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FLN, SDEC, Mossad ou CIA ? Qui a balancé Mandela ?

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    FLN, SDEC, Mossad ou CIA ? Qui a balancé Mandela ?

    Ahmed Kathrada, frère d’armes de Nelson Mandela, a rendu un hommage appuyé à Madiba avec lequel il a partagé la cellule 27 ans durant. L’oraison funèbre fut si émouvante dans la bouche de ce vieux briscard de l’ANC… Qui n’a pas hésité à soulever une question de poids : Qui a vendu Mandela à la sécurité de Pretoria? Nos amis Algériens ne sont pas si innocents que ça…
    L’Histoire de l’Afrique du Sud retiendra le rôle éminemment important joué par le Parti Communiste Sud-Africain (crée en 1921 et interdit en 1950) dans le rayonnement du combat du Congrès National Africain (ANC). C’est à l’Université de Johannesburg, à la faculté de droit, que la naissance de l’ANC a eu lieu, en 1944, en s’inspirant de la philosophie du Mahatma Gandhi qui a séjourné dans ce pays avant l’indépendance de l’Inde. Elite noire, composée de fils de chefs de Tribus et de Rois, et élite blanche, représentant la bourgeoisie Sud-Africaine, allaient se liguer à la classe commerçante musulmane, originaire du Pakistan, pour mieux véhiculer le message revendicatif et émancipateur de l’ANC, “un homme, une voix”. Le caractère multiracial, reconnu par l’Etat Sud-Africain, devait s’accommoder du militantisme de l’ANC avant que son discours et ses actions ne se radicalisent, notamment via la désobéissance civile, des grèves sauvages dans les mines d’or et des soulèvements dans les fermes des boers. Un radicalisme qui s’explique par la montée en puissance des revendications anticoloniales en Afrique, surtout dans des pays limitrophes (Angola, Namibie et Mozambique) et l’exacerbation de la bipolarité du monde, l’Université de Patrice Lumumba de Moscou devant servir d’aiguillon dans la lutte menée par les leaders Africains pour s’émanciper du joug colonial, de l’apartheid et partant en découdre avec l’impérialisme. Le discours de l’ANC qui s’est radicalisé a fini par toucher aussi bien la classe moyenne que la classe laborieuse à la tête de laquelle les mineurs des Townships allaient jouer un rôle de premier plan. En 1960, la contestation allait culminer avec le massacre de Sharpeville où la répression des foules en colère allait conduire à un bain de sang : 62 morts et près de 200 blessés. Et, partant, pousser l’ANC à opter pour la lutte armée tout en portant à sa tête le jeune avocat Tata Madiba. Nelson Mandela qui n’avait aucune expérience militaire devait s’ingénier à assumer un rôle de premier plan dans le combat contre le régime de l’apartheid. Le MK, la “Lance de la nation” a été initiée par le patron du parti communiste Sud-Africain, Joe Slovo, et sa femme Kurth First, propulsant ainsi Tata Madiba, alors membre du CC, commandant en chef de l’aile militaire de l’ANC. C’est pourquoi le Comintern, ce réseau de l’international communiste, allait prendre en charge N. Mandela pour le faire bénéficier de la formation idoine (en matière militaire et de renseignement).

    C’est le parti communiste Français (PCF), comptant beaucoup de maghrébins à sa tête, qui allait le chaperonner. Essadeq Hejres qui allait diriger le Parti Communiste Algérien (PCA) après l’indépendance, et Abderrazak Abdelkader, petit neveu de l’Emir Abdelkader, résistant et membre du FLN, ont motivé le colonel Abdelhafid Boussouf, alias Si Mabrouk chef du Comité d’organisation militaire (renseignements du FLN) basé à Oujda, pour leur offrir un document de voyage au profit de N. Mandela. Un sauf conduit faisant partie d’un lot de passeports diplomatiques marocains délivrés au FLN, sous l’ordre de Hassan II, chef d’état-major à l’époque, par Abdelkrim Al-Khatib, alors ministre des Affaires Africaines. Livré à Mandela à Dakar, par un officier du MALG, répondant au nom de Noureddine Djoudi, alias Djamel. Amilkar Cabral, leader du mouvement de libération de la Guinée Bissau et du Cap Vert a bénéficié du même traitement.

    Et c’est le chef du gouvernement sénégalais qui, à l’insu de Leopold Sedar Senghor, qui les intégra à une délégation sénégalaise en partance pour Paris. Le séjour de Madiba en France allait être bref puisqu’il se dirigea vers Londres où il avait rendez-vous avec des marchands d’armes et un représentant du KGB. Avant de reprendre le chemin du retour qui le mènera jusqu’à Melillia avant d’atterrir à Zghanghan, localité proche de Nador, servant de base de l’ALN. C’est Mohamed Lamari, un des officiers de “la promotion Lacoste”, qui allait prendre en charge l’hôte Sud-Africain et son co-équipier Amilkar Cabral. Pour les présenter au Colonel Boussouf à Sebaa Houanet, localité près de Berkane.

    Le représentant du mouvement national de libération de l’Angola (MNLA) à Rabat, qui deviendra ambassadeur par la suite dans le Royaume, a authentifié la personne de Mandela pour la partie marocaine. A l’époque, le Maroc était le chef de file des régimes progressistes réunis au sein du Groupe de Casablanca, avant la naissance de l’OUA, en 1963. C’est sous le nom de Mbarek Tata que Mandela allait, sur le chemin du retour en Afrique du Sud, avec armes et bagages, faire une grande tournée dans plusieurs capitales Africaines indépendantes.

    N. Mandela, âgé de 42 ans, allait séjourner dans le camp FLN, au village Coulouch, dans la périphérie d’Oujda, où la population était majoritairement Algérienne. A l’époque, Mustapha Benchahla, garde-forestier dans la région de Berkane, facilitait les mouvements des maquisards Algériens. Et c’était à Noureddine Djoudi, alias Djamel, qu’incombait la tâche de l’encadrement politico-idéologique. C’est dans la ferme de Abdelaziz Bouabdellah, à Berkane, que Tata Madiba allait découvrir le secret du maniement des armes à feu et des explosifs. A Oujda, c’est dans la maison de Benyakhlef, dont un des fils allait figurer dans le gouvernement Osman en tant que ministre de la Fonction publique, que l’envoyé de l’ANC était appelé à s’imprégner des techniques du renseignement et ses divers pendants liés à la lutte des guérillas urbaines ; sabotage, écoutes, désinformation, etc. C’est sur du matériel US, convoyé depuis la base américaine de Nouaceur sous les ordres de Hassan II, que l’apprentissage se faisait. A l’insu de la France, Américains et Espagnols volaient au secours du FLN qui subissait une pression de plus en plus forte de la part de la puissance coloniale Française. C’est au cours de ce séjour qui a duré six mois que Madiba allait tomber sous le charme d’une Matahari Algérienne, Souad Dahou Ould Kablia, sœur de l’ex-officier du MALG (ministère de l’Armement et de logistique générale) promu par la suite ministre Algérien de l’Intérieur. Abdelkader Lazaâr, l’actuel chef de l’Etat Algérien, se souviendra de cet épisode où il fut puni par son commandement pour avoir servi d’intermédiaire à une relation amoureuse. Abdelaziz Bouteflika, dit aussi commandant Abdekka qui servait de secrétaire au Colonel Boumediène, sera éloigné vers le désert Malien où il fut affublé du nom de Abdelkader El Mali. N. Mandela vivait les affres de la clandestinité au vu de l’hyperactivité des services Français dans l’Oriental marocain où le FLN disposait de bases arrières. Pour fuir les yeux des agents dépendant du Consulat général de France à Oujda, il ne sortait que la nuit pour aller apprendre la boxe dans un garage appartenant à Mohamed Bouras. C’est sur ce ring là que Mandela allait subir une Fracture du nez, un mal nécessaire dans la carrière de tout boxeur. Une séquelle dont il a toujours tiré un motif de fierté auprès de son auditoire.

    Visionnaire, Hassan II, à l’écoute de ses amis Africains tels Sékou Touré, Modibo Keita, Senghor et Hailé Selassié, ne pouvait laisser ce “gros poisson” du Cap dans les seuls filets du FLN. Et c’est Ould Hmidou, gouverneur d’Oujda à l’époque, qui allait inviter Nelson Mandela à Rabat. Les négociations secrètes entamées avec Mohamed Cherkaoui, beau-frère de Hassan II et ministre des Affaires étrangères, Abdelkrim Al Khatib, ministre des Affaires Africaines, des officiers supérieurs marocains et du représentant du MNLA, ont poussé N. Mandela à exprimer ses desiderata : l’ANC avait besoin d’argent et d’armes que le FLN était dans l’incapacité de les lui fournir. Le séjour rbati de Mandela allait se révéler fatal… Car le leader de l’ANC ne retourna plus à Oujda, dans les bras du FLN, mais pris le chemin vers Bamako où il fut accueilli par son ami Modibo Keita qui va l’aider à faire transiter, via des bateaux de pêche basés à Abidjan, les armes délivrées par le Maroc pour partie aux combattants de l’ANC et pour partie aux partisans des mouvements de libération de l’Angola, MNLA en tête.

    Après son retour à Pretoria, en 1962, Tata Madiba qui structurait l’aile militaire de l’ANC, le MK, coulait sa vie de militant clandestin dans plusieurs Townships et dirigeait les opérations militaires contre les forces racistes de Pretoria. Opérations qui allaient marquer les esprits et mettre en rage les services Sud-Africains affranchis de la démarche militaire de l’ANC via les officines Française, israélienne et américaine, SDEC, Mossad et CIA. Pour se fondra dans la masse, Mandela allait échapper au contrôle des forces de Pretoria en se faisant passer tantôt pour domestique, tantôt de garçon de café. Et c’est sous un nom d’emprunt, David Matayeski, qu’il finit par tomber dans les filets de la police Sud-Africaine alors qu’il se faisait passer pour un des chauffeurs de Cecil Williams, membre du PC Sud-Africain et coordonnateur avec l’ANC.

    Depuis, la question qui tarauda, 27 ans durant, le leader Sud-Africain était de savoir qui l’avait balancé aux services Sud-Africains. Dans ses mémoires “le long chemin de la liberté”, Tata Madiba abordait cette question énigmatique.

    Qui dès lors a pu vendre la mèche tant aux Français qu’aux Israéliens et Américains ? D’après les confidences faites par un officier supérieur des services Français à Oujda, le colonel Boussouf, alias Si Mabrouk, considérait que le rapprochement entre Hassan II et Mandela relevait de la trahison. Il fallait donc, suivant la logique de ce maitre de l’espionnage Algérien, “griller définitivement le leader de l’ANC”. Connu par ses méthodes expéditives, lui qui a liquidé de ses propres mains à Larache Abbane Ramdane, leader charismatique du FLN, il n’hésita pas à “laisser filtrer l’information”. Et c’est via Abderrazak Abdelkader (enterré dans un kibboutz en Israël) et sa femme Franco-israélienne que le SDEC a pu dévoiler le secret Mandela à ses homologues Sud-Africains. Une thèse qui n’occulte en rien une autre qui fait état de l’implication de l’ancien officier de l’armée Française Lamari (et il deviendra chef d’état-major de l’ALN pendant la décennie noire et chef de file des éradicateurs des islamistes du FIS) dans cette fuite organisée.

    D’autres observateurs rappellent à ce sujet que Cherif Belkacem, le négociateur principal du FLN avec De Gaulle, qui avait déjà rencontré N. Mandela à Oujda, aurait “monnayé” cette information auprès de ses interlocuteurs Français, l’indépendance de l’Algérie étant jugée plus prioritaire que l’avenir de l’Afrique du Sud. Nul besoin de rappeler qu’à l’époque, Paris négociait la livraison de centrales nucléaires à l’Afrique du Sud. De là à parler de “gage de bonne volonté” dont le SDEC allait faire preuve, il n’y a qu’un pas.

    Mais quid du jeu Algérien ? Le MALG voulait faire d’une pierre deux coups. Incriminer le Maroc, considéré comme le valet de la France, et instrumentaliser par la suite Mandela pour assouvir les appétits hégémoniques de l’Algérie dans la région nord-Africaine. Tata Madiba est tombé dans le piège Algérien surtout quand on lui a montré des mitraillettes saisies dans les Monts de Ouarkziz, théâtre de combats entre FAR et Polisario que le Maroc aurait acquis auprès de Pretoria alors sous embargo international. Cette manipulation allait pousser le leader de l’ANC à prendre position en faveur des séparatistes du Polisario. Surtout que le Maroc n’a pas su faire l’effort pédagogique et diplomatique nécessaires en apportant tout l’éclairage sur ces faits historiques.

    Le Chef de l’Etat Français qui a fait le déplacement à Pretoria pour assister aux funérailles de Mandela, un show que le leader de l’ANC n’aurait jamais accepté de son vivant, n’a pas manqué de rendre hommage à cette icône du combat pour la liberté. Un hommage qui reste, sans doute, incomplet. Surtout en ne levant pas le voile sur cette période angulaire de l’histoire Africaine toujours Frappée du sceau “secret défense”. Et il en va de même pour l’Etat marocain qui doit affranchir l’opinion Africaine en général, et Sud-Africaine en particulier, vis-à-vis de ses engagements dans le Continent
    Abderrahmane Mekkaoui, Professeur à l’école militaire de Paris, et ancien professeur de Droit à Rabat et Casablanca
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    qui a balancé mandela ?
    celui qui exportait des oranges a botha
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      révisionnisme à l'état pur comme seul le makhzene est capable de broder

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      • #4
        @ solas
        qui exportait des oranges a botha??

        @Bachi
        tu as vu; le traitre de nature qui mene l’enquête
        manque une enquete revisioniste marocaine sur qui a trahi chegevara , benbarka eux aussi ont visité l’Algérie et etaient des amis d’Algérie
        المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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        • #5
          Qui dès lors a pu vendre la mèche tant aux Français qu’aux Israéliens et Américains ? D’après les confidences faites par un officier supérieur des services Français à Oujda, le colonel Boussouf, alias Si Mabrouk, considérait que le rapprochement entre Hassan II et Mandela relevait de la trahison.

          Il fallait donc, suivant la logique de ce maitre de l’espionnage Algérien, “griller définitivement le leader de l’ANC”. Connu par ses méthodes expéditives, lui qui a liquidé de ses propres mains à Larache Abbane Ramdane, leader charismatique du FLN, il n’hésita pas à “laisser filtrer l’information”.

          Et c’est via Abderrazak Abdelkader (enterré dans un kibboutz en Israël) et sa femme Franco-israélienne que le SDEC a pu dévoiler le secret Mandela à ses homologues Sud-Africains. Une thèse qui n’occulte en rien une autre qui fait état de l’implication de l’ancien officier de l’armée Française Lamari (et il deviendra chef d’état-major de l’ALN pendant la décennie noire et chef de file des éradicateurs des islamistes du FIS) dans cette fuite organisée.

          D’autres observateurs rappellent à ce sujet que Cherif Belkacem, le négociateur principal du FLN avec De Gaulle, qui avait déjà rencontré N. Mandela à Oujda, aurait “monnayé” cette information auprès de ses interlocuteurs Français, l’indépendance de l’Algérie étant jugée plus prioritaire que l’avenir de l’Afrique du Sud. Nul besoin de rappeler qu’à l’époque, Paris négociait la livraison de centrales nucléaires à l’Afrique du Sud. De là à parler de “gage de bonne volonté” dont le SDEC allait faire preuve, il n’y a qu’un pas.

          Mais quid du jeu Algérien ? Le MALG voulait faire d’une pierre deux coups. Incriminer le Maroc, considéré comme le valet de la France, et instrumentaliser par la suite Mandela pour assouvir les appétits hégémoniques de l’Algérie dans la région nord-Africaine. Tata Madiba est tombé dans le piège Algérien surtout quand on lui a montré des mitraillettes saisies dans les Monts de Ouarkziz, théâtre de combats entre FAR et Polisario que le Maroc aurait acquis auprès de Pretoria alors sous embargo international. Cette manipulation allait pousser le leader de l’ANC à prendre position en faveur des séparatistes du Polisario. Surtout que le Maroc n’a pas su faire l’effort pédagogique et diplomatique nécessaires en apportant tout l’éclairage sur ces faits historiques.

          Le Chef de l’Etat Français qui a fait le déplacement à Pretoria pour assister aux funérailles de Mandela, un show que le leader de l’ANC n’aurait jamais accepté de son vivant, n’a pas manqué de rendre hommage à cette icône du combat pour la liberté. Un hommage qui reste, sans doute, incomplet. Surtout en ne levant pas le voile sur cette période angulaire de l’histoire Africaine toujours Frappée du sceau “secret défense”. Et il en va de même pour l’Etat marocain qui doit affranchir l’opinion Africaine en général, et Sud-Africaine en particulier, vis-à-vis de ses engagements dans le Continent
          apres avoir lu cette partie il n'y a plus aucun doute ce sont les traitres du FLN qui l'ont fait...

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          • #6
            apres avoir lu cette partie il n'y a plus aucun doute ce sont les traitres du FLN qui l'ont fait...
            En soulevant le couvercle de l'histoire de l'Algérie , il en sort des odeurs nauséabondes ! ...

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            • #7
              en soulevant le couvercle de l'histoire de l'algérie , il en sort des odeurs nauséabondes ! ...
              arezki comment peux tu un moment croire a ce tricotage de film hindou de serie bbb-
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                Abderrahmane Mekkaoui, Professeur à l’école militaire de Paris, et ancien professeur de Droit à Rabat et Casablanca
                De prof de droit à Casa, passer prof à l'école militaire de Paris, ça montre que l'auteur est passé maître dans l'art de la guerre psychologique ...
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Ce texte est un ramassis de balivernes. J'ai arrêté à la lecture de ceci:

                  A l’époque, le Maroc était le chef de file des régimes progressistes réunis au sein du Groupe de Casablanca, avant la naissance de l’OUA, en 1963.
                  et par modestie l'auteur oublie de préciser que Rabat était la capitale des révolutionnaires.

                  Le Maroc chef de file des régimes progressistes ça ne peut pas passer, car il est de notoriété internationale que le makhzen a entretenu des relations politiques et militaires avec ce régime plus que abject.
                  ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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