Merci mon général !

[Mha]

On nous pompe l’air avec l’histoire de la Mauritanie où la démocratie, aveugle dans nos pays, aurait subitement retrouvé la lumière ! Premier militaire à céder le pouvoir à des élus, et j’en passe… Les éloges ne manquent pas et si, en ces temps de disette démocratique et de restrictions des libertés dans les pays arabes, le retrait de l’officier supérieur Val peut être interprété comme l’exception qui confirme la règle, nous ne sommes pas d’accord quand on dit que c’est la première fois que ça arrive !

Il y a une huitaine d’années, un autre général, le brave Zeroual, quittait le pouvoir volontairement, alors qu’il avait été élu au suffrage universel. Ce général, avec d’autres patriotes, a sauvé le pays et la République.

Quand il pensa que sa mission était terminée, il se retira avec les honneurs pour aller se reposer dans sa maison, à Batna. Il n’a pas de palais en Suisse ou à Washington !

Nous devons le dire et le rappeler aux générations montantes : soyez fiers de ce général !

Farah Maamar (Le Soir d'Algérie)

[Numidia]

...Yes !

[ballZ]

Et qu'en est-il de la main cachée ?

[Mha]

@ ballZ

Main cachée?? Expliques toi!
Aucune main cachée ne l'aurait obligé à quitter le pouvoir.
Zeroual,n'etait pas un politique,je pense qu'il est parti parce qu'il a estimé que sa mission etait accomplie et qu'il etait temps de laisser le poste à un vrai politique.
Je pense tout simplement qu'il n'avait pas la mentalité de cantonnier.

[ballZ]

Mha je parlais pas de Zeroual qui a eu l'honneteté de renoncer a son poste mais des gens qui avaient le pouvoir avant l'arrivée de bouteflika qui les a liquidé mais qui n'attende que son depart pour revenir.

[absent]

tu verra ballz, tu les regrettera ces gens là
tu as jamais vecu dans des regimes où la vie humaine n'a aucune importance et où les libertés individuelles sont justes réservées aux occidentaux

[Harrachi78]

En fait ...

... c'est colonel ...

[btp50]

la période Zeroual est celle que je deteste le plus en Algerie, non qu'il est était general ou civil, mais c'est sous cette périodes que beaucoup d'algeriens (ennes) innocents (tes) ont étaient massacrées.
C'est la periode la plus noire de l'Algerie !
Alors : mon general, tu peux creuver la bouche ouverte.

[l'imprevisible]

A vrai dire

..c'est Monsieur le président ...il garde ce titre à vie

[absent]

mon general, tu peux creuver la bouche ouverte.

lol, et les gens qui massacraient, qui découpaient les gens en rondelle ??? qu'en dis tu btp ??

[Harrachi78]

@l'imprevisible

... Bah officiellement il n'a jamais ete President de la Republique car jamais elu, en plus il n'a pas encore quitte le service actif au sein de l'armee et c'est en portant l'Uniforme qu'il est venu et qu'il ets parti ... le colonel

Sinon moi je l'aimait bien ce type, et en plus il a eu un comportement tres digne et tres professionnel, j'admire les gens comme ca !

[btp50]

les sbires du general

et les gens qui massacraient, qui découpaient les gens en rondelle ??? qu'en dis tu btp ??

ceux là que Dieu les abaissent dans cette vie et les chatie dans l'eau délà.

[absent]

personne n'aime les ichawiyen , on est detestés de tous même par les nôtres

c'était un president trés digne , fonction pas facile en ce temps là , il a bien fait de tout quitter

ceux là que Dieu les abaissent dans cette vie et les maudissent dans l'aeu délà. ce sont les sbires du general.

pas sûr, je ne suis pas convaincu
moi je pense qu'il faut les retrouver qui que ce soit et les faire juger , pas de repis pour les gens qui decoupent les autres

[l'imprevisible]

Harrachi78

Bonjour monsieur l'empreure est ce juste de dire monsieur pour un empreure ?

Moi Aussi je l'apprecier bien ce Monsieur !

Un petit point d'histoire

Liamine Zéroual (en arabe الأمين زروال)

Né le 3 juillet 1941 à Batna dans les Aurès en Algérie), est un homme d'État algérien, qui a exercé les fonctions de président de l'Algérie du 30 juin 1994 au 27 avril 1999.

À 16 ans, il rejoint les rangs de l’Armée de libération nationale (ALN) pour combattre l'armée française. Il participe à la guerre de libération entre 1957 et 1962. Après l'indépendance de l'Algérie, Liamine Zéroual part suivre une formation militaire au Caire en Égypte, puis à Moscou et enfin à Paris. Diplômé de l’école militaire de Moscou et de l’école de guerre de Paris, il exerce différentes fonctions au sein de l’Armée Nationale Populaire (ANP).

D’abord commandant de plusieurs écoles militaires (Batna, Cherchell), puis commandant de plusieurs régions militaires, en 1982 au Sahara (à Tamanrasset) puis sur la frontière marocaine en 1984 et enfin à Constantine en 1987. Il devient général en 1988 et est promu à la tête des forces terrestres en 1989 avant de démissionner en 1990, pour cause de désaccord avec le président Chadli à propos du plan de l'organisation de l'armée algérienne. Il fut par la suite ambassadeur de l’Algérie en Roumanie pendant une courte période avant de quitter ce poste.

En juillet 1993, il est nommé Ministre de la Défense Nationale, dans le gouvernement du Haut Comité d'État créé à la suite de l'interruption du processus électoral de janvier 1992. Il était partisan d'un dialogue avec tous les partis politiques du pays, pour trouver "une solution consensuelle à la crise", c'est à ce titre qu'il rencontra plusieurs fois les principaux dirigeants du Front Islamique du Salut (FIS) emprisonnés.

Le 30 janvier 1994 il est désigné à la tête de l'État par le Haut Comité de l'État (HCE) pour assurer la période de transition. 1er président à avoir été élu à la suite d'un scrutin pluraliste le 16 novembre 1995 (élection présidentielle boudée par les grandes formations de l'opposition).

Ses multiples tentatives pour trouver un accord avec les partis de l'opposition se sont toutes conclues par un échec. Ayant fait le constat de l'échec du rapprochement avec les représentants modérés du FIS dissous, il considère qu'il n'y a plus rien à attendre d'un éventuel dialogue avec les islamistes.

Il dénonce le contrat de Rome du 15 janvier 1995 dit (San Egidio), criant ainsi au complot de "personnalités algériennes" qui cherchent selon lui à "maintenir l'Algérie dans la spirale de la violence et de la dégradation" il promet en outre "l'éradication" des groupes "terroristes".

La révision constitutionnelle de novembre 1996 a considérablement augmenté les pouvoirs du président de la République Algérienne, et tend à fermer le champ politique à l'opposition.

Le 11 septembre 1998, il annonce dans son discours à la nation la tenue d’élections présidentielles anticipées pour février 1999, auxquelles il ne se présente pas. Son successeur est un ancien du FLN, c'est Abdelaziz Bouteflika. Il quitte la présidence de la République le 27 avril 1999.

Source :wikipédia

[Harrachi78]

@tolkien

Si moi j'aime bien les Chaouis !!!!! D'ailleurs je t'avoue que si j'etai berbere j'aurai ete un chaoui et pas autre chose ...