Ronds-points hésitants
Je suis sur le passage des non dits
A un grand tourment de ma longue vie
Au carrefour des énormes sentiments
Au retour des ronds-points hésitants
Je suis sur l’autoroute des ennuis
Au péage des moments salis
Ce soir mon avenue je la déteste
Elle me colle pourtant comme la peste Je tourne à droite et je squatte
La bande aller de ma chance
Mon cœur en habit du dimanche
Je rêve de paysages qui balancent
Le cœur passe au rouge, les raisons freinent
Ma maison boude, mon lit double avec peine
Ce soir mon avenir je le déteste
Il me colle pourtant comme la peste
Urgence d’aimer
Sans ralentir
De me lier
Et m’ouvrir
La peur de vivre
Me rend livide
En plein passé
J’ai calé
Ma vie qui penche
Vers une impasse
Ça me dérange
Me dépasse
Des demi-tours
Jour après jour
Et dans ma fuite
Je persiste
Je stationne maintenant en double file
Dans une rue anormalement tranquille
Sur le siège passager une jeune fille
Qui me mène vers des chemins qui pétillent
Si tous les tourments de la vie
Prenaient la route
Loin des déroutes
Je n’aurai rien appris de la vie.
Ce soir mon avenir je l’imagine dans une ruelle anonyme
Je suis sur le passage des non dits
A un grand tourment de ma longue vie
Au carrefour des énormes sentiments
Au retour des ronds-points hésitants
Je suis sur l’autoroute des ennuis
Au péage des moments salis
Ce soir mon avenue je la déteste
Elle me colle pourtant comme la peste Je tourne à droite et je squatte
La bande aller de ma chance
Mon cœur en habit du dimanche
Je rêve de paysages qui balancent
Le cœur passe au rouge, les raisons freinent
Ma maison boude, mon lit double avec peine
Ce soir mon avenir je le déteste
Il me colle pourtant comme la peste
Urgence d’aimer
Sans ralentir
De me lier
Et m’ouvrir
La peur de vivre
Me rend livide
En plein passé
J’ai calé
Ma vie qui penche
Vers une impasse
Ça me dérange
Me dépasse
Des demi-tours
Jour après jour
Et dans ma fuite
Je persiste
Je stationne maintenant en double file
Dans une rue anormalement tranquille
Sur le siège passager une jeune fille
Qui me mène vers des chemins qui pétillent
Si tous les tourments de la vie
Prenaient la route
Loin des déroutes
Je n’aurai rien appris de la vie.
Ce soir mon avenir je l’imagine dans une ruelle anonyme
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