La mer, je pense , je crois ,
je ne sais comment ni pourquoi
A senti mon immense désarroi.
La mer , gentiment me parla
Petit enfant de la muse
Valeureux comme tes siens
Bien des braves comme toi , ont péri
Pour moins que ça,ou pour rien
Ils ont laissé des vestiges
Un passé glorieux , qui les honore
Un avenir qui leur était acquis
Et par ma force et le destin
L’auront englouti
Je n’ai jamais pleuré pour l’un d’eux
Mon devoir était ……, et leur destinée aussi
De les avoir près de moi , dans mon cœur blotti
De les chérir , eux qui aimaient tant être chéris
De leur faire goûter , le bonheur de ma prison , eux qui
Ont fait souffrir tant de vies et de vies
Je suis pour eux le rempart
Vers une vie éternelle
Tant de misère humaine et tant d’ennuis
Oui mon enfant , je le sais ,oh que oui
Ils viennent me parler , me confier leurs chagrins ,
jour et nuit
Quand ils pensent à moi
L’humilité dans leur cœur.
Creuse un nid
Lui trace un chemin
Droit et bien précis.
Quant à toi , jeune enfant
Bien que t’es , de cette lignée, taillé
La volonté divine t’a choisi
Une toute autre fin
Et de sa bonté , t’a touché , de près
Des siècles durant
Toi, tu n’étais pas encore né
Petite bougie , la nuit sur le sable
De ton doux feu , en te consumant
Eclairant la route envers vos semblables
Ton cœur est grand , plein d’amour
Tu mérites d’être là-haut
Vivre tout ce qui est beau ,et pure
Une vie belle et bien agréable
Je ne te veux point ,sors de là, va-t’en
Va-t’en que je ne te voie plus roder par ici bas.
Tu comprends p’tit enfant , cher... che pas à comprendre
Pars,pars . pars loin de moi
Plaf , … plaf , … plaf …
Je suis vivant
Sin et sain
Orifardi
je ne sais comment ni pourquoi
A senti mon immense désarroi.
La mer , gentiment me parla
Petit enfant de la muse
Valeureux comme tes siens
Bien des braves comme toi , ont péri
Pour moins que ça,ou pour rien
Ils ont laissé des vestiges
Un passé glorieux , qui les honore
Un avenir qui leur était acquis
Et par ma force et le destin
L’auront englouti
Je n’ai jamais pleuré pour l’un d’eux
Mon devoir était ……, et leur destinée aussi
De les avoir près de moi , dans mon cœur blotti
De les chérir , eux qui aimaient tant être chéris
De leur faire goûter , le bonheur de ma prison , eux qui
Ont fait souffrir tant de vies et de vies
Je suis pour eux le rempart
Vers une vie éternelle
Tant de misère humaine et tant d’ennuis
Oui mon enfant , je le sais ,oh que oui
Ils viennent me parler , me confier leurs chagrins ,
jour et nuit
Quand ils pensent à moi
L’humilité dans leur cœur.
Creuse un nid
Lui trace un chemin
Droit et bien précis.
Quant à toi , jeune enfant
Bien que t’es , de cette lignée, taillé
La volonté divine t’a choisi
Une toute autre fin
Et de sa bonté , t’a touché , de près
Des siècles durant
Toi, tu n’étais pas encore né
Petite bougie , la nuit sur le sable
De ton doux feu , en te consumant
Eclairant la route envers vos semblables
Ton cœur est grand , plein d’amour
Tu mérites d’être là-haut
Vivre tout ce qui est beau ,et pure
Une vie belle et bien agréable
Je ne te veux point ,sors de là, va-t’en
Va-t’en que je ne te voie plus roder par ici bas.
Tu comprends p’tit enfant , cher... che pas à comprendre
Pars,pars . pars loin de moi
Plaf , … plaf , … plaf …
Je suis vivant
Sin et sain
Orifardi
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