ALGER- Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra a rappelé samedi que la politique extérieure de l’Algérie est née de sa propre Révolution et de sa lutte de libération nationale basée sur le principe de l’autodétermination et l’intangibilité des frontières héritées au moment de l’accession aux indépendances.
"La politique extérieure de l’Algérie est née de sa propre révolution et de sa lutte de libération nationale", a soutenu M. Lamamra dans un entretien accordé à la chaîne internationale de la radio algérienne, relevant que des "principes ont été consacrés par l’Algérie combattante qui revendiquait le principe de l’autodétermination, le droit des peuples a disposer d’eux mêmes et l’intangibilité des frontières héritées au moment de l’accession aux indépendances."
M. Lamamra a, en outre, rappelé que L’Algérie a été aux avant-postes du projet panafricaniste et la lutte de libération nationale du peuple algérien a précipité et rendu irréversible la fin du colonialisme a travers le continent", a-t-il rappelé, affirmant que "c’est avec ce capital de lutte et de réalisations et ce capital de prestige et du respect que la diplomatie de l’Algérie indépendante a hérite le patrimoine de l’Algérie combattante."
Le chef de la diplomatie algérienne a, par ailleurs, noté que "l’Algérie a participé a la création de l’Organisation de l’unité africaine et s’est mobilisée pour faire en sorte que les principes de cette organisation puissent prévaloir."
"Nous avons toujours travaillé à faire en sorte qu’en ce qui concerne le continent africain, les solutions soient conçues par les Africains eux mêmes", a-t-il dit, réitérant qu'"il faut des solutions africaines pour les problèmes de l’Afrique et le reste de la communauté internationale devrait venir en soutien et en appui."
En 1974, alors que l’Algérie présidait l’Assemblé général des Nations unies et le mouvement des non-alignés, le président de République, Abdelaziz Bouteflika, qui présidait, à l'époque en tant que ministre des Affaires étrangères, cette 29ème session a, pour la première fois, réussi à obtenir que l'ONU s’aligne sur la position de l’Afrique sur une question fondamentale relative au "refus de la représentation de ce grand pays africain par le régime raciste de l’Apartheid".
"Cette réalisation de 1974 était un gain surtout que cela a résulté d’une bataille", a ajouté M. Lamamra, affirmant que d’"un point de vue politique et stratégique cela a constitué un tournant, et aujourd’hui encore la même ligne de conduite à l’égard des autres problèmes de l’Afrique notamment ceux de paix et de sécurité, de parachèvement de la décolonisation, de développement et de protection de l’environnement".
APS
"La politique extérieure de l’Algérie est née de sa propre révolution et de sa lutte de libération nationale", a soutenu M. Lamamra dans un entretien accordé à la chaîne internationale de la radio algérienne, relevant que des "principes ont été consacrés par l’Algérie combattante qui revendiquait le principe de l’autodétermination, le droit des peuples a disposer d’eux mêmes et l’intangibilité des frontières héritées au moment de l’accession aux indépendances."
M. Lamamra a, en outre, rappelé que L’Algérie a été aux avant-postes du projet panafricaniste et la lutte de libération nationale du peuple algérien a précipité et rendu irréversible la fin du colonialisme a travers le continent", a-t-il rappelé, affirmant que "c’est avec ce capital de lutte et de réalisations et ce capital de prestige et du respect que la diplomatie de l’Algérie indépendante a hérite le patrimoine de l’Algérie combattante."
Le chef de la diplomatie algérienne a, par ailleurs, noté que "l’Algérie a participé a la création de l’Organisation de l’unité africaine et s’est mobilisée pour faire en sorte que les principes de cette organisation puissent prévaloir."
"Nous avons toujours travaillé à faire en sorte qu’en ce qui concerne le continent africain, les solutions soient conçues par les Africains eux mêmes", a-t-il dit, réitérant qu'"il faut des solutions africaines pour les problèmes de l’Afrique et le reste de la communauté internationale devrait venir en soutien et en appui."
En 1974, alors que l’Algérie présidait l’Assemblé général des Nations unies et le mouvement des non-alignés, le président de République, Abdelaziz Bouteflika, qui présidait, à l'époque en tant que ministre des Affaires étrangères, cette 29ème session a, pour la première fois, réussi à obtenir que l'ONU s’aligne sur la position de l’Afrique sur une question fondamentale relative au "refus de la représentation de ce grand pays africain par le régime raciste de l’Apartheid".
"Cette réalisation de 1974 était un gain surtout que cela a résulté d’une bataille", a ajouté M. Lamamra, affirmant que d’"un point de vue politique et stratégique cela a constitué un tournant, et aujourd’hui encore la même ligne de conduite à l’égard des autres problèmes de l’Afrique notamment ceux de paix et de sécurité, de parachèvement de la décolonisation, de développement et de protection de l’environnement".
APS
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