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K1 Grand prix ,K1 Heroes,K1 World max

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  • K1 Grand prix ,K1 Heroes,K1 World max

    De nombreux Algerien s'interessent a cette forme de combat,voila en gros une petit explicatif apres visionage de ces quelques videos:Hightlight Des Poids Lourds:http://www.youtube.com/watch?v=ZGQTCi3syjY
    et celui des - de 70 kg http://www.youtube.com/watch?v=IsPl34UgYWs
    et aussi celle la : http://www.youtube.com/watch?v=d6R8dGKZjMs

    Le K-1 est un organisation sportive promouvant une forme de kick-boxing japonais créée en 1993 au Japon par Kazuyoshi Ishii (fondateur du courant de karaté Seidokaikan). Le K fait référence aux arts martiaux qui sont le karaté, le kung fu, le tae kwon do et le kickboxing.

    L'organisation est tenue par le Fighting and Entertainment Group (FEG) au Japon. Le K-1 comprend trois types de combat chacune avec ses particularités: le K-1 Grand-Prix, le K-1 MAX et le K-1 Hero's.

    Kick-boxing japonais

    En anglais "oriental kick-boxing". Pour certains, le terme Kick-boxing aurait été inventé, au Japon, dans les années 1950 par des karatékas ayant besoin de se confronter avec contact total.

    En 1958, un pratiquant de kick-boxing de l’époque est l’étudiant en langues orientales, le birman Maung Gyi, élève d'experts de bando en Birmanie et également du grand expert de karaté, Gogen Yamaguchi dit « Le chat ». Maug Gyi combat au Japon sous différents noms et fait connaître la boxe birmane ou lethwei à l’occasion des tournois de Kick-boxing japonais.
    Pour d’autres, le Kick-boxing japonais aurait été inventé, après les jeux olympiques de 1964, par le promoteur de combats Osamu Noguchi, pour désigner une version japonaise du Muay thaï. Celui-ci en voyage d’étude dans les pays du sud-est asiatique s’inspira de ce qu’il voyait sur les rings thaïlandais. Peu de temps après, grâce à l’enthousiasme de Kenji Kurosaki adepte de Kyokushinkai (forme de Karaté autorisant les contacts) naissait le Kick-boxing japonais (une boxe où le règlement permettait de frapper à coups de pied, de poing, de genou et de coude, agrémenté de certaines projections de Judo). Noguchi cherche un nom américain pour cette nouvelle discipline facile à retenir et puis ce fut le succès immédiat du Kick-boxing. Après avoir créé son propre style de combat, Kenji Kurosaki mit en place un célèbre camp d’entraînement, en 1969, le Méjiro-Gym de Tokyo. Ce dernier deviendre le pionner du Kick-boxing des années 1970. Il eut pour élèves des pratiquants renommés comme Akio Fujihira, Toshio Tabata, Yoshiji Soéno, le Français Patrick Brizon, le Hollandais Jan Plas (célèbre entraîneur hollandais) et le brillant Toshio Fujiwara (légende du Kick-boxing japonais, avec 129 victoires). Au cours des premières années, les kick-boxeurs nippons venaient directement du Kyokushinkai.

    La forme de Kick-boxing au monde la plus médiatique est celle pratiquée à l’occasion du célèbre tournoi du « K-1 » qui réunit les meilleurs combattants de la planète. C'est Kazuyoshi Ishii, fondateur d'un style de karaté qui mis en place ce concept. Spécialement ces règles de Kick-boxing appelées « K1-rules » ou "oriental-rules" ont été édictées au Japon par des karatekas.
    Dernière modification par barberouss, 06 juillet 2007, 00h30.
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