Siavash Shahrivar, gouverneur adjoint de la province de Téhéran (Iran), souhaite « convaincre » les femmes sans domicile fixe et prostituées de se faire stériliser.
« A Téhéran, il y a des femmes toxicomanes sans domicile fixe qui se prostituent (…), 20% ont le sida » et font trop d’enfants, a déclaré Siavash Shahrivar, par ailleurs chargé des affaires sociales dans la province de Téhéran.
Objectif : moins « d’enfants malades, sous-alimentés et sans tuteur »
Siavash Shahrivar est revenu sur les conséquences sociales de la maladie chez certaines prostituées. Beaucoup de ces femmes ne peuvent pas « élever leurs enfants » et sont « obligées de les vendre » a précisé le responsable. « Si ces femmes acceptaient d’être stérilisées » il y aurait moins « d’enfants malades, sous-alimentés et sans tuteur ».
Une tournure politique
L’affaire a pris une tournure politique, les médias conservateurs en profitant pour accuser la vice-présidente chargée des affaires féminines et familiales, Shahindokht Molaverdi, d’avoir elle aussi prôné la stérilisation des femmes vivant dans la rue.
20mn
« A Téhéran, il y a des femmes toxicomanes sans domicile fixe qui se prostituent (…), 20% ont le sida » et font trop d’enfants, a déclaré Siavash Shahrivar, par ailleurs chargé des affaires sociales dans la province de Téhéran.
Objectif : moins « d’enfants malades, sous-alimentés et sans tuteur »
Siavash Shahrivar est revenu sur les conséquences sociales de la maladie chez certaines prostituées. Beaucoup de ces femmes ne peuvent pas « élever leurs enfants » et sont « obligées de les vendre » a précisé le responsable. « Si ces femmes acceptaient d’être stérilisées » il y aurait moins « d’enfants malades, sous-alimentés et sans tuteur ».
Une tournure politique
L’affaire a pris une tournure politique, les médias conservateurs en profitant pour accuser la vice-présidente chargée des affaires féminines et familiales, Shahindokht Molaverdi, d’avoir elle aussi prôné la stérilisation des femmes vivant dans la rue.
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