Rabat, 11/06/07- Une importante délégation américaine a rencontré, lundi à Rabat, des représentants des Forces Armées Royales et du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, pour un échange des points de vue sur les questions d'avenir ainsi que sur le rôle du commandement militaire unifié pour l'Afrique (U.S. Africa Command) des Etats-Unis.
La visite de la délégation américaine fait suite à l'annonce faite par le président américain George W. Bush sur le nouveau commandement régional, en février dernier, indique un communiqué de l'ambassade des Etats-Unis à Rabat.
Cette visite "fait partie d'une tournée effectuée auprès des partenaires Africains des Etats-Unis d'Amérique pour discuter de l'établissement de ce commandement", précise la même source, ajoutant que "la délégation a souligné qu'aucune décision n'a été encore prise sur l'emplacement possible du personnel de l'AFRICOM".
"Nous sommes ici pour écouter" a déclaré M. Ryan Henry, sous-secrétaire principal à la Défense, chargé de la politique, qui conduit cette délégation.
"Tandis que nous avons une idée sur les grandes lignes sur ce qu'Africa Command devrait être, nous voudrions discuter et échanger des points de vue avec nos homologues avant d'entamer des procédures", a dit M. Henry cité par le communiqué.
"U.S. Africa Command", connue sous le nom d'AFRICOM, prévoit de fournir aux nations africaines et aux organismes régionaux une coordination intégrée du département de la Défense pour répondre aux besoins de la sécurité et au développement, rappelle le communiqué, faisant état actuellement de trois options pour l'établissement de sièges militaires régionaux des Etats-Unis qui maintiennent des relations avec des pays de l'Afrique.
Selon la même source, les responsables du département de la Défense américain ont déclaré que le personnel d'Africom comprendra une grande variété d'experts en diplomatie, en développement et en économie mais n'inclura pas de troupes.
"AFRICOM ne signifie pas qu'il y aurait des forces américaines additionnelles sur le continent", a dit M. Henry. "C'est surtout un siège et un point de planification", a-t-il ajouté. Il aidera à appuyer les dirigeants des nations africaines et les communautés économiques régionales, conclut la même source.
La visite de la délégation américaine fait suite à l'annonce faite par le président américain George W. Bush sur le nouveau commandement régional, en février dernier, indique un communiqué de l'ambassade des Etats-Unis à Rabat.
Cette visite "fait partie d'une tournée effectuée auprès des partenaires Africains des Etats-Unis d'Amérique pour discuter de l'établissement de ce commandement", précise la même source, ajoutant que "la délégation a souligné qu'aucune décision n'a été encore prise sur l'emplacement possible du personnel de l'AFRICOM".
"Nous sommes ici pour écouter" a déclaré M. Ryan Henry, sous-secrétaire principal à la Défense, chargé de la politique, qui conduit cette délégation.
"Tandis que nous avons une idée sur les grandes lignes sur ce qu'Africa Command devrait être, nous voudrions discuter et échanger des points de vue avec nos homologues avant d'entamer des procédures", a dit M. Henry cité par le communiqué.
"U.S. Africa Command", connue sous le nom d'AFRICOM, prévoit de fournir aux nations africaines et aux organismes régionaux une coordination intégrée du département de la Défense pour répondre aux besoins de la sécurité et au développement, rappelle le communiqué, faisant état actuellement de trois options pour l'établissement de sièges militaires régionaux des Etats-Unis qui maintiennent des relations avec des pays de l'Afrique.
Selon la même source, les responsables du département de la Défense américain ont déclaré que le personnel d'Africom comprendra une grande variété d'experts en diplomatie, en développement et en économie mais n'inclura pas de troupes.
"AFRICOM ne signifie pas qu'il y aurait des forces américaines additionnelles sur le continent", a dit M. Henry. "C'est surtout un siège et un point de planification", a-t-il ajouté. Il aidera à appuyer les dirigeants des nations africaines et les communautés économiques régionales, conclut la même source.
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