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Les Bourses arabes en partie épargnées par les turbulences sur les marchés mondiaux

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  • Les Bourses arabes en partie épargnées par les turbulences sur les marchés mondiaux

    Ce sont les fonds d'investissements de ces pays du Golfe qui vont se frotter les mains et faire leurs courses sur les marché des actions, ils vont les ramasser à la pelle, pardon, à la pelleteuse mécanique.
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    Les turbulences qui agitent les Bourses mondiales épargnent pour l’instant la plupart des marchés financiers des riches États pétroliers du Golfe.
    La Bourse d’Arabie saoudite, la plus importante du monde arabe, a ainsi terminé la semaine, mercredi, sur un gain de 2,4 %, l’indice Tadawul All-Shares Index (TASI) clôturant à 7 900,88 points.
    Cette bonne tenue boursière intervient dans un contexte de turbulences sur les marchés américain, européens et asiatiques en raison de la crise du crédit immobilier à risque aux États-Unis.
    « Les turbulences au niveau mondial ont été déclenchées par la question des prêts hypothécaires à risque (subprimes) aux États-Unis. Ici, en Arabie saoudite, nous n’avons pas un tel problème », a déclaré à l’AFP Hisham Abou Jamea, un consultant financier basé à Ryad.
    « Les liquidités atteignent actuellement un niveau record » sur le marché saoudien, a-t-il ajouté.

    Il a souligné que la Bourse saoudienne n’est pas ouverte aux investisseurs étrangers, sauf ceux qui résident dans le royaume, ce qui limite les répercussions en cas de crise sur les marchés mondiaux.
    La Bourse de Koweït, la deuxième du monde arabe, a également terminé la semaine dans le vert, en hausse de 0,31 % à 12 520,10 points.
    Un expert koweïtien, Ali al-Eneizi, insiste, lui aussi, sur la faible interaction entre les marchés financiers des émirats du Golfe et les autres Bourses mondiales pour expliquer ces résultats.
    « La valeur (des actions) de nos entreprises dépend principalement de leurs résultats financiers » et non des fluctuations du marché mondial, a-t-il affirmé à l’AFP.
    Il a même souligné qu’une crise sur les principales Bourses mondiales a un impact positif sur celles des pays du Golfe car « cela déclenche un retour de liquidités », les investisseurs retirant leurs capitaux des places américaines pour les replacer dans les émirats.
    Toutefois, la Bourse de Dubaï, qui aspire à devenir un centre financier incontournable, a été affectée par la tempête, terminant en recul de 0,87 % mercredi et poursuivant à la baisse hier.
    « Nous avons remarqué que certains fonds d’investissements étrangers ont commencé à vendre » les titres qu’ils possédaient dans des entreprises de Dubaï, a déclaré le gestionnaire des fonds de la National Bank of Dubai, Fadi-al Saeed, à la chaîne de télévision al-Arabiya.
    Conséquence directe, l’indice de la Bourse de Dubaï évoluait dans le rouge hier à 4 190,40 points, en baisse de 1,68 % par rapport à l’ouverture.
    La Bourse de Doha, au Qatar, et celle d’Abou Dhabi évoluaient également en baisse, cédant respectivement 1,45 % et 1,22 % hier. Les marchés de Bahreïn et de Oman, qui connaissent des volumes d’échanges plus faibles, reculaient, quant à eux, de 0,05 % et 0,42 %.

    En Égypte, la Bourse du Caire creusait ses pertes, chutant de 3,42 % jeudi en clôture. L’indice CASE-30 a terminé à 7 797 points, repassant nettement sous la barre des 8 000 points, à son niveau le plus bas depuis la fin juin.
    Elle reste beaucoup plus vulnérable aux turbulences mondiales en raison de la forte présence d’investisseurs internationaux.

    17 août 2007. L'Orient Le Jour.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    les bourse arabes épargnées par les turbulences boursiéres internationales

    Cela represente une preuve evidente que les investisseurs institutionels etrangers (banques , compagnies d´assurance , fonds de pension et les Hedges fund ) ne s´intéressent pas aux bourses arabes á l´exeption de la bourse de Dubai

    Les bourses arabes ne sont stables , prenez par exemple le cas de la bourse de Riyadh l´indice de cette bourse Tadawul qui etait á 3000 points en janvier 2003 avait atteint 21000 poins en février 2006 une progression de 700% cette bourse paraissait á n´importe quel amateur boursier comme une bourse vachement surévaluée mais malgres cela les saoudiens moyens continuaient á pomper de l´argent dans ce marché mais la fin etait dramatique il y a eu un terrible KRASH oú ces pauvres saoudiens de la classe moyenne se retrouvés ruinés.

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    • #3
      Envoyé par gentlement
      il y a eu un terrible KRASH oú ces pauvres saoudiens de la classe moyenne se retrouvés ruinés.
      N'exagérons rien, c'est quand même pas le Krach de 1929, beaucoup de Saoudiens de la classe moyenne ce sont enrichi malgré tout.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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      • #4
        Cela represente une preuve evidente que les investisseurs institutionels etrangers (banques , compagnies d´assurance , fonds de pension et les Hedges fund ) ne s´intéressent pas aux bourses arabes á l´exeption de la bourse de Dubai
        Cela represente une preuve evidente que vous n avez pas lu ou pas compris l'article Môsieur l'Expert en Bourse et en Bétail. La bourse de riadh et de koweit ne sont tout simplement pas ouverts aux investisseurs étrangers. C est pour ça qu elle ne sont pas atteintes.

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        • #5
          les bourse arabes épargnées par les turbulences boursiéres internationales

          rebonjour Atlantic

          Ha te voila mais mon ami tu met ma curiosité dans une rude épreuve ta tenue vestementaire est une nouvelle mode ou quoi ? ce melange de baroc et de burlesque arrosé par la couleur foncée c´est génial

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          • #6
            HS Môsieur l'Expert en B&B!

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            • #7
              les bourse arabes épargnées par les turbulences boursiéres internationales

              á Zek

              Une bourse qui chute de 68% en une année vous appelez ca quoi ? ce n´est pas une correction c´est un crash
              l´indice de la bourse de Ryadh Tadawul qui etait á 21043 point le 14 fevrier 2006 se retouvait á 6983 points en mai 2007
              Pour ce qui est des saoudiens de la classe moyenne je ne pense pas la majorité a gagné pendant l´euphorie boursiére de 2003-2005 la réponse á cette question nous a été donné par John Maynard Keynes en 1936 dans sa théorie appellée" The castle on air theory " oú il a dit dans un bourse euphorique c´est toujours celui qui dégaine le premier qui gagnera et ceux qui ont dégainé les premiers á la bourse de Riyadh ce sont les gens qui detenaient l´information sur les entreprises et le marché en général autrement dit les princes et les familles super riches
              du royaume saoudien.

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