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Equipe Nationale : Gourcuff, un aller sans retour ?

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  • Equipe Nationale : Gourcuff, un aller sans retour ?

    Qui cherche à pousser Christian Gourcuff vers la sortie ? Qui a intérêt à déstabiliser le coach et, par ricochet, la sélection ? Il ne faut pas se tromper.


    Ce qui s’est passé vendredi et mardi derniers à l’occasion des matchs amicaux face à la Guinée (1-2) et au Sénégal (1-0) est loin d’être un fait anodin ou la conséquence d’un mouvement d’humeur de supporters déçus par la prestation des Verts. C’est plus profond qu’un simple mécontentement populaire ou une colère passagère.

    En conférence de presse après le match contre le Sénégal, Gourcuff a affirmé : «Il y a manipulation contre moi. Je commence à découvrir des choses que je ne voyais pas avant.» Ses propos confortent la thèse d’une machination pour l’éjecter du siège qu’il occupe depuis juillet 2014.

    D’après une gorge profonde qui fait partie intégrante de l’entourage de la sélection, «depuis le voyage au Qatar, il y a une volonté évidente de mettre un terme à la présence de Gourcuff à la tête de la sélection.

    Des relais se chargent de préparer le terrain à son débarquement en dissertant sur ses choix et options tactiques qui ont fini par atteindre leur objectif et le faire passer pour un mauvais entraîneur». L’erreur de l’entraîneur français est d’avoir fait confiance à tous ceux qui collaborent avec lui.

    Les histoires de vestiaires, les relations quelquefois tendues avec certains joueurs, des images prises en séances d’entraînement, des propos tenus en cercle fermé répercutés instantanément sur des supports médiatiques sont l’œuvre d’individus qui vivent dans le groupe, la famille de l’équipe nationale. Ces agissements n’étaient pas innocents. Mieux, ils ont été suscités, encouragés.

    Christian Gourcuff, au summum de la colère, a perdu une grosse part de la lucidité que tout le monde lui reconnaît. Il a prononcé des phrases très dures qui ont dépassé sa pensée. Gorge profonde souligne que «Gourcuff se sent trahi. C’est ce qui lui a fait mal. Il n’a pas vu le coup arriver parce qu’il faisait confiance aux individus qui gravitent dans l’entourage de la sélection». Depuis des années, c’est le mal de l’équipe nationale.

    Rabah Saâdane et Vahid Halilhodzic, avant Christian Gourcuff, ont vécu l’enfer avec ces individus en service commandé. Difficile d’imaginer que Christian Gourcuff survivra à ce qui s’est passé mardi soir. Son sort semble bel et bien scellé, comme le confirme une gorge profonde, qui révèle : «Lors de la réunion du bureau fédéral tenue le lendemain du match Algérie-Sénégal, c’est-à-dire mercredi, le problème Gourcuff a été rapidement évacué à cause de la présence de présidents soupçonnés d’être à la base de fuites d’informations sur ce sujet.

    Tout le monde a pris note des propos du coach, qui a annoncé son prochain départ. La voix autorisée de la Fédération, le président Mohamed Raouraoua, a lancé ‘trik sad tadi matrad’...» Fin de la lune de miel. Les journalistes et leurs commentaires seront une fois de plus utilisés comme alibis pour justifier le coup de poignard porté dans le dos du coach.

    Le procédé a été utilisé avec Saâdane et Halilhodzic. Les confrères sont dans leur rôle d’analyser les matchs de l’équipe nationale, le rendement des joueurs. Ils peuvent se tromper sur leurs analyses comme les entraîneurs peuvent se tromper sur leurs choix et stratégies. Aucune des deux parties n’a le droit de faire monter l’autre sur l’échafaud. Ce rôle est l’apanage exclusif de ceux qui portent des coups par traîtrise.



    el watan
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    Je dirais que c'est la vox populi (supporters) qui pousse gourcuff à s'en aller et c'est légitime je trouve.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      Ce genre d'intrigues n'est pas nouveau dans l'environnement de l'équipe nationale. Cela existe depuis les années 80, si ce n'est avant. Un coach qui accepte de driver l'EN sans s'être renseigné à propos de tout cet historique n'a franchement rien à voir avec la sélection algérienne. Si, de plus, il perd ses moyens à la première critique virile, c'est qu'il confirme son inadéquation au milieu algérien.

      Bon vent, Mister Gourcuff !
      كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

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      • #4
        d'après une gorge profonde ?? mdrrr il n'y a qu'en algérie que les journalistes sportifs utilisent ce terme la mdrrr expression qui remonte a nixon et les écoutes téléphoniques si je me souviens bien.(wattergate)

        traduire : de source imaginaire.....
        Dernière modification par samarkand777, 18 octobre 2015, 02h55.

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        • #5
          Avec Gourcuff faut envoyé une machine à travers le temps avec la voiture de Docteur Emmet Brown de retour vers le futur, c'est le seul moyen de savoir si il s'en ira avec un aller sans retour...

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