….Émoi & effroi
Tout est fini là, être dans le noir
Je n’y vois point Je n’y crois pas
Le chant de la douleur souffle encore plus fort
Mon cœur me fait mal
Il murmure
Cette épreuve, il ne la supporte
Tout est fini là
Je n’ai plus la force de croire
Une peur irrationnelle me prends aux tripes
Partir avec quelque chose d’inachevée
De remplir mon cœur de son silence
Que son souvenir s’efface
Que même le son de sa voix disparaît
Chaque être porte en lui ses douleurs et ses blessures entrelacés
Ses tourments, ses déboires de vie brisée
Qu’ il traîne tout le long de sa vie
Je suis assisse sur les décombres de mon moi
Que la vie est cruelle
Aucune main tendu
La mienne à jamais vide restera
Le cœur pétrit par un lourd chagrin
La maladie a volé la vie à ma mère
Elle a écourté son chemin
Jamais je ne l'oublierais
Je l’ai enterrée dans mon cœur et à jamais elle demeure
Tout n’est que de toi rien de moi
Je ne suis plus là
J’irais te chercher au fond de moi
Partie ailleurs, je survole les souvenirs
Tels les vandales, les soucis de partout me traquent
Je me sens seule, affreusement seule
Pourtant t’était là hier
Et t’es là présente encore, si présente
J’ai cru, Que quelque part
Y a toujours quelque chose qui fait croire
A un jour meilleur A un rêve, un espoir
De vivre un jour une autre destinée
Douce et adorable ! Et je suis là ; Tranquille
Patiente, vigile, telle la nuit étoilée
Je subis l’attente, la tête courbée de tant de silence
Je t’ai tout racontée, rien cacher
J’ai voulu être ta complice Vers toi, mon être s’est envolée
Hélas, tu n’es plus là
Et moi qu’une âme triste
Avec un émoi en effroi
=======> coronaria novembre 2015
Tout est fini là, être dans le noir
Je n’y vois point Je n’y crois pas
Le chant de la douleur souffle encore plus fort
Mon cœur me fait mal
Il murmure
Cette épreuve, il ne la supporte
Tout est fini là
Je n’ai plus la force de croire
Une peur irrationnelle me prends aux tripes
Partir avec quelque chose d’inachevée
De remplir mon cœur de son silence
Que son souvenir s’efface
Que même le son de sa voix disparaît
Chaque être porte en lui ses douleurs et ses blessures entrelacés
Ses tourments, ses déboires de vie brisée
Qu’ il traîne tout le long de sa vie
Je suis assisse sur les décombres de mon moi
Que la vie est cruelle
Aucune main tendu
La mienne à jamais vide restera
Le cœur pétrit par un lourd chagrin
La maladie a volé la vie à ma mère
Elle a écourté son chemin
Jamais je ne l'oublierais
Je l’ai enterrée dans mon cœur et à jamais elle demeure
Tout n’est que de toi rien de moi
Je ne suis plus là
J’irais te chercher au fond de moi
Partie ailleurs, je survole les souvenirs
Tels les vandales, les soucis de partout me traquent
Je me sens seule, affreusement seule
Pourtant t’était là hier
Et t’es là présente encore, si présente
J’ai cru, Que quelque part
Y a toujours quelque chose qui fait croire
A un jour meilleur A un rêve, un espoir
De vivre un jour une autre destinée
Douce et adorable ! Et je suis là ; Tranquille
Patiente, vigile, telle la nuit étoilée
Je subis l’attente, la tête courbée de tant de silence
Je t’ai tout racontée, rien cacher
J’ai voulu être ta complice Vers toi, mon être s’est envolée
Hélas, tu n’es plus là
Et moi qu’une âme triste
Avec un émoi en effroi
=======> coronaria novembre 2015
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