ô père
je le vois vous engloutir, le temps
tel un arbre piégé dans du sable mouvant
les jours s’enchainent, font tourner les pages
du livre qu'est votre vie ... votre visage
marqué par le temps soufflé par le vent
vos yeux, cachés, nichés, fatigués ... en larmes souvent
cependant, ils brillent par les comtes d’antan
quand la jeunesse pouvait mais ne savait, et à présent
votre présence, même si un présent
dissipe le brouillard, mais ailleurs on vous sent
quelque part, au milieux de ce musée des jours d'avant
de cette époque que vous aimez décrire tant
ce n'est que le désespoir qui dépose ces mots
le jour de votre départ je redoute
je voudrai vous le dire, mais d'étranges maux
bloquent ma langue, de cette scène me rebutent
je le vois vous engloutir, le temps
tel un arbre piégé dans du sable mouvant
les jours s’enchainent, font tourner les pages
du livre qu'est votre vie ... votre visage
marqué par le temps soufflé par le vent
vos yeux, cachés, nichés, fatigués ... en larmes souvent
cependant, ils brillent par les comtes d’antan
quand la jeunesse pouvait mais ne savait, et à présent
votre présence, même si un présent
dissipe le brouillard, mais ailleurs on vous sent
quelque part, au milieux de ce musée des jours d'avant
de cette époque que vous aimez décrire tant
ce n'est que le désespoir qui dépose ces mots
le jour de votre départ je redoute
je voudrai vous le dire, mais d'étranges maux
bloquent ma langue, de cette scène me rebutent
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