jeudi 29 décembre 2016 | Par Tewfik Abdelbari
Les classements se suivent et se ressemblent pour l’Algérie. Le pays hérite de la 131e place (sur 139) dans la dernière édition 2016 du classement des « meilleurs pays pour les affaires » du magazine Forbes.
Au bas de l’échelle
Ainsi l’Algérie est au bas de l’échelle dans le classement global, établi sur la base de 10 critères. Par exemple, l’économie algérienne est 133e pour la protection des investisseurs, 131 pour la liberté de commerce, 123e pour la liberté monétaire, ou 115e pour le poids de la fiscalité, indique Forbes.
Par ailleurs, l’Algérie se classe 112e pour la lourdeur de la bureaucratie et 111e pour l’innovation, détaille le magazine. Ensuite, l’édition 2016 de ce classement attribue une 110e place pour les libertés individuelles, la 107e pour les droits de propriété (intellectuelle), selon la même source.
L’Algérie hérite également de la 107e place pour la technologie, seul secteur où elle enregistre « une amélioration substantielle », précise Forbes. Enfin, la « meilleure » note attribuée concerne la corruption, avec une 84e place mondiale.
Cette nouvelle position au bas de l’échelle est terrible pour l’image du pays. À titre d’exemple, des pays en proie à une certaine instabilité, comme le Mali (109e mondial), devancent l’Algérie, tout comme le Gabon (126e).
Le Maroc est loin devant, avec une 51e place. La Tunisie est à la 87e place. En tête du peloton, la Suède, la Nouvelle Zélande et Hong Kong occupent les trois premières places du classement.
TSA
Les classements se suivent et se ressemblent pour l’Algérie. Le pays hérite de la 131e place (sur 139) dans la dernière édition 2016 du classement des « meilleurs pays pour les affaires » du magazine Forbes.
Au bas de l’échelle
Ainsi l’Algérie est au bas de l’échelle dans le classement global, établi sur la base de 10 critères. Par exemple, l’économie algérienne est 133e pour la protection des investisseurs, 131 pour la liberté de commerce, 123e pour la liberté monétaire, ou 115e pour le poids de la fiscalité, indique Forbes.
Par ailleurs, l’Algérie se classe 112e pour la lourdeur de la bureaucratie et 111e pour l’innovation, détaille le magazine. Ensuite, l’édition 2016 de ce classement attribue une 110e place pour les libertés individuelles, la 107e pour les droits de propriété (intellectuelle), selon la même source.
L’Algérie hérite également de la 107e place pour la technologie, seul secteur où elle enregistre « une amélioration substantielle », précise Forbes. Enfin, la « meilleure » note attribuée concerne la corruption, avec une 84e place mondiale.
Cette nouvelle position au bas de l’échelle est terrible pour l’image du pays. À titre d’exemple, des pays en proie à une certaine instabilité, comme le Mali (109e mondial), devancent l’Algérie, tout comme le Gabon (126e).
Le Maroc est loin devant, avec une 51e place. La Tunisie est à la 87e place. En tête du peloton, la Suède, la Nouvelle Zélande et Hong Kong occupent les trois premières places du classement.
TSA
Commentaire