Encore une fois, c’est l’absence de gouvernance de ce grand pays, l’absence d’anticipation et de gestion prospective et la limitation du rôle du pouvoir à seulement assurer sa régénération, qui assurent la reproduction de plus en plus dramatique des scénarios décrits ci-dessus. La violence communautaire devient le réceptacle qui éponge la lutte sociale et revendicative; l’inverseur de cible. Le pouvoir ‘’joue sur du velours.’’
Mais cette politique de démission et de gestion archaïque si payante pour le pouvoir au niveau du M’zab a coûté par ailleurs très cher à l’Algérie qui a été surprise par l’ampleur des événements d’Octobre 1988.
- Le M’zab après 1988 :
A partir de cette date symbole, et dans toute l’Algérie, les ressentiments, les étouffements et les brimades choquantes, profondément vécues par les masses populaires vont faire éclater la chape de plomb. Les dénonciations du régime et les violences verbales qui en découlent se transforment en programme politique superbement agencé et édulcoré par la phraséologie religieuse d’un parti qui voulait à tout prix le pouvoir, le pouvoir seul. En face de lui, le régime même affaibli tenait bien et sans partage le pouvoir, tout le pouvoir. L’Algérie entière est prise dans la tourmente de ce dilemme insoluble et imposé. Pour choisir l’un des deux, le pays était contraint d’aller à des élections qui avaient davantage aggravé la crise. Les évènements qui ont suivi sont des plus dramatiques pour le peuple et le pays entier.
Le M’zab pensait pouvoir y échapper en se frayant sa propre voie, croyant que l’ère démocratique a bien commencé. En présentant ses propres listes, tout en osant soutenir d’autres listes partisanes (PRA par exemple) aux élections locales, la communauté mozabite a subi, dans une alliance sacrée, surprenante et ‘’presque contre nature’’, les foudres des anciens suppôts du pouvoir de la communauté arabe autochtone qui continuent néanmoins à résister aux assauts du nouveau parti, mais aussi de ses nouveaux maîtres, conquérants et décidés, qui empruntent aux premiers cités, leurs méthodes punitives et leur dirigisme outrancier.
C’est la ville de Berriane, une des sept cités du M’zab, qui a concentré et laissé exploser les fortes tensions qui s’exprimaient. Mené par le nouveau parti en lice en 1990, et l’appui des suppôts vaincus mais revanchards, et sous le couvert de marches de protestation et de dénonciation des résultats des élections à partir d’une mosquée, sous les cris ‘’d’Allah Akbar’’, des expéditions punitives et des agressions ont été menées à l’encontre des mozabites, leur reprochant ainsi leurs choix démocratiques. De sanglants heurts intercommunautaires ont dramatiquement coûté la vie à deux mozabites.
Cela met en relief :
- la grande sensibilité du M’zab aux événements se déroulant au niveau central, mais aussi
- la triste profondeur de la assabia et la haine anti mozabite des élites de la communauté arabe autochtone qui transcendent leurs propres clivages politiques pourtant si importants, du moins en apparence,
- la nature anti démocratique des tenants de ces deux partis et précisément des suppôts du pouvoir et des nouveaux maîtres qui veulent suppléer ces derniers. Tous les deux refusent le choix libre de la majorité. Le choix devrait demeurer entre eux.
- la responsabilité du pouvoir et de ses représentants locaux qui n’ont pas été à la hauteur de la gestion de ces graves évènements. Ils n’ont pas fait preuve d’anticipation, et n’en ont pas tiré les conclusions qui s’imposaient. Bien au contraire, tout porte à croire qu’ils veulent que ces évènements les confortent dans leurs thèses : sans eux point de salut. C’est pourquoi les manœuvres de coulisses et les manipulations ne sont peut être pas étrangères à ces évènements. Quelques années plus tard, des affrontements encore plus sanglants et étalés sur plusieurs années vont avoir lieu.
Nous ne pouvons aborder ici dans le détail, le volet hautement dramatique et cyniquement violent des affrontements meurtriers, à partir de 2008, de la grande cité de Berriane qui a de nouveau subi, seule, dans l’isolement et le relatif désintéressement local et national, des années entières de terreur et d’horreur durant lesquelles les gens d’ici et d’ailleurs ne se contentaient que de complaintes fatalistes et de soupirs angoissés. En tous cas l’expérience de Berriane est un chapitre qui est de nature tout a fait identique aux événements de Ghardaïa et de la vallée du M’zab de tout point de vue, avec à l’évidence des acteurs, des points de départs et des trames différents, des problématiques qui se ressemblent et un fondement qui nous paraît être toujours le même : la mise au pas par le Pouvoir de la communauté mozabite, et lui faire payer le prix de ses ‘’égarements démocratiques’’ en instrumentalisant ses suppôts de l’autre communauté, pour mettre en branle la machine des divisions, puis des violences communautaires, tout en demeurant soft.
- Evènements de 1985 :
Le premier grand clash a eu lieu durant le ramadhan de 1985 entre les mozabites de Ghardaïa et les M’dabih. C’était sous l’ère Chadli, caractérisé par le glissement, après les années de l’omniprésence du pouvoir fort et intransigeant de Boumèdienne, vers la déliquescence de l’Etat. L’année 1985 représentait aussi l’année d’annonce de la grande crise économique en Algérie durant laquelle le niveau de la cagnotte des devises a déjà atteint la côte d’alerte rouge, et les importations du pays s’effectuaient avec le recours aux crédits fournisseurs à des taux d’intérêts exorbitants, enfonçant donc davantage son endettement, outre les taux élevés des assurances à l’exportation des pays fournisseurs pour couvrir leurs risques, grevant les prix d’acquisition.
En outre, le recours durant la première moitié des années 80 du siècle dernier aux importations de masse des produits et équipements électroménagers et des produits de consommation (PAP Programme Anti Pénurie) après des années d’interdiction et de frustrations ont suscité de forts engouements au niveau populaire engendrant d’énormes dépenses qui ont érodé ses revenus.
Aussi, dans le cadre des dispositions portant mise en valeur des terres, et l’encouragement de l’Etat à l’agriculture saharienne, des parcelles ont été attribuées à des Mozabites, ainsi d’ailleurs qu’à des M’dabih de la commune de Daya, dans le périmètre appelé Laâdira. Ce périmètre est mitoyen de Daya, mais il est en même temps situé dans le prolongement naturel de la palmeraie de Ghardaïa. Cette décision n’a pas été admise par les mandataires et le lobby sectaire des M’dabih. En réalité, ils refusent la venue de Mozabites ‘’accaparer leurs terres’’ car situées dans ce qu’ils considèrent comme leur espace vital. Ils craignent de subir la concurrence des Mozabites en matière agricole, et par conséquent le rétrécissement attendu du quasi monopole des M’dabihs sur le marché des légumes produits localement, source principale de leurs revenus, outre l’élevage pastoral.
Encore une fois, au M’zab, le foncier devient un enjeu capital animé par les enjeux économiques et socio-culturels dont il devient le réceptacle. Faute de régulation et d’anticipation de ces enjeux, en l’absence de l’Etat fort et entreprenant, ces enjeux poussent aux violences communautaires, au lieu et place des luttes et revendications socio-économiques et politiques en direction du pouvoir censé gérer la société dans ses différentes composantes et assurer la prise en charge de ses préoccupations.
Le pouvoir représentant l’Etat est en première et dernière instance le premier responsable de ces violences. Ainsi, outre la crise économique qui pointe, ces enjeux ont été exploités pour faire violemment réagir le peuple abusé des M’dabihs, pour lesquels le mozabite est désigné comme point de fixation, celui qui va être la source de leur appauvrissement.
Dans ce cadre, des attaques et saccages ont eu lieu. L’horreur s’est pointée avec fracas avec son lot de destructions, d’incendie des exploitations, des animaux éventrés et tués et, par extension, des magasins et biens des mozabites incendiés en plein ville transformée en champ de bataille. Les M’dabihs avaient en quelque sorte déjà étalé, en ce temps là, un vif et bref aperçu des capacités de violence et de nuisance enfouies auxquelles ils peuvent, sous la direction et l’impulsion de leurs suppôts manipulateurs, sans retenue, sans égard aucun, sans discernement y recourir. C’était un scénario à une échelle réduite de ce qui se reproduira en grandeur nature vingt huit ans après (soit à partir de fin 2013) dans toute la vallée du M’zab.
Cette violence stupéfia les mozabites, attendu que sous l’Etat national la violence communautaire ne pourrait exister et s’exprimer avec autant de force pour la solution de problèmes qui relèvent de son autorité. Croyance naïve en l’Etat de Droit ?
L’un des premiers pionniers de ces exploitations, Kacem CHEKEBKEB tomba en chahid. Il fut atrocement torturé et mutilé. Ce fut en 1985.
Aussi, le premier martyr mozabite des évènements actuels (2013-2014-2015) est tombé sous leurs mains assassines à Touzouz lors de leur attaque en règle de ce quartier ; quartier, encore une fois, qui pose problème pour eux car directement mitoyen de leur localité Daya. Aussi, le périmètre bien précis de Laâdira (cité auparavant lors des évènements de 1985) subira encore une fois la même furie incendiaire et destructrice avec cette fois-ci le ‘’soutien’’ complice et affiché de certains groupes des forces de gendarmerie.
La culture du Droit, du bannissement de la violence et le socle de la garantie de leur application sur le terrain des réalités à travers l’exercice de l’autorité de l’Etat dans toute son impartialité n’ont pas évolué d’un iota durant toute cette période, en dépit des dramatiques événements (Octobre 88 et décennie rouge) qui ont ébranlé l’Algérie toute entière, dont le M’zab.
Encore une fois, c’est l’absence de gouvernance de ce grand pays, l’absence d’anticipation et de gestion prospective et la limitation du rôle du pouvoir à seulement assurer sa régénération, qui assurent la reproduction de plus en plus dramatique des scénarios décrits ci-dessus. La violence communautaire devient le réceptacle qui éponge la lutte sociale et revendicative; l’inverseur de cible. Le pouvoir ‘’joue sur du velours.’’
Mais cette politique de démission et de gestion archaïque si payante pour le pouvoir au niveau du M’zab a coûté par ailleurs très cher à l’Algérie qui a été surprise par l’ampleur des événements d’Octobre 1988.
- Le M’zab après 1988 :
A partir de cette date symbole, et dans toute l’Algérie, les ressentiments, les étouffements et les brimades choquantes, profondément vécues par les masses populaires vont faire éclater la chape de plomb. Les dénonciations du régime et les violences verbales qui en découlent se transforment en programme politique superbement agencé et édulcoré par la phraséologie religieuse d’un parti qui voulait à tout prix le pouvoir, le pouvoir seul. En face de lui, le régime même affaibli tenait bien et sans partage le pouvoir, tout le pouvoir. L’Algérie entière est prise dans la tourmente de ce dilemme insoluble et imposé. Pour choisir l’un des deux, le pays était contraint d’aller à des élections qui avaient davantage aggravé la crise. Les évènements qui ont suivi sont des plus dramatiques pour le peuple et le pays entier.
Le M’zab pensait pouvoir y échapper en se frayant sa propre voie, croyant que l’ère démocratique a bien commencé. En présentant ses propres listes, tout en osant soutenir d’autres listes partisanes (PRA par exemple) aux élections locales, la communauté mozabite a subi, dans une alliance sacrée, surprenante et ‘’presque contre nature’’, les foudres des anciens suppôts du pouvoir de la communauté arabe autochtone qui continuent néanmoins à résister aux assauts du nouveau parti, mais aussi de ses nouveaux maîtres, conquérants et décidés, qui empruntent aux premiers cités, leurs méthodes punitives et leur dirigisme outrancier.
C’est la ville de Berriane, une des sept cités du M’zab, qui a concentré et laissé exploser les fortes tensions qui s’exprimaient. Mené par le nouveau parti en lice en 1990, et l’appui des suppôts vaincus mais revanchards, et sous le couvert de marches de protestation et de dénonciation des résultats des élections à partir d’une mosquée, sous les cris ‘’d’Allah Akbar’’, des expéditions punitives et des agressions ont été menées à l’encontre des mozabites, leur reprochant ainsi leurs choix démocratiques. De sanglants heurts intercommunautaires ont dramatiquement coûté la vie à deux mozabites.
Cela met en relief :
- la grande sensibilité du M’zab aux événements se déroulant au niveau central, mais aussi
- la triste profondeur de la assabia et la haine anti mozabite des élites de la communauté arabe autochtone qui transcendent leurs propres clivages politiques pourtant si importants, du moins en apparence,
- la nature anti démocratique des tenants de ces deux partis et précisément des suppôts du pouvoir et des nouveaux maîtres qui veulent suppléer ces derniers. Tous les deux refusent le choix libre de la majorité. Le choix devrait demeurer entre eux.
- la responsabilité du pouvoir et de ses représentants locaux qui n’ont pas été à la hauteur de la gestion de ces graves évènements. Ils n’ont pas fait preuve d’anticipation, et n’en ont pas tiré les conclusions qui s’imposaient. Bien au contraire, tout porte à croire qu’ils veulent que ces évènements les confortent dans leurs thèses : sans eux point de salut. C’est pourquoi les manœuvres de coulisses et les manipulations ne sont peut être pas étrangères à ces évènements. Quelques années plus tard, des affrontements encore plus sanglants et étalés sur plusieurs années vont avoir lieu.
Nous ne pouvons aborder ici dans le détail, le volet hautement dramatique et cyniquement violent des affrontements meurtriers, à partir de 2008, de la grande cité de Berriane qui a de nouveau subi, seule, dans l’isolement et le relatif désintéressement local et national, des années entières de terreur et d’horreur durant lesquelles les gens d’ici et d’ailleurs ne se contentaient que de complaintes fatalistes et de soupirs angoissés. En tous cas l’expérience de Berriane est un chapitre qui est de nature tout a fait identique aux événements de Ghardaïa et de la vallée du M’zab de tout point de vue, avec à l’évidence des acteurs, des points de départs et des trames différents, des problématiques qui se ressemblent et un fondement qui nous paraît être toujours le même : la mise au pas par le Pouvoir de la communauté mozabite, et lui faire payer le prix de ses ‘’égarements démocratiques’’ en instrumentalisant ses suppôts de l’autre communauté, pour mettre en branle la machine des divisions, puis des violences communautaires, tout en demeurant soft.
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