Ironie du sort, la formation islamique ( Al Adl wal Ihsane (AWI))
est la seule à s'opposer à la dictature infame marocaine. Par malheur, même Moumen Diouri l'a rejoint après son retour de France!:22:
- Fathallah Arsalane : "Le Maroc n’a jamais vécu de transition démocratique"
Nouvelle sortie médiatique de Fathallah Arsalane. Le numéro 2 d'Al Adl wal Ihsane annonce que la Jamâa est avec «le peuple», décochant des flèches en direction de la monarchie et du PJD.
(…).
"Le Maroc n’a jamais vécu de transition démocratique"
Arsalane poursuit son diagnostic de la situation au Maroc en affirmant que le royaume "n’a pas vécu de transition démocratique et ne l’a jamais expérimentée". Il revient notamment sur la vague de protestations qu’a connue le Maroc lors du "printemps arabe" pour étayer ses propos. Face aux marches du Mouvement du 20 février, le pouvoir avait proposé des "amendements constitutionnels qui n’ont pas affecté le cœur de la tyrannie et la structure de l’autorité, ainsi que la distribution des richesses".
Le numéro 2 de la Jamâa qualifie indirectement tout le débat ayant précédé l’adoption de la Constitution du 1er juillet 2011 de "manœuvre à laquelle le PJD a pris part». Une participation qui a laissé des traces dans les rangs des islamistes de la Lampe, a-t-il constaté. Sur un ton indirect, il a pointé les "soubresauts" qu’a connus le PJD "durant les deux dernières années".
Quant à la position d’Al Adl wal Ihsane, Fathallah Arsalane la situe avec "le peuple". Mais en dépit de cette déclaration, en décembre 2011, AWI avait préféré se retirer du Mouvement du 20 février, portant ainsi un coup létal aux revendications du peuple.
Ya..bi
est la seule à s'opposer à la dictature infame marocaine. Par malheur, même Moumen Diouri l'a rejoint après son retour de France!:22:
- Fathallah Arsalane : "Le Maroc n’a jamais vécu de transition démocratique"
Nouvelle sortie médiatique de Fathallah Arsalane. Le numéro 2 d'Al Adl wal Ihsane annonce que la Jamâa est avec «le peuple», décochant des flèches en direction de la monarchie et du PJD.
(…).
"Le Maroc n’a jamais vécu de transition démocratique"
Arsalane poursuit son diagnostic de la situation au Maroc en affirmant que le royaume "n’a pas vécu de transition démocratique et ne l’a jamais expérimentée". Il revient notamment sur la vague de protestations qu’a connue le Maroc lors du "printemps arabe" pour étayer ses propos. Face aux marches du Mouvement du 20 février, le pouvoir avait proposé des "amendements constitutionnels qui n’ont pas affecté le cœur de la tyrannie et la structure de l’autorité, ainsi que la distribution des richesses".
Le numéro 2 de la Jamâa qualifie indirectement tout le débat ayant précédé l’adoption de la Constitution du 1er juillet 2011 de "manœuvre à laquelle le PJD a pris part». Une participation qui a laissé des traces dans les rangs des islamistes de la Lampe, a-t-il constaté. Sur un ton indirect, il a pointé les "soubresauts" qu’a connus le PJD "durant les deux dernières années".
Quant à la position d’Al Adl wal Ihsane, Fathallah Arsalane la situe avec "le peuple". Mais en dépit de cette déclaration, en décembre 2011, AWI avait préféré se retirer du Mouvement du 20 février, portant ainsi un coup létal aux revendications du peuple.
Ya..bi
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