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La réconciliation scellée entre Rabat et Nouakchott a donné lieu à des interprétations tendancieuses du côté d’Alger, qui a tout fait pour «envenimer» les relations entre les deux pays frères.
Le bon sens veut qu’une réconciliation entre deux pays voisins, liés par une communauté d’histoire et d’avenir, soit salué comme un acte positif. Cela est pourtant loin d’être le cas à Alger, qui a trouvé à cet acte, dicté par le devoir de fraternité et de bon voisinage, une explication insidieuse, voire tendancieuse. «La célérité avec laquelle le Makhzen a décidé de circonscrire l’incendie diplomatique provoqué par l’hideux Hamid Chabat montre à quel point il craint fortement de s’aliéner la Mauritanie, surtout dans le contexte actuel», commente l’un des journaux pro-régime, spécialisé dans l’intox anti-marocaine.
Le journal pyromane veut voir un «incendie diplomatique» là où il n’y a qu'un malentendu soldé par l’appel téléphonique entre le roi Mohammed VI et le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, suite aux propos «irresponsables» du SG du parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat, au sujet de l’intégrité territoriale de la Mauritanie.
Mais passons, car notre confrère qui fait un hors-sujet croit savoir, du haut de son complotisme à deux balles, que l’initiative marocaine somme toute noble «intervient à un moment où (….) l’Algérie multiplie les initiatives économiques et diplomatiques au niveau du continent»!
Mais de qui se moque-t-on, alors? Un pays englué dans une crise financière et économique sans précédent, due à la chute des cours de pétrole et surtout à sa dépendance aux énergies fossiles (98% des exportations et 60% des recettes de l’Etat), a-t-il quelque chose à proposer au continent?
Quant à ces «initiatives diplomatiques en Afrique», tout le monde sait qu’elles se résument à un seul et unique objectif: contrer l’offensive économique du Maroc en Afrique et compromettre le retour du royaume au sein de l’Union africaine.
Est-ce un hasard si Alger s’emploie activement ces derniers temps à rallier Nouakchott à sa politique hostile au royaume du Maroc, lui faisant miroiter monts et merveilles? Il n’est donc pas fortuit que la réconciliation entre frères mauritaniens et marocains soient «accueillie» de façon négative par un régime qui fait de la division entre frères d'un même continent le cheval de bataille de sa politique extérieure! Simplement lamentable.
Ziad Alami
Le bon sens veut qu’une réconciliation entre deux pays voisins, liés par une communauté d’histoire et d’avenir, soit salué comme un acte positif. Cela est pourtant loin d’être le cas à Alger, qui a trouvé à cet acte, dicté par le devoir de fraternité et de bon voisinage, une explication insidieuse, voire tendancieuse. «La célérité avec laquelle le Makhzen a décidé de circonscrire l’incendie diplomatique provoqué par l’hideux Hamid Chabat montre à quel point il craint fortement de s’aliéner la Mauritanie, surtout dans le contexte actuel», commente l’un des journaux pro-régime, spécialisé dans l’intox anti-marocaine.
Le journal pyromane veut voir un «incendie diplomatique» là où il n’y a qu'un malentendu soldé par l’appel téléphonique entre le roi Mohammed VI et le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, suite aux propos «irresponsables» du SG du parti de l’Istiqlal, Hamid Chabat, au sujet de l’intégrité territoriale de la Mauritanie.
Mais passons, car notre confrère qui fait un hors-sujet croit savoir, du haut de son complotisme à deux balles, que l’initiative marocaine somme toute noble «intervient à un moment où (….) l’Algérie multiplie les initiatives économiques et diplomatiques au niveau du continent»!
Mais de qui se moque-t-on, alors? Un pays englué dans une crise financière et économique sans précédent, due à la chute des cours de pétrole et surtout à sa dépendance aux énergies fossiles (98% des exportations et 60% des recettes de l’Etat), a-t-il quelque chose à proposer au continent?
Quant à ces «initiatives diplomatiques en Afrique», tout le monde sait qu’elles se résument à un seul et unique objectif: contrer l’offensive économique du Maroc en Afrique et compromettre le retour du royaume au sein de l’Union africaine.
Est-ce un hasard si Alger s’emploie activement ces derniers temps à rallier Nouakchott à sa politique hostile au royaume du Maroc, lui faisant miroiter monts et merveilles? Il n’est donc pas fortuit que la réconciliation entre frères mauritaniens et marocains soient «accueillie» de façon négative par un régime qui fait de la division entre frères d'un même continent le cheval de bataille de sa politique extérieure! Simplement lamentable.
Ziad Alami
Il y a moins d'une semaine 
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