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La question de l'Histoire et des moudjahidine est une "ligne rouge"

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  • La question de l'Histoire et des moudjahidine est une "ligne rouge"

    ORAN - Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a déclaré, jeudi à Oran, que la question de l'Histoire et des moudjahidine est une "ligne rouge" ne tolérant aucune manipulation.

    Intervenant au colloque national des grands invalides de la guerre de libération nationale, le ministre a rappelé que la question de l’Histoire et des moudjahidine est une "ligne rouge, une des constantes sacrées de l’Etat algérien".

    Dans le même ordre d'idées, Tayeb Zitouni a déclaré "l’Algérie a un passé, une histoire, des chouhada. Elle a mené une révolution qui a fait connaitre au monde le sens des révolutions. Celui qui aime l’Algérie doit s’attacher à son histoire, sa révolution, ses moudjahidine et ses martyrs, les respecter et les remémorer".

    Il a rappelé que la Constitution, qui s'est inspirée du message du 1er novembre, insiste sur la respect des moudjahidine, des chouhada, de l’emblème national et de l’hymne national.

    "La ligne nationale demeurera fondamentale. Un ciment et un chemin d’aujourd’hui et demain", a-t-il ajouté.

    Au passage, le ministre a abordé les réalisations concrétisées en Algérie dans différents domaines dans le cadre du programme du président de la république, Abdelaziz Bouteflika, affirmant que le travail de son ministère est axé sur l’amélioration de la situation sociale et la couverture médicale des moudjahidine et ayants droit.

    Le ministère des Moudjahidine a £uvré à la lutte contre la bureaucratie en introduisant l’informatique, la numérisation des archives, l'élaboration d'un fichier de cette catégorie ou ont été inclus même des étrangers ayant participé à la guerre de libération nationale, a indiqué M. Zitouni faisant savoir que 25 centres de repos et autres sont à l’étude qui sera soumise au Gouvernement pour approbation.

    Cette rencontre, à laquelle a pris part le président de l’Association des grands invalides de la guerre de libération nationale, Mohamed Bouhafsi, a été marquée par la remise de fauteuils roulants à un nombre de moudjahidine et ayants droit par l’association organisatrice de ce colloque tenu au centre national de d'appareillages orthopédiques pour invalides de la guerre de libération à Oran.

    APS
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Cette rencontre, à laquelle a pris part le président de l’Association des grands invalides de la guerre de libération nationale, Mohamed Bouhafsi
    L'Histoire des Moujahidines est effectivement une ligne rouge que les faussaires ne veulent pas franchir.

    Je ne retiens que le cas cité du Président des " grands" invalides de guerre. Le sympathique Mohammed BOUHAFS . Rien des gueules cassés de la première guerre mondiale. Un moujahed engagé très jeune et qui a sauté sur une mine y laissant une jambe . C'est un handicap qui était grave du temps de la flibuste , mais depuis PISTORIUS est devenu très relatif .

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    • #3

      *************
      en gros il s'adresse à l'ex wali de skikda...

      qui a été viré..
      Dernière modification par tawenza, 29 décembre 2016, 22h33.

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      • #4
        et voici le moudjahid qui s'est fait insulté

        *********
        il est censé avoir eu minimum 20 ans en 1962



        bled zb...
        heu... bled zaibet
        Dernière modification par tawenza, 29 décembre 2016, 23h15.

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        • #5

          en gros il s'adresse à l'ex wali de skikda...

          qui a été viré..
          Quand j'entends les walis parler aux citoyens j'en reste estomaqué . Les préfets gouer étaient plus polis et en apparence plus respectueux.

          Le voyou de skikda est tombé sur un moujahed de dernière heure, voire un faux. Un vrai lui aurait rappelé que c'est lui, haut fonctionnaire qui doit tout à la Révolution et devant son arrogance leu aurait mis le poing sur la figure.

          Commentaire


          • #6
            Quand j'entends les walis parler aux citoyens j'en reste estomaqué . Les préfets gouer étaient plus polis et en apparence plus respectueux.

            Le voyou de skikda est tombé sur un moujahed de dernière heure, voire un faux. Un vrai lui aurait rappelé que c'est lui, haut fonctionnaire qui doit tout à la Révolution et devant son arrogance leu aurait mis le poing sur la figure.
            critère de sélection des walis ?

            en algérie c la fin de carrière d'un chef de daira..qui sont d'anciens énarques..

            b ref aucune compétence n'est requise puisque tous les ans nous avons droit au sempiternel :

            el as'ila kanet fi moutanawel el jami3

            à propos du fameux concours bidon de l' ENA.

            ça donne des zombis cas sociaux comme le wali de ouargla..


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            • #7
              Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a déclaré, jeudi à Oran, que la question de l'Histoire et des moudjahidine est une "ligne rouge" ne tolérant aucune manipulation.
              ils suffit d’assisté une partis de football pour comprendre de quoi un jeune facebookeur algérien devine sensibile....
              dz(0000/1111)dz

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